Modifications

Un article (en anglais) où il est question des victimes décédées Karen McBeth et JoAnn Burggraf<ref>http://seattletimes.nwsource.com/html/localnews/2004020583_miracle18m2.html En anglais</ref>, et un article aussi en anglais<ref>http://seattletimes.nwsource.com/html/localnews/2004026747_miracle21m.html En anglais</ref> où on apprend: [...] L'autre appareil sous enquête par la FDA (Food and Drug Administration) est la EPFX, fabriqués à Budapest par William Nelson, un fugitif fédéral accusé de fraude criminelle de soins de santé.

Un article (en anglais) où il est question des victimes décédées Karen McBeth et JoAnn Burggraf<ref>http://seattletimes.nwsource.com/html/localnews/2004020583_miracle18m2.html En anglais</ref>, et un article aussi en anglais<ref>http://seattletimes.nwsource.com/html/localnews/2004026747_miracle21m.html En anglais</ref> où on apprend: [...] L'autre appareil sous enquête par la FDA (Food and Drug Administration) est la EPFX, fabriqués à Budapest par William Nelson, un fugitif fédéral accusé de fraude criminelle de soins de santé.

Interessant de constater sur ces films la méthode de travail des "apôtres" de Bill Nelson. Pour la plupart, ils cherchent des premiers contacts dans les couloirs des centres commerciaux, mais aussi dans des lieux plus restreints comme des clubs de tennis, des clubs de golf où ils proposent "un premier bilan de santé" à 30 ou 50 Euros. Certains se déplacent en mobilehome ( AP 5xxxx) à travers la France. Les clients les plus enthousiastes ou "ceux déclarés les plus malades" sont ensuite envoyés vers des "spécialistes", praticiens de SCIO et membres de la famille SCIO. A d'autres on essaie de vendre un SCIO. Ainsi l'apôtre a trois ressources de revenus: le bilan de santé payant, la commission pour l'envoi des clients et la marge importante sur la vente d'un appareil SCIO.

Interessant de constater sur ces films la méthode de travail des "apôtres" de Bill Nelson. Pour la plupart, ils cherchent des premiers contacts dans les couloirs des centres commerciaux, mais aussi dans des lieux plus restreints comme des clubs de tennis, des clubs de golf où ils proposent "un premier bilan de santé" à 30 ou 50 Euros. Certains se déplacent même en campingcar ( AP 52xxx) à travers la France. Les clients les plus enthousiastes ou "ceux déclarés les plus malades" sont ensuite envoyés vers des "spécialistes", praticiens de SCIO et membres de la famille SCIO. A d'autres on essaie de vendre un SCIO. Ainsi l'apôtre a trois ressources de revenus: le bilan de santé payant, la commission pour l'envoi des clients et la marge importante sur la vente d'un appareil SCIO.

Voir ici<ref>http://seattletimes.nwsource.com/ABPub/2007/11/17/2004020613.pdf En anglais</ref> l'empire de Bill Nelson. On peut constater qu'en fait partie IMUNE (International Medical University Education of Natural Education basée à Genève, une école d'enseignement à distance qui offre la vente par correspondance de diplômes médicaux), qu'on retrouve également sur les deux sites de Turblin.

Voir ici<ref>http://seattletimes.nwsource.com/ABPub/2007/11/17/2004020613.pdf En anglais</ref> l'empire de Bill Nelson. On peut constater qu'en fait partie IMUNE (International Medical University Education of Natural Education basée à Genève, une école d'enseignement à distance qui offre la vente par correspondance de diplômes médicaux), qu'on retrouve également sur les deux sites de Turblin.