Un sondage national Harris d'octobre 2002 a montré qu'à l'époque, les consommateurs étaient encore très confus quant aux différences entre les compléments et les produits pharmaceutiques. Ainsi, 59 % des personnes interrogées croyaient que les compléments devaient être approuvés par une agence gouvernementale avant de pouvoir être commercialisés ; 68 % croyaient que les compléments devaient énumérer les effets secondaires potentiels sur leurs étiquettes ; et 55 % croyaient que les étiquettes des compléments ne pouvaient pas faire d'allégations de sécurité sans preuves scientifiques. Toutes ces croyances sont incorrectes en raison des dispositions de la DSHEA. <br>[Psiram.com: La référence 20 conduisait à un article intitué "''Dangerous Supplements: Still at Large''" publié dans le journal de la DSHEA (Dietary Supplements and Health Education Act) en 2004 réservé au abonnés.] | Un sondage national Harris d'octobre 2002 a montré qu'à l'époque, les consommateurs étaient encore très confus quant aux différences entre les compléments et les produits pharmaceutiques. Ainsi, 59 % des personnes interrogées croyaient que les compléments devaient être approuvés par une agence gouvernementale avant de pouvoir être commercialisés ; 68 % croyaient que les compléments devaient énumérer les effets secondaires potentiels sur leurs étiquettes ; et 55 % croyaient que les étiquettes des compléments ne pouvaient pas faire d'allégations de sécurité sans preuves scientifiques. Toutes ces croyances sont incorrectes en raison des dispositions de la DSHEA. <br>[Psiram.com: La référence 20 conduisait à un article intitué "''Dangerous Supplements: Still at Large''" publié dans le journal de la DSHEA (Dietary Supplements and Health Education Act) en 2004 réservé au abonnés.] |