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→Soledad Domec
Osho Rajneesh, est un gourou tantrique qui a défrayé la chronique dans les années 1980, abaissant entre autres la majorité sexuelle des jeunes filles, au sein de son groupe, à 8 ans... Ses agissements furent dénoncés par la Cour européenne des droit de l’homme.<ref>www.unadfi.org/IMG/pdf/Bhagwan_Rajneesh_Osho_2eme_partie_.pdf</ref><br>Osho se réclamait très fortement de l’héritage de Gurdjieff, au point qu’il est difficile aujourd’hui de rattacher les groupes tantriques plus à l’un ou à l’autre de ces deux maîtres à penser<ref>www.hexamide.org/prevensectes/rajneesh.pdf</ref><br>Ainsi Soledad Domec se réclamant d’ailleurs tout autant d’Osho Rajneesh que de Gurdjieff<ref>https://fr-fr.facebook.com/pages/Ser-Mujer-Femenino-Consciente/220332034763061</ref> (juste pour étayer sa propriété du blog éponyme, ci-après, avec les références Osho)<ref>http://web.archive.org/web/20140714072958/http://femeninoconsciente.blogspot.fr/2013_01_01_archive.html</ref><ref>https://forum.psiram.com/index.php?topic=12871.0</ref><br>Jean Bouchard d’Orval, comme nous l’avons vu, intervient chez Meditation France, vitrine francophone du mouvement Osho, animé par Emmanuel Moulin, connu aussi sous nom initiatique Atmo Khirad, et qui se revendique comme interlocuteur de ce mouvement pour les pays francophones. Quant à Eric Baret (parfois orthographié Barret), il commenté l’édition française du livre phare sur les 112 méditations d’Osho
Osho Rajneesh, est un gourou tantrique qui a défrayé la chronique dans les années 1980, abaissant entre autres la majorité sexuelle des jeunes filles, au sein de son groupe, à 8 ans... Ses agissements furent dénoncés par la Cour européenne des droit de l’homme.<ref>www.unadfi.org/IMG/pdf/Bhagwan_Rajneesh_Osho_2eme_partie_.pdf</ref><br>Osho se réclamait très fortement de l’héritage de Gurdjieff, au point qu’il est difficile aujourd’hui de rattacher les groupes tantriques plus à l’un ou à l’autre de ces deux maîtres à penser<ref>www.hexamide.org/prevensectes/rajneesh.pdf</ref><br>Ainsi Soledad Domec se réclamant d’ailleurs tout autant d’Osho Rajneesh que de Gurdjieff<ref>https://fr-fr.facebook.com/pages/Ser-Mujer-Femenino-Consciente/220332034763061</ref> (juste pour étayer sa propriété du blog éponyme, ci-après, avec les références Osho)<ref>http://web.archive.org/web/20140714072958/http://femeninoconsciente.blogspot.fr/2013_01_01_archive.html</ref><ref>https://forum.psiram.com/index.php?topic=12871.0</ref><br>Jean Bouchard d’Orval, comme nous l’avons vu, intervient chez Meditation France, vitrine francophone du mouvement Osho, animé par Emmanuel Moulin, connu aussi sous nom initiatique Atmo Khirad, et qui se revendique comme interlocuteur de ce mouvement pour les pays francophones. Quant à Eric Baret (parfois orthographié Barret), il commenté l’édition française du livre phare sur les 112 méditations d’Osho
<ref>http://www.meditationfrance.com/archive/2005/01e.htm</ref><ref>http://www.sannyas.org/index.php?title=Sw_Atmo_Khirad</ref><ref>http://web.archive.org/web/20130829165633/http://www.meditationfrance.com/archive/2008/0604.htm</ref><br>De son côté, la maison d’édition suisse Almasta, quasi-exclusivement dédiée à la traduction en français des ouvrages du gourou Osho, recommande chaudement les enseignements dispensés par Eric Barret et Jean Bouchart d’Orval<ref>http://web.archive.org/web/20110521074308/http://www.almasta.ch/aAvFleur.html</ref><br>Enfin, ce mouvement fait une à deux retraites par an au Domaine du Fan, en Haute-Vienne, propriété de l’anglais Michael Barnett, disciple d’Osho qui a développé son propre groupe Energy World, mouvement pointé dans la liste des sectes du rapport parlementaire français de 1996 (il installera d’ailleurs peu après la direction de son mouvement en Suisse, avec un nouveau nom).<ref>http://web.archive.org/web/20121030161516/http://bhairava.ws/seminaires.html</ref><br>Enfin Eric Baret intervient également Espagne, notamment à Barcelone où Ashram Shambala est aussi fortement implanté.<ref>http://web.archive.org/web/20120106152002/http://www.bhairava.ws/seminaires.html</ref>
<ref>http://www.meditationfrance.com/archive/2005/01e.htm</ref><ref>http://www.sannyas.org/index.php?title=Sw_Atmo_Khirad</ref><ref>http://web.archive.org/web/20130829165633/http://www.meditationfrance.com/archive/2008/0604.htm</ref><br>De son côté, la maison d’édition suisse Almasta, quasi-exclusivement dédiée à la traduction en français des ouvrages du gourou Osho, recommande chaudement les enseignements dispensés par Eric Barret et Jean Bouchart d’Orval<ref>http://web.archive.org/web/20110521074308/http://www.almasta.ch/aAvFleur.html</ref><br>Enfin, ce mouvement fait une à deux retraites par an au Domaine du Fan, en Haute-Vienne, propriété de l’anglais Michael Barnett, disciple d’Osho qui a développé son propre groupe Energy World, mouvement pointé dans la liste des sectes du rapport parlementaire français de 1996 (il installera d’ailleurs peu après la direction de son mouvement en Suisse, avec un nouveau nom).<ref>http://web.archive.org/web/20121030161516/http://bhairava.ws/seminaires.html</ref><br>Enfin Eric Baret intervient également Espagne, notamment à Barcelone où Ashram Shambala est aussi fortement implanté.<ref>http://web.archive.org/web/20120106152002/http://www.bhairava.ws/seminaires.html</ref>
Les liens de Jean Bouchart d’Orval avec la sphère Gurdjieff, la mystique de Shambala, et les mouvements de nature sectaire qui trop souvent en découlent, sont en réalité anciens, et sa contribution à l’ensemble du dispositif n’est certainement pas à sous-estimer.
Jean Bouchart d’Orval travaillait comme ingénieur à Hydro Québec, l’équivalent de l’EDF, avant de découvrir en 1974 la Méditation Transcendantale du Maaradji Mahesh, au travers des enseignements dispensés par un cousin de ce dernier le swami Shyam, opérant sur le Canada.
Il quittera Hydro Québec en 1980 pour suivre son gourou, comme de très nombreux canadiens à l’époque, et s’installer à Kullu, bourgade des contreforts de l’Himalaya, où le swami montera son propre groupe.
Bouchart d’Orval reviendra à Montréal, comme quelques autres fidèles de Shyam, pour y monter un centre de méditation à Montréal, contribuant ainsi au prosélytisme et développement du groupe.
En mars 2001, le journaliste John Stackhouse, du premier quotidien canadien « ''Globe and Mail'' », dont il est devenu depuis le rédacteur en chef, publie en première page un article dénonçant des scandales sexuels et de pédophilie qui se sont passés à Kullu, au sein de la secte du swami Shyam. Jean Bouchart d’Orval est également nommé dans cet article pour des abus sexuels commis sur des adeptes féminines à Montréal. La secte Shyam bat alors de l’aile, mais le gourou ne sera jamais extradé d’Inde... <ref>http://web.archive.org/web/20081123030018/http://www.swamishyam.com/globe_article.htm</ref><ref>http://www.swamishyam.com/</ref>
Une enquête très complète a cependant été réalisée, et mise en ligne, concernant ce qu’il s’est réellement passé à Kullu dans le Ashram de Shyam Shrivastasva, alias SCS, Swami Shyam, ou encore SS. Sa lecture minutieuse révèle des problèmes encore plus graves, avec le décès de quatre personnes (Rebecca Carson, Melissa Baer, James Frosst, Hume Wright) et plusieurs autres tentatives d’assassinats.<ref>http://web.archive.org/web/20110625135805/http://utnapishtim.net/utnapishtim/P6/utnapishtim.Q4P5.MensRea01.htm</ref>
On peut y lire qu’au cours d’un Satsang enregistré (conférence au sein du Ashram) il a été question de « ''quatre personnes mortes'' », et dans la même conversation les participants se présentant de façon rituelle, le « ''French Québecois'' » « ''doit très être Jean Bouchart d’Orval'' ». Texte original : « ''That specific individuals are mentioned in the same speech as possible "four persons died" and that these are to be associated with, One says, "I am Canadian." Canadian Indian." English." French, Québecois." Well the Canadian Indian is the Metis origin Giselle Beaupre while the Quebecois must be Jean Bouchart Dorval and likewise others. In any case it is clearly a threat to those who wish to expose SCS.'' »
En 2001, au Canada le scandale est énorme, et les adeptes déboussolés ouvriront un groupe de dialogues sur Yahoo pour échanger sur la question, et essayer de prendre de la distance. Plusieurs écrits provenant de ce ''Yahoo group'' sont retranscrits dans l’enquête publiée en ligne. On peut ainsi y lire un curieux message de Jean Bouchart d’Orval qui se démarque avec maladresse de Swami Shyam (SS) en précisant que: « ''La différence avec SS est qu'il n'est pas vu ici'' (au Canada) ''comme prenant soin de ceux dont il a abusé, et il diffame même leur nom, les qualifiant de «menteurs pathologiques» et «toxicomanes», alors que nous montrons notre amour à ceux que nous avons peut-être blessé dans le passé. "- Jean Bouchart d'Orval'' »
Texte original : « ''The difference with SS is that he is not seen here taking care of those he has abused, rather he slanders their name, calling them "pathological liars" and "drug addicts", whereas we show love to those we may have hurt in the past." -Jean Bouchart d'Orval'' »