| * Le Soleil n'émettrait pas de lumière par lui-même, et ne ferait que refléter celle des autres soleils; finalement la lumière proviendrait de Dieu qui éclaire l'ensemble. | | * Le Soleil n'émettrait pas de lumière par lui-même, et ne ferait que refléter celle des autres soleils; finalement la lumière proviendrait de Dieu qui éclaire l'ensemble. |
− | Déjà de son vivant, le petit cercle de sympathisants faisait des copies des manuscrits et des "messages reçus" du prophète. Le premier éditeur de quelques unes de ses oeuvres fut l'ingénieur des chemin de fer allemand [[Carl-Friedrich Zimpel]] en 1852. D'autres furent ensuite éditées par l'ami de Lorber, Johannes Bush à partir de 1856. Après le décès de ce dernier, les manuscrits ont été rassemblés et publiés par la maison d'édition fondée en 1885 à Bietigheim par Christoph Friedrich Landbeck sous le nom de "Neutheosophischer-Verlag". La même maison d'édition, pour se différencier du groupe de Rudolph Steiner, porta ensuite en 1907 le nom de "Neu-Salems-Verlag" et aujourd’hui le nom de "Lorber-Verlag-Otto-Zluhan", en raccourci "Lorber-Verlag". Elle conserve les écrits de Jakob Lorber depuis 1985 à Bietigheim. Depuis une trentaine d’année, avec l'explosion de la littérature ésotérique, la propagande a repris activement avec l’aide financière d’une association de soutien à la diffusion de l'œuvre, le "Jakob-Lorber-Förderungswerk" (''oeuvre de soutien Jakob Lorber''). Des traductions ont été faites en de nombreuses langues, ainsi que des enregistrements sur cassettes audio. Les Lorbériens sont très actifs sur internet, sites de présentation, forums, films en libre accès sur Youtube, et propositions de médicaments selon les recettes de Jakob Lorber. | + | Déjà de son vivant, le petit cercle de sympathisants faisait des copies des manuscrits et des "messages reçus" du prophète. Le premier éditeur de quelques unes de ses oeuvres fut l'ingénieur des chemin de fer allemand [[Carl-Friedrich Zimpel]] en 1852. D'autres furent ensuite éditées par l'ami de Lorber, Johannes Bush à partir de 1856. Après le décès de ce dernier, les manuscrits ont été rassemblés et publiés par la maison d'édition fondée en 1885 à Bietigheim par le spirite Christoph Friedrich Landbeck sous le nom de "Neutheosophischer-Verlag". La même maison d'édition, pour se différencier du groupe de Rudolph Steiner, porta ensuite en 1907 le nom de "Neu-Salems-Verlag" et aujourd’hui le nom de "Lorber-Verlag-Otto-Zluhan", en raccourci "Lorber-Verlag". Elle conserve les écrits de Jakob Lorber depuis 1985 à Bietigheim. Depuis une trentaine d’année, avec l'explosion de la littérature ésotérique, la propagande a repris activement avec l’aide financière d’une association de soutien à la diffusion de l'œuvre, le "Jakob-Lorber-Förderungswerk" (''oeuvre de soutien Jakob Lorber''). Des traductions ont été faites en de nombreuses langues, ainsi que des enregistrements sur cassettes audio. Les Lorbériens sont très actifs sur internet, sites de présentation, forums, films en libre accès sur Youtube, et propositions de médicaments selon les recettes de Jakob Lorber. |