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La personne condamnée avait indépendamment supprimé les références aux envois postaux selon lesquelles les émulsions n'étaient pas destinées à être utilisées sur les humains et les animaux, avait fourni aux flacons une date de péremption arbitraire et avait joint des seringues et des adaptateurs pour les administrer. Il a également demandé à un membre du personnel d'injecter le médicament d'un patient cancéreux. "L'injection à elle seule donne l'impression qu'elle est considérée comme un médicament", a déclaré le juge. La question de l'intention a également été expliquée par le tribunal. Par exemple, l'entrepreneur s'est fait délivrer un certificat d'innocuité par un expert - mais il l'a trompé en lui donnant une mauvaise ordonnance.
 
La personne condamnée avait indépendamment supprimé les références aux envois postaux selon lesquelles les émulsions n'étaient pas destinées à être utilisées sur les humains et les animaux, avait fourni aux flacons une date de péremption arbitraire et avait joint des seringues et des adaptateurs pour les administrer. Il a également demandé à un membre du personnel d'injecter le médicament d'un patient cancéreux. "L'injection à elle seule donne l'impression qu'elle est considérée comme un médicament", a déclaré le juge. La question de l'intention a également été expliquée par le tribunal. Par exemple, l'entrepreneur s'est fait délivrer un certificat d'innocuité par un expert - mais il l'a trompé en lui donnant une mauvaise ordonnance.
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Dans le même temps, le tribunal a ordonné la confiscation du bénéfice de 4,5 millions d'euros ainsi réalisé. Le ministère public avait exigé cinq ans d'emprisonnement. L'épouse de la personne condamnée fait toujours l'objet d'une enquête, elle doit répondre de ses actes dans le cadre d'une procédure distincte. Le médicament distribué par la personne condamnée a déjà eu une carrière effrayante sous d'autres noms : la société Immuno Biotech l'a également distribué sous le nom de [[GcMAF]] comme prétendu médicament anticancéreux. L'année dernière, les autorités autrichiennes ont arrêté plusieurs suspects qui ont également vendu la drogue sous le nom de Powerlight à des personnes gravement malades.<ref>https://www.apotheke-adhoc.de/nachrichten/detail/panorama/nuernberg-vier-jahre-gefaengnis-fuer-arzneimittelpanscher/</ref> https://www.apotheke-adhoc.de/nachrichten/detail//betrug-mit-angeblichen-medikamenten-in-oesterreich-aufgedeckt/</ref><ref>https://www.basg.gv.at/illegalitaeten/warnungen-informationen/offene-meldungen/powerlight-und-gcmaf/</ref>
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Dans le même temps, le tribunal a ordonné la confiscation du bénéfice de 4,5 millions d'euros ainsi réalisé. Le ministère public avait exigé cinq ans d'emprisonnement. L'épouse de la personne condamnée fait toujours l'objet d'une enquête, elle doit répondre de ses actes dans le cadre d'une procédure distincte. Le médicament distribué par la personne condamnée a déjà eu une carrière effrayante sous d'autres noms : la société Immuno Biotech l'a également distribué sous le nom de [[GcMAF]] comme prétendu médicament anticancéreux. L'année dernière, les autorités autrichiennes ont arrêté plusieurs suspects qui ont également vendu la drogue sous le nom de Powerlight à des personnes gravement malades.<ref>https://www.apotheke-adhoc.de/nachrichten/detail/panorama/nuernberg-vier-jahre-gefaengnis-fuer-arzneimittelpanscher/</ref> <ref>https://www.apotheke-adhoc.de/nachrichten/detail//betrug-mit-angeblichen-medikamenten-in-oesterreich-aufgedeckt/</ref><ref>https://www.basg.gv.at/illegalitaeten/warnungen-informationen/offene-meldungen/powerlight-und-gcmaf/</ref><ref>https://www.sueddeutsche.de/news/panorama/kriminalitaet---nuernberg-angebliche-krebsmittel-vier-jahre-haft-fuer-geschaeftsmann-dpa.urn-newsml-dpa-com-20090101-190515-99-233682</ref>
    
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