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== Liens externes ==
 
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* https://ffmvt.org/actualites/analyse-critique-des-dernieres-recommandations-de-l-idsa<br>'''Analyse critique des dernières recommandations de l'IDSA'''<br>En novembre 2018, le Ministère de la Santé des USA (U.S. Department of Health and Human Services) a rendu public le rapport d'un groupe de travail sur la maladie de Lyme. Ce groupe de travail était composé de médecins, chercheurs, et représentants d'associations de patients, exactement comme le groupe de travail ayant travaillé en France en 2017-2018, sous l'égide de la HAS (Haute Autorité de Santé). Dans un communiqué du 23 novembre 2018, la FFMVT avait souligné la similitude frappante des conclusions de ces 2 groupes de travail.<br>Le 4 juillet 2019 a été publié un projet de nouvelles recommandations émanant de l'IDSA (Infectious Diseases Society of America), la société savante sur laquelle la SPILF (Société de pathologie infectieuse de langue française) calque systématiquement ses positions. En 2019, l'IDSA a donc décidé de revenir sur les conclusions du groupe de travail de 2018. Mais l'IDSA est légalement tenue de prendre en compte, et répondre à des objections qui pourraient être faites à son projet du 4 juillet, objections qui doivent avoir été rendues publiques sous 45 jours. On notera que, pour décourager cette analyse critique, le document de l'IDSA, qui fait 300 pages avec les documents supplémentaires, n'est pas téléchargeable.<br>Une réponse au projet de l'IDSA a été publiée dans les délais, le 8 août 2018, par un consortium regroupant initialement 35 groupes, dont une autre société savante [Remarque de Psiram.com: L'ILDAS n'est pas une société savante…], l'[[ILADS]] (International Lyme and Associated Diseases Society), une association spécialisée dans les enquêtes auprès des patients (LymeDisease.org, dirigée par Lorraine Johnson), et une association caritative qui finance des recherches sur la [[maladie de Lyme]] (Bay Area Lyme Foundation). Depuis, ce groupe a été rejoint par de nombreuses autres organisations de l’hémisphère nord et regroupe aujourd’hui, avec la [[FFMVT]] et ses associations, un consortium de 80 organisations.<br>Ce consortium de patients et de médecins (Ad Hoc Patient and Physician Coalition), appelé coalition dans la suite du texte, a publié un rapport très précis, de 55 pages, avec de nombreuses références bibliographiques à l'appui de ses demandes de correction des propositions de l'IDSA.<br>Ce qui suit est une sélection, par la FFMVT, des conclusions les plus marquantes du contre-rapport de la coalition. Les parties en italiques sont une traduction de passages de ce rapport. [...]<br>[Remarque de Psiram.com: la suite de l'article montre l'adhésion totale de la [[FFMVT]] et des associations de patients français qu'elle regroupe aux thèses controversées de l'[[ILADS]]]<br><br>
 
* https://ffmvt.org/actualites/analyse-critique-des-dernieres-recommandations-de-l-idsa<br>'''Analyse critique des dernières recommandations de l'IDSA'''<br>En novembre 2018, le Ministère de la Santé des USA (U.S. Department of Health and Human Services) a rendu public le rapport d'un groupe de travail sur la maladie de Lyme. Ce groupe de travail était composé de médecins, chercheurs, et représentants d'associations de patients, exactement comme le groupe de travail ayant travaillé en France en 2017-2018, sous l'égide de la HAS (Haute Autorité de Santé). Dans un communiqué du 23 novembre 2018, la FFMVT avait souligné la similitude frappante des conclusions de ces 2 groupes de travail.<br>Le 4 juillet 2019 a été publié un projet de nouvelles recommandations émanant de l'IDSA (Infectious Diseases Society of America), la société savante sur laquelle la SPILF (Société de pathologie infectieuse de langue française) calque systématiquement ses positions. En 2019, l'IDSA a donc décidé de revenir sur les conclusions du groupe de travail de 2018. Mais l'IDSA est légalement tenue de prendre en compte, et répondre à des objections qui pourraient être faites à son projet du 4 juillet, objections qui doivent avoir été rendues publiques sous 45 jours. On notera que, pour décourager cette analyse critique, le document de l'IDSA, qui fait 300 pages avec les documents supplémentaires, n'est pas téléchargeable.<br>Une réponse au projet de l'IDSA a été publiée dans les délais, le 8 août 2018, par un consortium regroupant initialement 35 groupes, dont une autre société savante [Remarque de Psiram.com: L'ILDAS n'est pas une société savante…], l'[[ILADS]] (International Lyme and Associated Diseases Society), une association spécialisée dans les enquêtes auprès des patients (LymeDisease.org, dirigée par Lorraine Johnson), et une association caritative qui finance des recherches sur la [[maladie de Lyme]] (Bay Area Lyme Foundation). Depuis, ce groupe a été rejoint par de nombreuses autres organisations de l’hémisphère nord et regroupe aujourd’hui, avec la [[FFMVT]] et ses associations, un consortium de 80 organisations.<br>Ce consortium de patients et de médecins (Ad Hoc Patient and Physician Coalition), appelé coalition dans la suite du texte, a publié un rapport très précis, de 55 pages, avec de nombreuses références bibliographiques à l'appui de ses demandes de correction des propositions de l'IDSA.<br>Ce qui suit est une sélection, par la FFMVT, des conclusions les plus marquantes du contre-rapport de la coalition. Les parties en italiques sont une traduction de passages de ce rapport. [...]<br>[Remarque de Psiram.com: la suite de l'article montre l'adhésion totale de la [[FFMVT]] et des associations de patients français qu'elle regroupe aux thèses controversées de l'[[ILADS]]]<br><br>
* https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_de_Lyme Voir le paragraphe "Controverse sociétale". On y lit: "Il s'agit de thèses et arguments développés par un courant alternatif, opposé aux recommandations officielles des sociétés savantes qui, elles, font consensus à leur niveau international, et qui sont reprises par l'ensemble des autorités sanitaires en Amérique du Nord comme en Europe.<br>Ce courant alternatif est apparu aux États-Unis, dans les années 1990, où des médecins se sont rassemblés dans une ''International Lyme and Associated Diseases Society'' (ILADS), appuyée par des associations de malades. Ce courant soutient que les recommandations officielles sont trop restrictives, que la maladie est sous-diagnostiquée et sous-traitée. Il cherche donc à promouvoir de nouvelles attitudes thérapeutiques auprès des pouvoirs publics, notamment par la reconnaissance d'une « [[maladie de Lyme chronique|maladie chronique de Lyme]] », et d'une antibiothérapie de très longue durée, parfois associée à des thérapies non conventionnelles.<br>En 2019, une revue des recommandations européennes et américaines concernant le diagnostic de la maladie de Lyme, montre que sur les directives de 16 sociétés savantes de 7 pays, une seule est différente des autres (une société allemande, la Deutsche Borreliose-Gesellschaft, non reconnue comme société savante par les autorités de santé allemandes). …"
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* https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_de_Lyme Voir le paragraphe "Controverse sociétale". On y lit: "Il s'agit de thèses et arguments développés par un courant alternatif, opposé aux recommandations officielles des sociétés savantes qui, elles, font consensus à leur niveau international, et qui sont reprises par l'ensemble des autorités sanitaires en Amérique du Nord comme en Europe.<br>Ce courant alternatif est apparu aux États-Unis, dans les années 1990, où des médecins se sont rassemblés dans une ''[[ILADS|International Lyme and Associated Diseases Society'' (ILADS)]], appuyée par des associations de malades. Ce courant soutient que les recommandations officielles sont trop restrictives, que la maladie est sous-diagnostiquée et sous-traitée. Il cherche donc à promouvoir de nouvelles attitudes thérapeutiques auprès des pouvoirs publics, notamment par la reconnaissance d'une « [[maladie de Lyme chronique|maladie chronique de Lyme]] », et d'une antibiothérapie de très longue durée, parfois associée à des thérapies non conventionnelles. <ref>Alison Tonks, « Lyme wars », British Medical Journal, vol. 335, no 7626,‎ 3 novembre 2007, p. 910–912 (ISSN 0959-8138, PMID 17974685, PMCID PMCPMC2048873, DOI 10.1136/bmj.39363.530961.AD, lire en ligne [archive], consulté le 9 juin 2019)</ref><br>En 2019, une revue des recommandations européennes et américaines concernant le diagnostic de la [[maladie de Lyme]], montre que sur les directives de 16 sociétés savantes de 7 pays, une seule est différente des autres (une société allemande, la Deutsche Borreliose-Gesellschaft, non reconnue comme société académique [Psiram.com: Ici, ils veulent dire, que ce n'est pas une société savante] par les autorités allemandes). La conclusion est « Contrairement au débat animé qui a lieu sur Internet et dans les médias européens et américains, notre analyse montre que la majorité des recommandations scientifiques médicales associées à un score qualitatif élevé s'accordent sur les méthodes diagnostiques cliniques de la [[maladie de Lyme]] ». <ref>https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0399077X18306760?via%3Dihub Review of European and American guidelines for the diagnosis of Lyme borreliosis<br>Revue des recommandations européennes et américaines concernant le diagnostic de la maladie de Lyme<br>Authors: C.Eldin, A. Raffetin, K.Bouiller, Y.Hansmann, F.Roblote, D.Raoult, P.Parola<br>publié dans Médecine et Maladies Infectieuses, Volume 49, Issue 2, March 2019, Pages 121-132</ref>
    
== Voir aussi ==
 
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