| La psychiatre Antoinette Stettler-Schär a analysé les documents à disposition (pour la plupart formulés de facon bienveillante) et arrive à la conclusion que Lorber était affecté par une forme paranoïque de la schizophrénie.<ref>Stettler-Schär, Antoinette: Jakob Lorber: Zur Psychopathologie eines Sektenstifters, Dissertation Medizin, Bern 1966</ref> | | La psychiatre Antoinette Stettler-Schär a analysé les documents à disposition (pour la plupart formulés de facon bienveillante) et arrive à la conclusion que Lorber était affecté par une forme paranoïque de la schizophrénie.<ref>Stettler-Schär, Antoinette: Jakob Lorber: Zur Psychopathologie eines Sektenstifters, Dissertation Medizin, Bern 1966</ref> |
− | *''"Der Grund also von solcher fleischlicher Neigung, liegt gewöhnlich im Besessensein von einem oder auch mehreren geilen Fleischteufeln.<br>Solche Fleischteufel wohnen zuerst in den hitzigen Getränken, im Weine, auch im Biere, und besonders in den gebrannten Wässern. Wenn sich Menschen mit derlei Getränken stark berauschen, so haben sie in diesen Getränken sicher einen, wo nicht mehrere Fleischteufel in ihr Fleisch aufgenommen. Sind sie aber einmal im Fleische, da jucken und quälen sie die Genitalien auf eine so arge Weise, daß der Mensch nicht umhin kann, solche Juckerei durch den sinnlichen Genuß des Fleisches entweder mit den Weibern oder manchmal sogar mit den Tieren zu befriedigen".'' | + | *''"La cause d'une telle inclination charnelle, est habituellement à rechercher dans la possession de la part d'un ou même de plusieurs démons luxurieux de la chair.<br>Ces démons de la chair habitent avant tout dans les boissons spiritueuses, dans le vin et même dans la bière, mais particulièrement dans les boissons distillées. Quand les hommes s'enivrent fortement en usant de telles boissons, ils accueillent avec celles-ci dans leur chair certainement un de ces semblables démons sinon plus; mais quand ceux-ci se trouvent dans la chair, ils démangent dans les organes génitaux et les excitent d'une manière si terrible, que l'homme ne peut faire à moins que de satisfaire cette démangeaison moyennant la jouissance sensuelle de la chair avec les femmes ou bien parfois même avec les animaux".'' |