Diskussion:Pseudomedizinische Therapievorschläge zum Ebolafieber
dokumentierter Artikel Planete Homeopathie: Actualités 12/10/2014 Protégé : Mission Ebola
Planete Homeopathie
Actualités 12/10/2014
Protégé : Mission Ebola
Les évènements se sont un peu précipités, mais la nouvelle a fini par arriver: je dois rejoindre une équipe de médecins homéopathes Allemands pour le Liberia où nous avons une invitation officielle du gouvernement.
Bild: Emak-Ebola-310714e
L’expédition est coordonnée par mon ami André Saine qui a rassemblé de nombreux documents relatifs au traitement de la fièvre jaune, notamment aux USA, par nos prédécesseurs. Entre leurs mains la mortalité tombait à pratiquement 0%. Basiquement Ebola est une sorte de fièvre jaune, et tout comme elle, présente de très nombreuses manifestations diverses, mais son évolution est très rapide, il n’y a pas de seconde semaine, en général.
La maladie peut être divisée arbitrairement en 4 stades:
1) Frissons, fièvre et violentes céphalées: la maladie commence en général par la fièvre et des maux de tête intenses le premier jour. Puis le second jour fatigue intense, douleur généralisée, et perte d’appétit.
2) Nausée, vomissements, diarrhée, conjonctivite, agitation, prostration, ulcères des lèvres, soif très importante sont les signes majeurs du 3ème jour. La dysphagie, la dyspnée et la conjonctivite sont typiquement plus marqués le 4ème jour.
3) Hémorragies. Des hémorragies mineures peuvent démarrer au 3è-4é jour mais les formes majeures (méléna, hématémèse) démarrent vers J5 ou J7, ce qui peut se terminer en coma et mort.
Les signes les plus communs d’hémorragies mineures sont les suintements par la moindre plaie, les gencives (32% ce qui est pronostic de gravité), les signes majeurs comme les hématémèses (56%) ou la diarrhée sanglante (55%)
Globalement la survenue d’hémorragies visibles sont des signes de mauvais pronostic, sauf peut être pour les méléna et les selles sanglantes qui sont parfois notés au début de la maladie et surviennent aussi bien chez les survivants que les non-survivants.
La plupart des non survivants sont morts dans des états stuporeux, en choc et tachypnée. Ce dernier signe est très significatif pour le pronostic vital, probablement puisqu’il apparaît dans les heures précédant la mort.
Les hoquets sont relativement fréquents (15% des cas), et étonnants, ils sembles caractériser une issue fatale.
4) Convalescence. Les séquelles à long terme sont la surdité ou les acouphènes.
Convié à participer à la première équipe par André Saine du fait de mon expérience dans le traitement du choléra en Haïti, j’espère pouvoir me rendre utile. Nous devrions avoir en arrivant 2 jours d’entraînement pour porter l’affreuse tenue protectrice qui doit nous permettre d’approcher les malades. La chose n’est même pas certaine puisque nous ne sommes pas certains de voir des malades dès le début. Peut être il aura-t-il des empêchements comme ce fut le cas initialement en Haïti.
Si nous voyons des cas, j’espère parvenir très vite lors de l’examen clinique à déterminer les quelques signes caractéristiques qui nous indiqueront un médicament épidémique. J’attends alors des résultats très favorables qui doivent se manifester en quelques heures. Notre objectif est d’approcher les 0% de mortalité obtenus par nos aînés. Au pire nous ne risquons que la maladie ou le ridicule, n’est-ce pas? Et nous aurons aussi la possibilité de soigner de nombreux autres malades porteurs de pathologies tout aussi fréquentes mais moins “à la mode”.
Témoignage d’un médecin homéopathe qui a soigné des centaines de cas en 1869. Le texte en anglais vous donne une idée des résultats vertigineux atteints par les homéopathes à l’époque, et encore Holcombe n’était certainement pas plus qu’un simple débutant…
Mes notes sur les médicaments dont nous risquons d’avoir besoin. A partir des maigres éléments cliniques à notre disposition, j’ai effectué une première étude pour nous permettre de cibler le groupe des médicaments potentiels. L’hydrogénure d’arsenic pointe en tête, avec les venins de serpents (dont la réputation dans la fièvre jaune ou les affections avec des troubles de la coagulation n’est plus à faire) avec Lachesis et surtout Crotalus. Nous n’oublions surtout pas Cantharis qui présente énormément des signes de la maladie. Mais il convient de nous rendre au chevet des patients sans parti pris et d’écouter le langage de la nature.
Je m’excuse donc de la désorganisation des cours jusqu’au 31 octobre, ainsi que du planning des consultations. Nécessité fait loi, nous avons un devoir éthique de porter du secours à ces populations démunies, et de leur apporter si tout se passe comme prévu une arme formidable et quasiment gratuite contre ce fléau. Forts de l’expérience à venir nous pourrons sans doute soigner les cas européens s’ils devaient se présenter. Enfin, c’est une occasion unique de démontrer la valeur de l’homéopathie. On nous dénigrera bien sûr, on contestera que les malades guéris fussent malades, mais nous espérons en soigner un si grand nombre qu’il n’y aura pas de contestation possible. Les marchands de vaccins expérimentaux pourront alors aller se rhabiller.
E.B.
Quelle: http://www.planete-homeo.org/mission-ebola/ (nur mit Password lesbar. Das Password ist leicht zu erraten: "Ebola")
Übersetzung ins Englische:
Protected: Mission Ebola News 12/10/2014 Protected: Mission Ebola
The events were a little rushed, but the news finally came: I have to join a team of homeopaths Germans to Liberia where we have an official invitation of the government doctors.
Emak-Ebola-310714e
L'expédition is coordinated by my friend André Saine has collected numerous documents relating to the treatment of yellow fever, including the USA, by our predecessors. In their hands the mortality fell to almost 0%.
Ebola is basically a kind of yellow fever, and as she has very many different manifestations, but its evolution is very fast, there is no second week in general.
The disease can be arbitrarily divided into four stages:
1) Chills, fever and severe headache: disease usually begins with a fever and severe headache on the first day. Then the second day extreme fatigue, generalized pain, and loss of appetite.
2) Nausea, vomiting, diarrhea, conjunctivitis, agitation, prostration, ulcers of the lips, very important thirst are the major signs of the 3rd day. Dysphagia, dyspnea, and conjunctivitis are typically marked the fourth day.
3) hemorrhage. Minor bleeding can start the 3rd-4é day but major forms (melena, hematemesis) start to J5 or J7, which may end in coma and death. The most common signs of minor bleeding are seeps through any wound, gums (32% regards prognosis of gravity), the major signs such as hematemesis (56%) or bloody diarrhea (55%)
Overall the occurrence of visible bleeding are signs of a poor prognosis, except perhaps for melena and bloody stools that are sometimes noted at the beginning of the disease and occur both in survivors and non-survivors. Most non-survivors died in stuporous states, shock and tachypnea. This sign is very significant for the prognosis, since it appears likely in the hours preceding death. Hiccups are relatively frequent (15% of cases), and amazing, they seem to characterize fatal.
4) Convalescence. The long-term sequelae are deafness or tinnitus.
Invited to participate in the first team by André Saine because of my experience in the treatment of cholera in Haiti, I hope to make myself useful.
We should have arrived two days drive to bring the terrible protective clothing that will allow us to approach malades.
La thing is not even sure since we are not certain to see patients early on. Maybe he will he impediments as was initially the case in Haiti.
If we see, I hope soon arrive at the clinic to identify some typical signs that will tell us a drug epidemic examination.
I then expect very favorable results which must occur within hours. Our goal is to approach the 0% mortality obtained by our seniors.
At worst we run the risk that the disease or ridiculous, is not it? And we also have the opportunity to treat many more patients carrying equally common diseases but less "fashionable".
Testimony of a homeopathic doctor who treated hundreds of cases in 1869. The English text gives you an idea dizzying results achieved by homeopaths at the time, and still Holcombe was certainly not more than a beginner ...
My notes on the medicines we may need. From the meager clinical data at our disposal, I made a first study to allow us to identify the group of potential drugs. The hydrogénure arsenic in the lead, with snake venom (whose reputation in the yellow fever or diseases with coagulation disorders is more to do) with Lachesis and Crotalus above.
We let's not forget that this enormously Cantharis signs of the disease. But should we make at the bedside without bias and listen to the language of nature.
I apologize for the disruption of ongoing until October 31, and the schedule of appointments. Necessity knows no law, we have an ethical duty to bring relief to the poor, and to provide them if everything goes as planned and a formidable weapon against the scourge almost free.
With the experience to come we will probably treat European cases should they arise.
Finally, this is a unique opportunity to demonstrate the value of homeopathy.
We disparage course, we disagree that the cured patients were sick, but we hope to treat so many that there will be no dispute. The merchants of experimental vaccines can then get dressed.
E. B.