Jakob Lorber
Jakob Lorber (né 22 juillet 1800 à Kanischa, mort 24 aout 1864 à Graz) était un mysticien, musicien, componiste, claivoyant, auteur et antisemite autrichien. Par ces adérants de son époque il fut nommé scribe de Dieu ou ecrivain-valet du seigneur ("Schreibknecht des Herrn"). Une voix interne, celle de Jésu, lui aurait ordonné ses activités d’écrivain. Par ces adeptes il est considéré comme un prophète.
Ces livres, et parmi eux son oeuvre principal (Großes Evangelium Johannes) sont a considérer en sens théologique come des oeuvres d’une Apocalypse récente [en sens d’une révélation divine moderne, ou Apocalypse d’un nouveau mouvement réligieux]. Les oeuvres contienent une sucession confuse des ses interpretations personelles de l’histoire bliblique, (parmi celle-ci surtout de la vie de Jésu), de themes de la vie humaine, de la croyance crétienne, des théories obscures et des prophécies apocaliptiques sans systematique apparente.
vie
Né dans une famille catholique d’agriculteurs, il fit des études pour devenir instituteur, et envisagea aussi un moment une carrière ecclésiastique. Dès son plus jeune âge, il manifesta des dons pour la musique, et eut l’occasion d’apprendre à jouer à l’orgue, au piano et du violon.
Lorber occupa quelques temps un poste de précepteur dans une famille à Graz, puis, abandonnant l’enseignement, vécut très modestement en donnant quelques leçons de musique et en accordant des pianos. Il se produisit quelquefois en concert et à l’occasion écrivait des critiques musicales dans le journal local.
œuvres
En lisant les oeuvres de Jakob Lorber, le lecteur stupéfait doit apprendre que:
- Que le viol et l’adultere ne sont pas un péché contre la regle de la chasteté [ou pudeur] si il s’agit d‘engendrer un enfant. Mais, en meme-temps, la sexualite du couple serait en contradiction avec la pudeur, si a la femme plaiserait l’exercise de la sexualite [phrase a reformuler] (ce point de vue est mieux a comprendre si on considere le fait que Lorber etait pere d’un enfant illégitime [hors mariage, c’est a dire il etait marrie, mais l’enfant n’etait pas de sa femme Phrase a reformuler svp]. Il pouvait donc ainsi se disculper envers soi-meme et envers l’entourage.
- Que Jesu, en étant enfant, aurait estropié un autre enfant, quand celui-ci l’aurait derange en jouant. L’adulte Jesu aurait enseigne: „punissez vos enfants quand ils rient; mieux les entendre pleurer que rire! Car le rire est ne dans l’enfer“ [ca me rappele „le nom de la rose“ de Umberto Eco]
- Qui’l existerait un trou avec une ouverture de 180 miles (selon une autre affirmation seulement 20 ou 30 miles) comme „bouche“ au pole nord et qui aboute a un „cul“ au pole sud en passant par des „tripes“.
- la terre se tournerait grace a d’éxpulsions d’excrements par un intestin circulaire en forme d’escargot [en forme circulaire comme la coquille des escargots]
- Ni le pole nord et ni le pole sud seraient atteignables pour l’etre humain.
- Les oiseaux voleraient comme des ballons grace a leur contenu en hydrogene
- la planete Mars n’aurait pas de lunes
- La face de la lune qui est visible depuis la terre serait compose pas de l’escume
- Sur la face invisible de la lune viveraient des etres humains, animaux (moutons lunaires), et il y aurait de l'eau et des fleuves. [1]
Lorber comme antisemite
Lorber et egalement connu pour ses affirmation et dérapages antisemites:
- Un juif, en sa apparence, est totalement un cochon; l'apparition demontre a tout le monde a quelle classe d'animal il appartient. Le juif a [donc] l'apparence d'un cochon, il pue comme un cochon, et il se soule partout dans la boue du monde comme un cochon, pour apaiser son soif d'or et d'argent [...] Et un cochon peut se contenter de toute forme de nourriture; meme la plus mauvaise ne lui est pas indésirable, si au moins elle est chaude. Ceci est egalement le cas chez les juif; [...] selon votre facon de s'exprimer, meme les meilleurs [des juifs] en sens spirituel ne valent pas la poudre d'un coup de feu."[2][3]
Certains adérants actuels de Lorber ne voient en Lorber pas un antisemite. Ils croyent plutot en une sorte d'ironie de Lorber, pour choquer les détracteurs.
réception et analyses
La psichiatre Antoinette Stettler-Schär a analysé les documents a disposition (pour la pluspart formulés de facon bienveillante) et arrive a la conclusion que Lorber était affecté par une forme paranoique de la scizophrenie.[4]
citations
- "Der Grund also von solcher fleischlicher Neigung, liegt gewöhnlich im Besessensein von einem oder auch mehreren geilen Fleischteufeln.
Solche Fleischteufel wohnen zuerst in den hitzigen Getränken, im Weine, auch im Biere, und besonders in den gebrannten Wässern. Wenn sich Menschen mit derlei Getränken stark berauschen, so haben sie in diesen Getränken sicher einen, wo nicht mehrere Fleischteufel in ihr Fleisch aufgenommen. Sind sie aber einmal im Fleische, da jucken und quälen sie die Genitalien auf eine so arge Weise, daß der Mensch nicht umhin kann, solche Juckerei durch den sinnlichen Genuß des Fleisches entweder mit den Weibern oder manchmal sogar mit den Tieren zu befriedigen".
Liens
Références
- ↑ http://www.jakoblorber.com/inhalte/deutsch.htm
- ↑ Lorber J. Erde und Mond, chapitre 74, 9-11, III. partie)
- ↑ http://www.jakoblorber.de/inhalte/ethik3.htm
- ↑ Stettler-Schär, Antoinette: Jakob Lorber: Zur Psychopathologie eines Sektenstifters, Dissertation Medizin, Bern 1966