Lorber occupa quelques temps un poste de précepteur dans une famille à Graz, puis, abandonnant l’enseignement, vécut très modestement en donnant quelques leçons de musique et en accordant des pianos, ne quittant Graz que pour de courtes périodes. Il se produisait quelquefois en concert et à l’occasion écrivait des critiques musicales dans le journal local. En 1840 il reçut un appel de Dieu. | Lorber occupa quelques temps un poste de précepteur dans une famille à Graz, puis, abandonnant l’enseignement, vécut très modestement en donnant quelques leçons de musique et en accordant des pianos, ne quittant Graz que pour de courtes périodes. Il se produisait quelquefois en concert et à l’occasion écrivait des critiques musicales dans le journal local. En 1840 il reçut un appel de Dieu. |