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''Parce que cette employée de justice (juge de Wr. Neustadt) ne pouvait ou ne voulait pas s'identifier, je l'ai poursuivie en justice et condamnée dans l'UCC. Cela a été interprété comme une "résistance à l'autorité de l'Etat".''
 
''Parce que cette employée de justice (juge de Wr. Neustadt) ne pouvait ou ne voulait pas s'identifier, je l'ai poursuivie en justice et condamnée dans l'UCC. Cela a été interprété comme une "résistance à l'autorité de l'Etat".''
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Il s'agissait à l'origine d'une plainte de Björn Eybl<ref>https://www.psiram.com/de/index.php/Bj%C3%B6rn_Eybl (allemand)</ref> contre Pilhar. Eybl accusait Pilhar de vol de la propriété intellectuelle des enseignements de Hamer. Pilhar a demandé à la juge juge de se légitimer : "''Si cela n'est pas fait, je dois partir du principe que le tribunal est une entreprise''". Pilhar s'est appuyé sur le registre du commerce américain Uniform Commercial Code (UCC) (voir Malta Masche<ref>https://www.psiram.com/de/index.php/Malta-Masche</ref>), utilisé par les "refusants de l'État" autrichiens (voir Reichsbürgerbewegung<ref>https://www.psiram.com/de/index.php/Reichsb%C3%BCrgerbewegung</ref>). Pilhar a accordé à la juge un délai de 72 heures pour la légitimation, faute de quoi 30.000 euros seraient dus. Pour cela, la juge devait présenter entre autres l'acte de fondation de la République d'Autriche, du Land de Basse-Autriche, sa carte officielle et sa carte de service. N'ayant pas reçu de réponse, il a rédigé début 2017 trois autres lettres, dont une "déclaration de nullité", un "jugement par défaut" ainsi qu'un "rappel de paiement" dans lequel Pilhar demandait des dommages et intérêts d'un montant de 300.000 euros. Il s'y décrivait comme "fils du créateur" et signait d'une empreinte digitale. Des ébauches de ses lettres provenaient du site web de la "Confédération des États d'Autriche".
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Il s'agissait à l'origine d'une plainte de [[Björn Eybl]] contre Pilhar. Eybl accusait Pilhar de vol de la propriété intellectuelle des enseignements de [[Ryke Geerd Hamer|Hamer]]. Pilhar a demandé à la juge juge de se légitimer : "''Si cela n'est pas fait, je dois partir du principe que le tribunal est une entreprise''". Pilhar s'est appuyé sur le registre du commerce américain Uniform Commercial Code (UCC) (voir Malta Masche<ref>https://www.psiram.com/de/index.php/Malta-Masche (allemand)</ref>), utilisé par les "refusants de l'État" autrichiens (voir Reichsbürgerbewegung<ref>https://www.psiram.com/de/index.php/Reichsb%C3%BCrgerbewegung (allemand)</ref>). Pilhar a accordé à la juge un délai de 72 heures pour la légitimation, faute de quoi 30.000 euros seraient dus. Pour cela, la juge devait présenter entre autres l'acte de fondation de la République d'Autriche, du Land de Basse-Autriche, sa carte officielle et sa carte de service. N'ayant pas reçu de réponse, il a rédigé début 2017 trois autres lettres, dont une "déclaration de nullité", un "jugement par défaut" ainsi qu'un "rappel de paiement" dans lequel Pilhar demandait des dommages et intérêts d'un montant de 300.000 euros. Il s'y décrivait comme "fils du créateur" et signait d'une empreinte digitale. Des ébauches de ses lettres provenaient du site web de la "Confédération des États d'Autriche".
    
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