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Parmi les Membres du Conseil Scientifique, dont le président est [[Luc Montagnier]] Conseil Scientifique (qui est également membre d'honneur du Conseil scientifique d'ARTAC), on trouve le Dr Philippe Irigaray déjà mentionné, le Pr Gérard Ledoigt (qui dépendait jusqu'en 2007 de l’université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand) et le Dr italien Ernesto Burgio (qui est également membre du conseil scientifique d'ARTAC). <ref>http://eceri-institute.org/fr/son-conseil-scientifique_14.html</ref>
 
Parmi les Membres du Conseil Scientifique, dont le président est [[Luc Montagnier]] Conseil Scientifique (qui est également membre d'honneur du Conseil scientifique d'ARTAC), on trouve le Dr Philippe Irigaray déjà mentionné, le Pr Gérard Ledoigt (qui dépendait jusqu'en 2007 de l’université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand) et le Dr italien Ernesto Burgio (qui est également membre du conseil scientifique d'ARTAC). <ref>http://eceri-institute.org/fr/son-conseil-scientifique_14.html</ref>
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== Le Pr Belpomme inquiété par l'Ordre des médecins ==
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Sur le Journal International de Médecine (Jim) a été publié un article intitulé "Diagnostic de l’électrohypersensibilité : le Pr Belpomme inquiété par l’Ordre":
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''"Paris, le mardi 19 décembre 2017 – Si le sujet ne fait plus aussi fréquemment la une des médias, l’électrohypersensibilité demeure une préoccupation centrale pour certaines associations qui sont convaincues (ou veulent convaincre notamment à travers un lobbying organisé sur le net !) de la nocivité des ondes électromagnétiques. Leur combat est aujourd’hui concentré sur l’installation par Enedis/EDF d’un nouveau compteur d’électricité intelligent, baptisé Linky. Les personnes qui refusent la mise en place de ce dispositif, dont ils redoutent les mauvaises ondes, n’hésitent pas pour certains à solliciter leur médecin afin d’obtenir un certificat médical de contre-indication. [...] Parmi la centaine de certificats de contre-indication fournis par les abonnés d’EDF pour refuser le compteur, la moitié émanait du professeur Dominique Belpomme. [...] Pour établir son diagnostic, le praticien se base, non pas sur les dosages de nitrotyrosin et d’histamine qui sont pourtant au cœur de ses travaux, mais sur une tomosphygmographie cérébrale ultrasonore (TSCU), également parfois désignée à travers les termes « ''échographie pulsatile transcérébrale'' »,  « ''échodoppler cérébral pulsé'' », ou « ''échodoppler pulsé centimétrique'' ». Cet examen, présenté par le professeur Belpomme comme pratiqué "en routine" aux États-Unis, n’a en réalité jamais fait l’objet de publications scientifiques dans un journal à comité de lecture. [...] Pourtant, le professeur Belpomme prescrit ponctuellement cet examen, pratiqué dans un unique centre parisien et dont le coût non pris en charge s’élève à 250 euros. [...] le professeur Belpomme devra répondre devant l’Ordre du recours à la tomosphygmographie cérébrale ultrasonore. [...]"''<ref>https://www.jim.fr/medecin/e-docs/diagnostic_de_lelectrohypersensibilite_le_pr_belpomme_inquiete_par_lordre_169244/document_actu_pro.phtml+&cd=2&hl=fr&ct=clnk&gl=fr Auteur: Aurélie Haroche (accès payant)</ref>
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Sur un site de personnes se déclarant électrosensibles, quelques commentaires: 
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''"L’une des plaintes aurait pour objet de dénoncer la pertinence de l’encephloscan et aurait pour origine la direction de l’agence de santé. La seconde proviendrait du Directeur du Service des Études Médicales d’EDF, Jacques Lambrozo, qui aurait souhaité alerter sur le caractère non individualisé des certificats de contre-indication concernant Linky.<br><br>L’encephaloscan, qui est un examen par ultrasons n’aurait jamais été évalué par la Haute autorité de Santé (HAS) et n’aurait jamais fait l’objet d’une publication dans une revue scientifique. Ce qui contreviendrait à l’article 33 et 39 du code de déontologie qui préconise que « Le médecin doit toujours élaborer son diagnostic avec le plus grand soin, en y consacrant le temps nécessaire, en s’aidant dans toute la mesure du possible des méthodes scientifiques les mieux adaptées » et ils « ne peuvent proposer aux malades (…] un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé ».<br><br>En ce qui concerne le certificat de contre-indication, c’est le fait de reprendre à l’identique la même formulation en ne modifiant que le nom du patient et semble contrevenir à l’article 35 de ce même code. Cette pratique pourrait contrevenir au principe d’individualisation et de prise en compte de la personnalité de chaque patient garanti par le code de déontologie.<br><br>Autant pour le premier grief il semble un peu logique de remettre en cause un examen qui n’a jamais fait ses preuves, autant la question de l’individualisation semble un peu tirée par les cheveux puisque c’est une consultation spécialisée avec des malades qui ont, selon les critères de ce professeur, une même pathologie et ayant la même origine, donc en quoi une personnalisation de la contre-indication changerait quoi que ce soit… [...]"'' <ref>https://electrosensible.info/2017/12/20/le-pr-belpomme-se-serait-il-bruler-les-ailes-aupres-denedis/ Publié le 20-12-2017</ref>
    
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