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*https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC4489928/ Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease
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*https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC4489928/ Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease (Préoccupations antiscientifiques et éthiques liées à la défense de la maladie de Lyme)
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Authors: ''Paul G Auwaerter'' 1, Johan S Bakken 1, Raymond J Dattwyler 1, J Stephen Dumler 1, John J Halperin 1, Edward McSweegan 1, Robert B Nadelman 1, Susan O’Connell 1, Eugene D Shapiro 1, Sunil K Sood 1, Allen C Steere 1, Arthur Weinstein 1, Gary P Wormser 1
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''Abstract: Advocacy for Lyme disease has become an increasingly important part of an antiscience movement that denies both the viral cause of AIDS and the benefits of vaccines and that supports unproven (sometimes dangerous) alternative medical treatments. Some activists portray Lyme disease, a geographically limited tick-borne infection, as a disease that is insidious, ubiquitous, difficult to diagnose, and almost incurable; they also propose that the disease causes mainly non-specific symptoms that can be treated only with long-term antibiotics and other unorthodox and unvalidated treatments. Similar to other antiscience groups, these advocates have created a pseudoscientific and alternative selection of practitioners, research, and publications and have coordinated public protests, accused opponents of both corruption and conspiracy, and spurred legislative efforts to subvert evidence-based medicine and peer-reviewed science. The relations and actions of some activists, medical practitioners, and commercial bodies involved in Lyme disease advocacy pose a threat to public health. [...]
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''Conclusions''
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Many individuals who represent themselves as Lyme disease activists and LLMDs hold and promote views of a tick-borne infectious disease that is inconsistent with credible scientific evidence. Although relatively small in number, their effect should not be underestimated. Their unorthodox perspectives and resulting practices have contributed to injury and even deaths of patients.35,65 Millions of dollars have been spent refuting their claims, and thousands of hours have been spent responding to false allegations, legal threats, congressional queries, and other harassments. At a time when unnecessary health-care expenditures are being scrutinised and widespread bacterial resistance has been linked to overuse of antibiotics, it is particularly important that unsubstantiated treatments be avoided.66
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This situation is not likely to end anytime soon. As with other antiscience groups, many Lyme disease activists are well funded and often connected to influential political and media sources. Treatment of Lyme disease with long-term antibiotics is profitable for LLMDs and can be falsely reassuring to patients, who believe that they have a debilitating chronic infection and thus do not seek diagnosis and treatment for other disorders. There is no deficiency of either new patients or activists. The medical anthropologist Sharon Kaufman wrote that “Information technology has transformed the way trust and knowledge are produced”.67 Most people now find medical information on the internet, and the websites of LLMDs and activists are often viewed as legitimate and reliable sources of information, which they may not be.68,69 Such misplaced trust has also contributed to a similar situation in Europe, with increasing pressure being brought on authorities there to sanction the use of prolonged antibiotic treatment for patients without credible evidence of Lyme disease by groups such as the German Borreliosis Society and Dutch Lyme Association. This ill-founded advocacy is being extended to other, less common, tick-borne infections (and to non-Ixodes tick-transmitted pathogens such as Bartonella).48,70
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In conclusion, activists, through public appeal and political lobbying, have managed to divert attention away from existing evidence-based medicine in their quest to redefine Lyme disease. There is a serious concern that they will further endanger the public’s health unless responsible physicians, scientists, government leaders, and the media firmly stand up for an evidence-based approach to this infection that is based on high-quality scientific studies. Many patients who have been labelled as having chronic Lyme disease arrive at this diagnosis as a consequence of inadequate or frustrating previous medical care for symptoms that are difficult to define. Patients who suspect or who have been diagnosed with chronic Lyme disease should consider seeking a comprehensive assessment from an empathetic physician. This physician should objectively look at all elements of history, physical examination, and laboratory data to guide assessment and management based on the best available clinical evidence.
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(En conclusion, les activistes, par le biais d'appels publics et de lobbying politique, ont réussi à détourner l'attention de la médecine factuelle existante dans leur quête de redéfinition de la maladie de Lyme. Il est à craindre qu'ils ne mettent encore plus en danger la santé du public, à moins que des médecins, des scientifiques, des responsables gouvernementaux et des médias responsables ne défendent fermement une approche de cette infection fondée sur des études scientifiques de grande qualité. De nombreux patients étiquetés comme souffrant de la maladie de Lyme chronique sont arrivés à ce diagnostic à la suite de soins médicaux antérieurs inadéquats ou frustrants pour des symptômes difficiles à définir. Les patients qui soupçonnent ou qui ont été diagnostiqués comme souffrant de la maladie de Lyme chronique devraient envisager de demander une évaluation complète à un médecin empathique. Ce médecin doit examiner objectivement tous les éléments de l'anamnèse, de l'examen physique et des données de laboratoire afin d'orienter l'évaluation et la prise en charge sur la base des meilleures preuves cliniques disponibles.)
    
*https://www.conspiracywatch.info/notice/christian-perronne<br>Le Pr Christian Perronne est un infectiologue controversé, connu en particulier pour avoir publié le livre ''Y a-t-il une erreur qu'ILS n'ont pas commise ?'' (Albin Michel, juin 2020), véritable succès de librairie au cours de l'été 2020.<br><br>Le 17 décembre 2020, il a été mis fin à ses fonctions de chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l'hôpital Raymond-Poincaré à Garches (AP-HP), dans les Hauts-de-Seine, sur décision de Martin Hirsch, directeur général de l'AP-HP.<br><br>L’AP-HP a en outre déposé une plainte contre Christian Perronne auprès du conseil départemental de l’ordre des médecins, compte tenu des attaques ad hominem proférées publiquement par le médecin à l’encontre d’un confrère et pour avoir notamment affirmé que les malades du Covid représentaient une aubaine financière pour les médecins.<br><br>Ayant pris fait et cause pour le traitement à base d'hydroxychloroquine et d'azithromycine préconisé par le Pr Didier Raoult contre la Covid-19 (le 30 mars 2020, dans l'émission de Cyril Hanouna, « Balance ton post ! », Christian Perronne déclare : « ''C’est une évidence scientifique mondiale. Ça marche et nous ne faisons pas ce choix'' »), l'infectiologue est devenu pendant la pandémie une icône médiatique célébrée aussi bien par le journaliste André Bercoff (Sud Radio) [archive] que par le député souverainiste Nicolas Dupont-Aignan ou le vidéaste complotiste Silvano Trotta [archive] qui l'interviewe pendant une heure, le 26 juin 2020, en visio-conférence (la vidéo, postée sur YouTube, a été vue plus de 129 000 fois à ce jour).<br><br>Dans son livre, Christian Perronne accuse ses confrères d'avoir écarté l'hydroxychloroquine pour satisfaire les laboratoires pharmaceutiques. Le 14 juin 2020, sur CNews, il accuse le CHU de Nantes d’avoir laissé mourir son beau-frère de la Covid-19. Le lendemain, sur BFM TV, il estime que 25 000 morts auraient pu être évités si les autorités avaient permis l'utilisation massive de l'hydroxycholoroquine. Des chiffres jugés « ''fantaisistes'' » par le Pr Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié Salpêtrière à Paris.<br><br>[Psiram.com : est proposée ici la vidéo de la colère de @GilbertDeray à l’égard du professeur Christian Perronne]<br><br>Le 16 juin 2020, sur Sud Radio, Christian Perronne déclare : <br>« ''C'est une honte totale qui est immorale de continuer à dire que l'étude de Raoult ne montre rien, que c'est pas fait selon les canons de la science. C’est fait parfaitement selon les canons de la science ! Faut arrêter de délirer ! Tout ça, c'est parce que tous ces experts qui disent ça sont achetés par l'industrie pharmaceutique, j'ai pas peur de le dire : c'est une honte nationale !'' »<br><br>Le 23 juin 2020, le Pr Perronne est désavoué par la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF) qui dénonce ses « ''affirmations sans fondement » et « graves'' » qui « ''font passer pour des "criminels" les médecins qui s’appuient sur les données de la science pour soigner leurs patients, tout en cherchant à imposer des traitements probablement inefficaces'' ».<br>[...]<br><br>
 
*https://www.conspiracywatch.info/notice/christian-perronne<br>Le Pr Christian Perronne est un infectiologue controversé, connu en particulier pour avoir publié le livre ''Y a-t-il une erreur qu'ILS n'ont pas commise ?'' (Albin Michel, juin 2020), véritable succès de librairie au cours de l'été 2020.<br><br>Le 17 décembre 2020, il a été mis fin à ses fonctions de chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l'hôpital Raymond-Poincaré à Garches (AP-HP), dans les Hauts-de-Seine, sur décision de Martin Hirsch, directeur général de l'AP-HP.<br><br>L’AP-HP a en outre déposé une plainte contre Christian Perronne auprès du conseil départemental de l’ordre des médecins, compte tenu des attaques ad hominem proférées publiquement par le médecin à l’encontre d’un confrère et pour avoir notamment affirmé que les malades du Covid représentaient une aubaine financière pour les médecins.<br><br>Ayant pris fait et cause pour le traitement à base d'hydroxychloroquine et d'azithromycine préconisé par le Pr Didier Raoult contre la Covid-19 (le 30 mars 2020, dans l'émission de Cyril Hanouna, « Balance ton post ! », Christian Perronne déclare : « ''C’est une évidence scientifique mondiale. Ça marche et nous ne faisons pas ce choix'' »), l'infectiologue est devenu pendant la pandémie une icône médiatique célébrée aussi bien par le journaliste André Bercoff (Sud Radio) [archive] que par le député souverainiste Nicolas Dupont-Aignan ou le vidéaste complotiste Silvano Trotta [archive] qui l'interviewe pendant une heure, le 26 juin 2020, en visio-conférence (la vidéo, postée sur YouTube, a été vue plus de 129 000 fois à ce jour).<br><br>Dans son livre, Christian Perronne accuse ses confrères d'avoir écarté l'hydroxychloroquine pour satisfaire les laboratoires pharmaceutiques. Le 14 juin 2020, sur CNews, il accuse le CHU de Nantes d’avoir laissé mourir son beau-frère de la Covid-19. Le lendemain, sur BFM TV, il estime que 25 000 morts auraient pu être évités si les autorités avaient permis l'utilisation massive de l'hydroxycholoroquine. Des chiffres jugés « ''fantaisistes'' » par le Pr Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié Salpêtrière à Paris.<br><br>[Psiram.com : est proposée ici la vidéo de la colère de @GilbertDeray à l’égard du professeur Christian Perronne]<br><br>Le 16 juin 2020, sur Sud Radio, Christian Perronne déclare : <br>« ''C'est une honte totale qui est immorale de continuer à dire que l'étude de Raoult ne montre rien, que c'est pas fait selon les canons de la science. C’est fait parfaitement selon les canons de la science ! Faut arrêter de délirer ! Tout ça, c'est parce que tous ces experts qui disent ça sont achetés par l'industrie pharmaceutique, j'ai pas peur de le dire : c'est une honte nationale !'' »<br><br>Le 23 juin 2020, le Pr Perronne est désavoué par la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF) qui dénonce ses « ''affirmations sans fondement » et « graves'' » qui « ''font passer pour des "criminels" les médecins qui s’appuient sur les données de la science pour soigner leurs patients, tout en cherchant à imposer des traitements probablement inefficaces'' ».<br>[...]<br><br>
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*https://factuel.afp.com/doc.afp.com.9X68P6 Attention aux assertions trompeuses de Christian Perronne sur la vaccination anti-Covid devant des députés luxembourgeois (Article publié par l'Agence France-Presse (AFP) le mardi 23 novembre 2021)<br><br>
 
*https://factuel.afp.com/doc.afp.com.9X68P6 Attention aux assertions trompeuses de Christian Perronne sur la vaccination anti-Covid devant des députés luxembourgeois (Article publié par l'Agence France-Presse (AFP) le mardi 23 novembre 2021)<br><br>
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*https://lesgeneralistes-csmf.fr/2021/06/10/egora-compromission-de-la-has-business-des-medecins-le-pr-caumes-devoile-le-cote-obscur-de-la-maladie-de-lyme/ <br>La maladie de Lyme, il est tombé dedans “comme Obélix dans la potion magique”. Devenu un expert malgré lui, le Pr Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de La Pitié-Salpêtrière (AP-HP), dénonce dans un ouvrage “le complotisme scientifique” de la maladie de Lyme. Sans nier son existence ni la “souffrance” de ceux qui pensent, à tort, en être atteints et se retrouvent en errance diagnostique, l’infectiologue pointe les fausses promesses des “Lyme docteurs” et la “complaisance”, voire la “compromission”, des autorités sanitaires. Il revient également sur ses rapports mouvementés avec le Pr Christian Perronne, idole déchue des activistes Lyme. Interview. [...]<br><br>
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*https://lesgeneralistes-csmf.fr/2021/06/10/egora-compromission-de-la-has-business-des-medecins-le-pr-caumes-devoile-le-cote-obscur-de-la-maladie-de-lyme/ <br>La maladie de Lyme, il est tombé dedans “comme Obélix dans la potion magique”. Devenu un expert malgré lui, le Pr Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de La Pitié-Salpêtrière (AP-HP), dénonce dans un ouvrage “le complotisme scientifique” de la maladie de Lyme. Sans nier               son existence ni la “souffrance” de ceux qui pensent, à tort, en être atteints et se retrouvent en errance diagnostique, l’infectiologue pointe les fausses promesses des “Lyme docteurs” et la “complaisance”, voire la “compromission”, des autorités sanitaires. Il revient également sur ses rapports mouvementés avec le Pr Christian Perronne, idole déchue des activistes Lyme. Interview. [...]<br><br>
    
*https://plural-21.org/post/christian-perronne-en-madrid-bilbao-y-barcelona Christian Perronne annonce sur le site indépendantiste catalan plural-21 basé à Barcelone des conférences à Madrid, Bilbao et Barcelone programmées pour les 29, 30 avril et le 1er mai 2023. <br>Or, Plural-21 est un site pro-[[Médecine Nouvelle Germanique]], anti-vaccins, dénialiste du SIDA (le refus d'admettre que le VIH cause le sida), promoteur du plasma marin de Quinton (la panacée préférée de [[Maria Teresa Ilari]], autre personne intervenant en personne sur le site plural-21 pour proposer des cours de [[Médecine Nouvelle Germanique]]). Sur ce site sont aussi proposées des formations à la [[Médecine Nouvelle Germanique]] animées par [[Javier Herráez]].
 
*https://plural-21.org/post/christian-perronne-en-madrid-bilbao-y-barcelona Christian Perronne annonce sur le site indépendantiste catalan plural-21 basé à Barcelone des conférences à Madrid, Bilbao et Barcelone programmées pour les 29, 30 avril et le 1er mai 2023. <br>Or, Plural-21 est un site pro-[[Médecine Nouvelle Germanique]], anti-vaccins, dénialiste du SIDA (le refus d'admettre que le VIH cause le sida), promoteur du plasma marin de Quinton (la panacée préférée de [[Maria Teresa Ilari]], autre personne intervenant en personne sur le site plural-21 pour proposer des cours de [[Médecine Nouvelle Germanique]]). Sur ce site sont aussi proposées des formations à la [[Médecine Nouvelle Germanique]] animées par [[Javier Herráez]].
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