| L'étude conclue ''"la porphyrinurie, un marqueur fiable de la toxicité de l'environnement, est nettement sur-représentés dans un grand groupe d'enfants français atteints d'un trouble autistique. Nous soulignons que pas tous les enfants atteints de troubles autistiques ont de la porphyrinurie; néanmoins une majorité de ces enfants excrètent des porphyrines en excès. L'excès n'est pas strictement limitée à un trouble autistique, et certains sujets avec d'autres diagnostics ont également affiché des niveaux quelque peu élevés de porphyrines urinaires. Comme c'est le premier rapport concernant les niveaux de porphyrines dans l'autisme, nos résultats nécessitent une réplication indépendante. Toutefois, compte tenu des preuves de l'exposition croissante de la population aux métaux lourds, dont le mercure ((Ozuah et al., 2003; UNEP Global Mercury Assessment Working Group, 2003), des suggestions de la prévalence croissante des troubles autistiques (Blaxill, 2004), et d'une association statistique entre le mercure libèré et les taux d'autisme (Palmer et al, 2006), on peut soupçonner que la toxicité de l'environnement, combinée à la susceptibilité génétique (Holmes et al., 2003; Woods et al., 2005) contribue au développement de TSA, comme discuté ailleurs (Lathe, 2006). D'autres investigations sont nécessaires."'' | | L'étude conclue ''"la porphyrinurie, un marqueur fiable de la toxicité de l'environnement, est nettement sur-représentés dans un grand groupe d'enfants français atteints d'un trouble autistique. Nous soulignons que pas tous les enfants atteints de troubles autistiques ont de la porphyrinurie; néanmoins une majorité de ces enfants excrètent des porphyrines en excès. L'excès n'est pas strictement limitée à un trouble autistique, et certains sujets avec d'autres diagnostics ont également affiché des niveaux quelque peu élevés de porphyrines urinaires. Comme c'est le premier rapport concernant les niveaux de porphyrines dans l'autisme, nos résultats nécessitent une réplication indépendante. Toutefois, compte tenu des preuves de l'exposition croissante de la population aux métaux lourds, dont le mercure ((Ozuah et al., 2003; UNEP Global Mercury Assessment Working Group, 2003), des suggestions de la prévalence croissante des troubles autistiques (Blaxill, 2004), et d'une association statistique entre le mercure libèré et les taux d'autisme (Palmer et al, 2006), on peut soupçonner que la toxicité de l'environnement, combinée à la susceptibilité génétique (Holmes et al., 2003; Woods et al., 2005) contribue au développement de TSA, comme discuté ailleurs (Lathe, 2006). D'autres investigations sont nécessaires."'' |
− | On trouvera la totalité de l'étude sur le site de IBCMT (International Board of Chelation Metal Toxic) barré en travers et en gros avec ''"uncorrected proof"''(preuve non corrigée)<ref>http://www.ibcmt.com/2010-05-22-IBCMT-PorphyrinuriaChildrenWithAutism.pdf</ref>. | + | On trouvera la totalité de l'étude sur le site de IBCMT (International Board of Chelation Metal Toxic) barré en travers et en gros avec ''"uncorrected proof"'' (preuve non corrigée)<ref>http://www.ibcmt.com/2010-05-22-IBCMT-PorphyrinuriaChildrenWithAutism.pdf</ref>. |