Monica Embers
Monica Embers, ou Monica E. Embers.
Présentation de Monica Embers sur le site de la Bay Aera Lyme Foundation
[traduction DeepL:] MONICA E. EMBERS, PHD
Professeur adjoint, Division de bactériologie et de parasitologie, Centre national de recherche sur les primates de Tulane, École de médecine de l'Université de Tulane.
Le programme de recherche du Dr Embers sur Borrelia burgdorferi et la maladie de Lyme s'articule autour de deux axes principaux : (1) l'efficacité des antibiotiques contre la maladie de Lyme ; et (2) l'immunodiagnostic pour l'infection et la guérison de B. burgdorferi. Le premier objectif de recherche est d'examiner, à l'aide du xénodiagnostic, l'efficacité du traitement antibiotique lors d'une infection disséminée par B. burgdorferi. Le second objectif est de mettre au point un test quantitatif multi-antigène qui élargit les limites de détection et permet de distinguer l'infection persistante de la guérison clinique. En étudiant l'évolution naturelle de l'infection, son groupe espère faciliter une meilleure compréhension des énigmes cliniques de la maladie de Lyme humaine, y compris un diagnostic et un traitement efficaces.
[2]
On trouve sur le site de la Bay Aera Lyme Foundation[3], entre autres, les présentations de leurs autres scientifiques John N. Aucott, MD Dr. Aucott is an Associate Professor of Medicine in the Division of Rheumatology at Johns Hopkins University Medical School and the Director of the Johns Hopkins Lyme Disease Research Center, Richard Horowitz, MD, Lorraine Johnson, JD, MBA, Principal Investigator, MyLymeData and Chief Executive Officer, LymeDisease.org, Steven Phillips, MD, Principal Investigator for Kyronyx Biosciences, Eva Sapi, PhD, Professor; Coordinator, M.S. Cellular & Molecular Biology Biology and Environmental Science Department University of New Haven, Ying Zhang, MD, Professor at Department of Molecular Microbiology and Immunology, Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health.
== L'étude "Persistence of Borrelia burgdorferi in Rhesus Macaques following Antibiotic Treatment of Disseminated Infection" de Embers et ses collaborateurs (2012) ==
Co-auteurs de l'étude publiée en ligne le 11 janvier 2012 dans la revue PLoS ONE:
Monica E. Embers,1, * Stephen W. Barthold,4 Juan T. Borda,2 Lisa Bowers,1 Lara Doyle,3, Emir Hodzic,4 Mary B. Jacobs,1 Nicole R. Hasenkampf,1 Dale S. Martin,1 Sukanya Narasimhan,5 Kathrine M. Phillippi-Falkenstein,3 Jeanette E. Purcell,3 , ¤ Marion S. Ratterree,3 and Mario T. Philipp 1. Jean Louis Herrmann, Editor.
1 Divisions of Bacteriology & Parasitology, Tulane National Primate Research Center, Tulane University Health Sciences Center, Covington, Louisiana, United States of America,
2 Comparative Pathology, Tulane National Primate Research Center, Tulane University Health Sciences Center, Covington, Louisiana, United States of America,
3 Veterinary Medicine, Tulane National Primate Research Center, Tulane University Health Sciences Center, Covington, Louisiana, United States of America,
4 Center for Comparative Medicine, Schools of Medicine and Veterinary Medicine, University of California Davis, Davis, California, United States of America,
5 Section of Rheumatology, Department of Internal Medicine, Yale University School of Medicine, New Haven, Connecticut, United States of America,
Jean-Louis Herrmann [Editor] Hopital Raymond Poincare - Universite Versailles St. Quentin, France
- E-mail: ude.enalut@srebmem (MEE); ude.enalut@ppilihP (MTP) [4]
Critiques de l'article
L'article de Monica Embers et de ses collaborateurs a été vertement critiqué par d'éminents scientifiques affiliés à:
1Division of Infectious Diseases, Department of Medicine, New York Medical College, Valhalla, New York.
2American Lyme Disease Foundation, Lyme, Connecticut.
3Lyme Borreliosis Unit, Health Protection Agency, Public Health Laboratory, Southampton General Hospital, United Kingdom.
4Department of Neurology and Neuroscience, University of Medicine and Dentistry, New Jersey–New Jersey Medical School, Newark, New Jersey.
5Department of Microbiology and Immunology, New York Medical College, Valhalla, New York.
6Departments of Pediatrics, Epidemiology, and Public Health, and of Investigative Medicine, Yale University, New Haven, Connecticut.
[5]
Embers et ses collaborateurs (2012) ont récemment rapporté les résultats de deux expériences dans lesquelles des macaques rhésus chinois infectés par Borrelia burgdorferi ont reçu soit des antibiotiques, soit un traitement fictif (témoins). Ils [les auteurs] déclarent que malgré une antibiothérapie "agressive" avec de la ceftriaxone, suivie de doxycycline dans l'expérience 1 ou un traitement à la doxycycline seule dans l'expérience 2, B. burgdorferi "semble devenir tolérant" et "persiste". Ils déclarent également que leurs résultats soulèvent d'importantes questions "sur la pathogénicité des persisters tolérants aux antibiotiques et sur le fait qu'ils peuvent ou non contribuer aux symptômes après le traitement". [...]
cet article est une ébauche
Références
- ↑ https://www.youtube.com/watch?v=8Eoq7gTMZWg Vidéo mise en ligne le 16 juin 2018
- ↑ https://www.bayarealyme.org/our-research/our-scientists/monica-e-embers-phd/
- ↑ Adresse de le Bay Aera Lyme Foundation: 884 Portola Road, Suite A7 Portola Valley, CA 94028
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3256191/ Persistence of Borrelia burgdorferi in Rhesus Macaques following Antibiotic Treatment of Disseminated Infection PLoS One. 2012; 7(1): e29914. Published online 2012 Jan 11. doi: 10.1371/journal.pone.0029914
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3398392/ Critical Analysis of Treatment Trials of Rhesus Macaques Infected with Borrelia burgdorferi Reveals Important Flaws in Experimental Design (c.-à-d.: Une analyse critique des essais de traitement des macaques rhésus infectés par Borrelia burgdorferi révèle des défauts importants dans la conception expérimentale) Publié dans Vector Borne Zoonotic Dis. 2012 Jul; 12(7): 535–538.
Gary P. Wormser,1 corresponding author Phillip J. Baker,2 Susan O'Connell,3 Andrew R. Pachner,4 Ira Schwartz,5 et Eugene D. Shapiro,6.