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| == Histoire criminelle == | | == Histoire criminelle == |
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− | Hamer entra plusieurs fois en conflit avec la justice en Allemagne, en Autriche et en France et fut condamné définitivement (condamnations exécutoires) plusieurs fois. Au total il a du effectuer plusieurs années de prison en Allemagne et en France. | + | Hamer entra plusieurs fois en conflit avec la justice en Allemagne, en Autriche et en France et fut condamné définitivement (condamnations exécutoires) plusieurs fois. En tout, il a dû effectuer plusieurs années de prison en Allemagne et en France. |
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− | • En 1986 était condamné à une amende de 3.000 DM (marks allemands), car il avait traité d’avril à août 1986 des patients sans approbation, et violait par là la loi sur la thérapie (référence 34 Js 85/86 du tribunal du district de Cologne). | + | • En 1986, Hamer fut condamné à une amende de 3.000 DM (marks allemands), car il avait traité d’avril à août 1986 des patients sans approbation (qui lui avait été retirée début avril 1986, en France cela correspond à une radiation de l'Ordre des médecins), et, par là, violait la loi sur les [[Heilpraktiker]]s (référence 34 Js 85/86 du tribunal du district de Cologne). |
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− | • Le 22 janvier 1992, il était condamné par le tribunal de district de Cologne à cause d'une nouvelle violation contre l'HPG (Loi de thérapie) à une peine d’emprisonnement de 6 mois avec sursis de l'exécution. Par le jugement rendu en appel au tribunal régional (LG) de Cologne du 12 février 1993, la peine de condamnation fut diminuée de 4 mois d’emprisonnement (105-99/92 MO). Il avait traité sans succès un homme jeune ayant un cancer des os avec un bandage de plâtre inapproprié (qui ne convient pas) pour cette maladie. On avait du amputer l’homme de la jambe (procédures 613 Ls 152/91 et 34 Js 232/89 du tribunal de district de Cologne). | + | • Le 22 janvier 1992, il fut condamné par le tribunal de district de Cologne en raison d'une nouvelle violation contre l'HPG (la loi réglementant la profession des [[Heilpraktiker]]s) à une peine d’emprisonnement de 6 mois avec sursis. Par le jugement rendu en appel au tribunal régional (LG) de Cologne du 12 février 1993, la peine de condamnation fut diminuée de 4 mois d’emprisonnement (105-99/92 MO). Il avait traité sans succès un homme jeune ayant un cancer des os avec un plâtre, procédé inapproprié pour cette maladie. On avait dû amputer l’homme de la jambe (procédures 613 Ls 152/91 et 34 Js 232/89 du tribunal de district de Cologne). |
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− | • Le 27 juillet 1993 Hamer fut condamné à 7 mois avec sursis (tribunal de district de Graz) en Autriche, pour diffamation. | + | • Le 27 juillet 1993, Hamer fut condamné à 7 mois avec sursis (tribunal de district de Graz) en Autriche, pour diffamation. |
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− | • L’année 1995 fut marquée pour Hamer par le cas de la patiente cancéreuse Olivia Pilhar alors âgée de cinq ans. Les parents d’Olivia furent condamnés à huit mois avec sursis (jugement du tribunal régional de Neustadt, dans le viennois, du 11 novembre 1996 dans l'affaire pénale contre Erika et Helmut Pilhar, et jugement du tribunal de Vienne, en tant que cour d'appel, du 4 septembre 1997 dans l'affaire pénale contre Erika et Helmut Pilhar). Ils avaient amené leur enfant cancéreuse en Espagne chez Hamer. Les tentatives de thérapie GNM infructueuses n’eurent pour Hamer aucune conséquence pénale, car il exerçait depuis en Espagne, à l'extérieur de l'Autriche et de l'Allemagne. La référence à son propre procès dans le cas d'O. Pilhar est 34 JS 221/96. Finalement l'enfant fut opérée contre la volonté des parents et vit aujourd'hui en bonne santé (référence : GZ 4C E VR S34 / 95 - 189 pages 1082-1120, Az. 23 Bs 114/97 (pages 1121-1141)). | + | • L’année 1995 fut marquée pour Hamer par le cas de la patiente cancéreuse Olivia Pilhar alors âgée de cinq ans. Les parents d’Olivia furent condamnés à huit mois avec sursis (jugement du tribunal régional de Neustadt, dans le viennois, du 11 novembre 1996 dans l'affaire pénale contre Erika et Helmut Pilhar, et jugement du tribunal de Vienne, en tant que cour d'appel, du 4 septembre 1997 dans l'affaire pénale contre Erika et Helmut Pilhar). Ils avaient amené leur enfant cancéreuse en Espagne chez Hamer. Les tentatives de thérapie [[MNG]] infructueuses n’eurent pour Hamer aucune conséquence pénale, car il exerçait depuis en Espagne, à l'extérieur de l'Autriche et de l'Allemagne. La référence de son propre procès dans le cas d'O. Pilhar est 34 JS 221/96. Finalement l'enfant fut opérée contre la volonté des parents et vit aujourd'hui en bonne santé (référence : GZ 4C E VR S34 / 95 - 189 pages 1082-1120, Az. 23 Bs 114/97 (pages 1121-1141)). |
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− | • En 1997 Hamer fut arrêté à Cologne et condamné par le tribunal de district de Cologne à 19 mois de prison ferme, dont il purgea/effectua douze mois. La non-assistance à personne en danger et la violation contre la loi de thérapie fut prouvée à son encontre. Le point de départ de l'accusation était des plaintes de parents après la mort de trois patients cancéreux qui avaient été traités sans succès d’après la GNM. Hamer fut renvoyé dans sa cellule le dernier des cinq jours de procès en raison d’insulte envers le tribunal et n’eut l’autorisation d’entrer de nouveau dans la salle audience seulement après la fin du plaidoyer de son avocat. Le fils d’Hamer Bernd qui traita le juge de trou du cul et compara le procès avec la justice NS (national-socialiste), reçu trois jours prison disciplinaire. Hamer, au cours du procès, fut attesté dans une expertise psychiatrique comme: personnalité faible d’esprit, psychopathique avec des convictions délirantes non-influençables, selon le souvenir de Leuzing présent (la personne présente à cette occasion) (procédure 34 Js 178/95 Tribunal du district de Cologne). | + | • En 1997, Hamer fut arrêté à Cologne et condamné par le tribunal de district de Cologne à 19 mois de prison ferme, dont il purgea douze mois. Il fut prouvé à son encontre la non-assistance à personne en danger et la violation de la loi sur les [[Heilpraktiker]]s. Le point de départ de l'accusation était des plaintes de parents après la mort de trois patients cancéreux qui avaient été traités sans succès selon la [[MNG]]. Hamer fut renvoyé dans sa cellule le dernier des cinq jours du procès pour injures envers le tribunal et fut autorisé à entrer de nouveau dans la salle d'audience seulement après la fin du plaidoyer de son avocat. Bernd, le fils d’Hamer, qui traita le juge de trou du cul et compara le procès avec la justice NS (national-socialiste), écopa de trois jours de détention à titre disciplinaire. Au cours du procès, dans une expertise psychiatrique, il fut certifié qu'Hamer avait une: personnalité perturbée, psychopathique avec des convictions délirantes non-influençables, selon le souvenir de Leuzing présent (la personne présente à cette occasion) (procédure 34 Js 178/95 Tribunal du district de Cologne). |
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− | • L’année 2001, Hamer était condamné par contumace en France, pour complicité d'exercice illégal de la médecine et pour tromperie, à 3 ans de détention et une amende. Une plainte avait été déposée par un homme du nom Guy C. à Chambery dont l'épouse cancéreuse s’était fait traiter sans succès par la [[MNG]] et qui était décédée. D'autres parents (de patients) avaient aussi porté plainte, également en France, contre Hamer. La France avait délivré un mandat d'arrêt international. Hamer était arrêté le 9 septembre 2004 en Espagne et était livré à la France, où, après six ans de des recherches, il était condamné définitivement et exécutoirement à Chambery. Une partie des actes qui lui étaient reprochés en plus étaient entretemps prescrits, et ne pouvaient pas être pris en considération. Le 16 février 2006 il était libéré de prison, près de Paris. Hamer bénéficia d’une remise de peine pour la deuxième moitié de la peine de détention, manifestement pour des raisons de santé. Ainsi il aurait souffert, selon des bruits, depuis déjà des années d'un cancer de la colonne vertébrale. Hamer présentait les radiographies correspondantes et les résultats pour faire classer le procès contre celui-ci, sans succès. On peut voir les radiographies sur les pages Web de son adepte Helmut Pilhar. | + | • L’année 2001, Hamer fut condamné par contumace en France, pour complicité d'exercice illégal de la médecine et pour tromperie, à 3 ans de détention et une amende. Une plainte avait été déposée par un homme du nom Guy C. à Chambery dont l'épouse cancéreuse s’était fait traiter sans succès par la [[MNG]] et qui était décédée. D'autres parents (de patients) avaient aussi porté plainte, également en France, contre Hamer. La France avait délivré un mandat d'arrêt international. Hamer était arrêté le 9 septembre 2004 en Espagne et était livré à la France, où, après six ans de des recherches, il était condamné définitivement et exécutoirement à Chambery. Une partie des actes qui lui étaient reprochés en plus étaient entretemps prescrits, et ne pouvaient pas être pris en considération. Le 16 février 2006 il était libéré de prison, près de Paris. Hamer bénéficia d’une remise de peine pour la deuxième moitié de la peine de détention, manifestement pour des raisons de santé. Ainsi il aurait souffert, selon des bruits, depuis déjà des années d'un cancer de la colonne vertébrale. Hamer présentait les radiographies correspondantes et les résultats pour faire classer le procès contre celui-ci, sans succès. On peut voir les radiographies sur les pages Web de son adepte Helmut Pilhar. |
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| • Actuellement (2010), plusieurs affaires pénales contre Hamer en attente.Tout d'abord, un procès du ministère public de Cottbus (§ 130 StGB) [29] pour incitation à la haine raciale, tout comme un vieux mandat d’arrêt autrichien. Selon les propres mots d’Hamer, il a quitté son exil espagnol en mars 2007 et est en fuite pour trouver un asile politique en Norvège (qui n'appartient pas à l'UE). Depuis 2007 il est connu qu'Hamer séjourne en Norvège. Depuis 2010 une instruction a été ouverte par ministère public de Kempten à l’encontre d’Hamer pour voies de fait ayant entrainé la mort. Ceci en rapport avec la mort de la petite patiente cancéreuse agée de 12 ans, Susanne Rehklau. | | • Actuellement (2010), plusieurs affaires pénales contre Hamer en attente.Tout d'abord, un procès du ministère public de Cottbus (§ 130 StGB) [29] pour incitation à la haine raciale, tout comme un vieux mandat d’arrêt autrichien. Selon les propres mots d’Hamer, il a quitté son exil espagnol en mars 2007 et est en fuite pour trouver un asile politique en Norvège (qui n'appartient pas à l'UE). Depuis 2007 il est connu qu'Hamer séjourne en Norvège. Depuis 2010 une instruction a été ouverte par ministère public de Kempten à l’encontre d’Hamer pour voies de fait ayant entrainé la mort. Ceci en rapport avec la mort de la petite patiente cancéreuse agée de 12 ans, Susanne Rehklau. |