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== Contreverse avec le journaliste Olivier Hertel ==

== Contreverse avec le journaliste Olivier Hertel ==

La "chromatothérapie" a attiré l'attention d'Olivier Hertel, journaliste reconnu et bien informé, qui lui a consacré un article dans le numéro de Sciences & Avenir d'avril 2012: "La couleur ne fait pas la santé. Pratique inspirée des médecines énergétiques chinoises, la chromatothérapie - à ne pas confondre avec la luminothérapie utilisée pour traiter les dépressions saisonnières (lire Sciences et Avenir n° 767, janvier 2011) - prétend soigner plantes, animaux et hommes par la projection de lumière colorée. Son inventeur, Christian Agrapart, est ...", ce qui ne fut pas du goût des intéressés<ref>http://astrotherapie.com/science-et-avenir/</ref>. Rappelons que le Suisse est le paradis des sectes<ref>http://www.hebdo.ch/la_suisse_paradis_des_sectes_24971_.html</ref> et très laxiste en la matière des pratiques de santé non-conventionnelles, dites douces ou alternatives, et maints pseudo-thérapeutes s'y installent pour cette raison là justement.

La "chromatothérapie" a attiré l'attention d'Olivier Hertel, journaliste reconnu et bien informé, qui lui a consacré un article dans le numéro de Sciences & Avenir d'avril 2012: "La couleur ne fait pas la santé. Pratique inspirée des médecines énergétiques chinoises, la chromatothérapie - à ne pas confondre avec la luminothérapie utilisée pour traiter les dépressions saisonnières (lire Sciences et Avenir n° 767, janvier 2011) - prétend soigner plantes, animaux et hommes par la projection de lumière colorée. Son inventeur, Christian Agrapart, ...", ce qui ne fut pas du goût des intéressés<ref>http://astrotherapie.com/science-et-avenir/</ref>. Mr Hertel dans son article signale que l'inventeur de la technique ne compte qu'une seule publication scientifique (en 2003 dans le Magnesium Research) à son actif, pour des travaux qui n'ont jamais été reproduits. Il a interrogé Gilles Huberfeld, spécialiste de l'épilepsie à l'Institut du cerveau et de la moelle épinière de la Pitié-Salpêtrière pour qui l'étude est douteuse, d'autant plus que trois des quatre auteurs universitaires signataires de cette étude sont membres du comité éditorial de la revue en question.

 

Rappelons que le Suisse est le paradis des sectes<ref>http://www.hebdo.ch/la_suisse_paradis_des_sectes_24971_.html</ref> et très laxiste en la matière des pratiques de santé non-conventionnelles, dites douces ou alternatives, et maints pseudo-thérapeutes s'y installent pour cette raison là justement, pour pouvoir se prévaloir du label suisse ASCA, comme le font Mrs Agrapart et Tourniaire.

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