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== Les démêlés juridiques ==
 
== Les démêlés juridiques ==
 
=== De Mirko Beljanski ===
 
=== De Mirko Beljanski ===
[...] ''"Mis en examen en mars 1994 pour « exercice illégal de la pharmacie » par un juge d'instruction de Créteil, il n'avait pas cessé pour autant de s'activer dans son nouveau laboratoire de Saint-Prim, dans l'Isère. Une condamnation, le même mois, pour « exercice illégal de la médecine et de la pharmacie », avec dispense de peine toutefois, par le tribunal de Saint-Etienne, à la suite d'une plainte initiée par l'ancien ministre Claude Evin en 1989 [...] Déjà, le ministère de la Santé lui avait ordonné en 1994 la dissolution de son association Cobra, pivot de ses réseaux de commercialisation. S'était-il senti protégé par une sorte d'immunité - l'un des bénéficiaires de son traitement particulier à l'époque n'était autre que François Mitterrand ? Toujours est-il que deux autres associations avaient pris le relais, le Collectif cancer sida (CCS)<ref>http://www.juricaf.org/arret/FRANCE-COURDECASSATION-19971216-9782120</ref> et le Ciris, toutes deux s'employant à mettre à disposition, via des pharmacies amies (une quarantaine viennent d'être perquisitionnées) ou la vente par correspondance, les fameux produits Beljanski. Un trafic suffisamment lucratif pour que les enquêteurs de la Direction nationale des enquêtes fiscales s'y intéressent<ref>http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2007-01-25/beljanski-sur-ordonnance/920/0/93541 Article du Point publié en 1996</ref>.
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[...] ''"Mis en examen en mars 1994 pour « exercice illégal de la pharmacie » par un juge d'instruction de Créteil, il n'avait pas cessé pour autant de s'activer dans son nouveau laboratoire de Saint-Prim, dans l'Isère. Une condamnation, le même mois, pour « exercice illégal de la médecine et de la pharmacie », avec dispense de peine toutefois, par le tribunal de Saint-Etienne, à la suite d'une plainte initiée par l'ancien ministre Claude Evin en 1989 [...] Déjà, le ministère de la Santé lui avait ordonné en 1994 la dissolution de son association Cobra, pivot de ses réseaux de commercialisation. S'était-il senti protégé par une sorte d'immunité - l'un des bénéficiaires de son traitement particulier à l'époque n'était autre que François Mitterrand ? Toujours est-il que deux autres associations avaient pris le relais, le Collectif cancer sida (CCS)<ref>http://www.juricaf.org/arret/FRANCE-COURDECASSATION-19971216-9782120 [...] Association COLLECTIF CANCER SIDA (CCS), contre l'arrêt n° A96/05705 de la chambre d'accusation de la cour d'appel de PARIS, en date du 26 mars 1997, qui, dans l'information suivie contre Mirko Y..., Alain Z..., Pierre G... et Monique D..., épouse Y..., notamment des chefs d'exercice illégal de la pharmacie et tromperies sur les qualités substantielles de la marchandise vendue, a confirmé l'ordonnance de refus de restitution rendue par le juge d'instruction [...]</ref> et le Ciris, toutes deux s'employant à mettre à disposition, via des pharmacies amies (une quarantaine viennent d'être perquisitionnées) ou la vente par correspondance, les fameux produits Beljanski. Un trafic suffisamment lucratif pour que les enquêteurs de la Direction nationale des enquêtes fiscales s'y intéressent<ref>http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2007-01-25/beljanski-sur-ordonnance/920/0/93541 Article du Point publié en 1996</ref>.
    
=== Puis de sa veuve Monique Beljanski ===
 
=== Puis de sa veuve Monique Beljanski ===
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