Modifications

551 octets ajoutés ,  11 août 2017 à 14:21
Ligne 37 : Ligne 37 :  
'''9 février 2011.'''<br>KANSAS CITY, Kan. (AP) - Un médecin du Kansas a été condamné à une peine déjà accomplie [pendant la détention préventive?] après avoir plaidé coupable de faire partie d'un plan pour vendre un système faux/bidon pour diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme. Le procureur US [U.S. Attorney], Barry Grissom, a déclaré mercredi que John Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, avait également été condamné à deux ans de mise en liberté surveillée et a été condamné à une amende de 25 100 $. Toth a déjà purgé 26 mois de prison après avoir plaidé coupable pour les accusations d'homicide involontaire de l'État en 2007 après le décès d'un patient. Il a été libéré en 2010. Dans l'affaire fédérale, Toth a admis en octobre que lui et les trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont dit pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie.   
 
'''9 février 2011.'''<br>KANSAS CITY, Kan. (AP) - Un médecin du Kansas a été condamné à une peine déjà accomplie [pendant la détention préventive?] après avoir plaidé coupable de faire partie d'un plan pour vendre un système faux/bidon pour diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme. Le procureur US [U.S. Attorney], Barry Grissom, a déclaré mercredi que John Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, avait également été condamné à deux ans de mise en liberté surveillée et a été condamné à une amende de 25 100 $. Toth a déjà purgé 26 mois de prison après avoir plaidé coupable pour les accusations d'homicide involontaire de l'État en 2007 après le décès d'un patient. Il a été libéré en 2010. Dans l'affaire fédérale, Toth a admis en octobre que lui et les trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont dit pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie.   
   −
'''26 octobre 2010.<br>Le docteur qui offrait un faux remède contre la maladie de Lyme plaide'''<br>KANSAS CITY, Kan. (AP) - Un médecin du Kansas a plaidé coupable de faire partie d'un plan visant à vendre un système faux/bidon pour diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme. Le procureur U.S. [U.S. Attorney] Barry Grissom dit que John R. Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, a plaidé coupable lundi d'avoir participé à la fraude. Il a accepté de payer une amende de 30 000 $. La peine doit être prononcée le 18 janvier. Toth a admis que, à partir de septembre 2001, lui et les trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont dit pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie. Toth a facturé aux patients l'utilisation du microscope et les médicaments. Les autorités disent que les médicaments ont causé la mort d'un résident du Kansas et une insuffisance rénale chez un autre. Les trois co-accusés de Toth ont plaidé coupable et attendent le prononcé de la peine. [références figurant dans le document:<ref>http://cjonline.com/news-state/2010-09-17/man-pleads-lyme-cure-fraud Article "Man pleads in Lyme cure fraud" Posted September 17, 2010. By Kevin Elliott.<br>[...] Robert W. Bradford, 79, of Chula Vista, Calif., pleaded guilty to conspiracy to commit mail fraud and to introduce misbranded drugs into interstate commerce.<br>Bradford admitted he and his co-defendants made more than $400,000 selling a microscope they claimed could be used to diagnose Lyme disease and a drug treatment plan they claimed could cure it. Bradford was founder of a company doing business as American Biologics, which distributed marketing materials calling Lyme disease the "Plague of the 21st Century" and claiming more than 50 percent of chronically ill people may be suffering from it. [...] The treatment, marketed as Bismacine, was found to be a solution of Bismuth citrate — a toxic metallic element. Those treatments were "manufactured in a make-shift laboratory" operated by American Biologics and included several chemicals that weren't certified or intended for use in food, drugs or cosmetics for humans or animals, according to the indictment. [...]</ref><ref>http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml</ref>]
+
'''26 octobre 2010.<br>Le docteur qui offrait un faux remède contre la maladie de Lyme plaide'''<br>KANSAS CITY, Kan. (AP) - Un médecin du Kansas a plaidé coupable de faire partie d'un plan visant à vendre un système faux/bidon pour diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme. Le procureur U.S. [U.S. Attorney] Barry Grissom dit que John R. Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, a plaidé coupable lundi d'avoir participé à la fraude. Il a accepté de payer une amende de 30 000 $. La peine doit être prononcée le 18 janvier. Toth a admis que, à partir de septembre 2001, lui et les trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont dit pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie. Toth a facturé aux patients l'utilisation du microscope et les médicaments. Les autorités disent que les médicaments ont causé la mort d'un résident du Kansas et une insuffisance rénale chez un autre. Les trois co-accusés de Toth ont plaidé coupable et attendent le prononcé de la peine. [références figurant dans le document:<ref>http://cjonline.com/news-state/2010-09-17/man-pleads-lyme-cure-fraud Article "Man pleads in Lyme cure fraud" Posted September 17, 2010. By Kevin Elliott.<br>[...] [[Robert Bradford|Robert W. Bradford]], 79, of Chula Vista, Calif., pleaded guilty to conspiracy to commit mail fraud and to introduce misbranded drugs into interstate commerce.<br>[[Robert Bradford|Bradford]] admitted he and his co-defendants made more than $400,000 selling a microscope they claimed could be used to diagnose Lyme disease and a drug treatment plan they claimed could cure it. [[Robert Bradford|Bradford]] was founder of a company doing business as American Biologics, which distributed marketing materials calling Lyme disease the "Plague of the 21st Century" and claiming more than 50 percent of chronically ill people may be suffering from it. [...] The treatment, marketed as Bismacine, was found to be a solution of Bismuth citrate — a toxic metallic element. Those treatments were "manufactured in a make-shift laboratory" operated by American Biologics and included several chemicals that weren't certified or intended for use in food, drugs or cosmetics for humans or animals, according to the indictment. [...]</ref><ref>http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml</ref>]
   −
'''26 octobre 2010.<br>Le docteur qui offrait un faux remède contre la maladie de Lyme plaide'''<br>KANSAS CITY, Kan. (AP) - Un médecin du Kansas a plaidé coupable de faire partie d'un plan visant à vendre un système faux pour diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme. Le procureur U.S. [U.S. Attorney] Barry Grissom dit que John R. Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, a plaidé coupable lundi d'avoir participé à la fraude. Il a accepté de payer une amende de 30 000 $. La peine doit être prononcée le 18 janvier. Toth a admis que, à partir de septembre 2001, lui et les trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont déclaré pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie. Toth a facturé aux patients l'utilisation du microscope et les médicaments. Les autorités disent que les médicaments ont causé la mort d'un résident du Kansas et une insuffisance rénale chez un autre. Les trois co-accusés de Toth ont plaidé coupable et attendent le prononcé de la peine.<br>[références figurant dans le document:<ref>http://cjonline.com/news-state/2010-09-17/man-pleads-lyme-cure-fraud Article "Man pleads in Lyme cure fraud" Posted September 17, 2010. By Kevin Elliott.<br>[...] Robert W. Bradford, 79, of Chula Vista, Calif., pleaded guilty to conspiracy to commit mail fraud and to introduce misbranded drugs into interstate commerce.<br>Bradford admitted he and his co-defendants made more than $400,000 selling a microscope they claimed could be used to diagnose Lyme disease and a drug treatment plan they claimed could cure it. Bradford was founder of a company doing business as American Biologics, which distributed marketing materials calling Lyme disease the "Plague of the 21st Century" and claiming more than 50 percent of chronically ill people may be suffering from it. [...] The treatment, marketed as Bismacine, was found to be a solution of Bismuth citrate — a toxic metallic element. Those treatments were "manufactured in a make-shift laboratory" operated by American Biologics and included several chemicals that weren't certified or intended for use in food, drugs or cosmetics for humans or animals, according to the indictment. [...]</ref><ref>http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml</ref><ref>http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml John R. Toth, M.D., Agrees to Inactivate Medical License. Consent Order of December 12, 2005.<br>In April 2005, the Kansas Board of Healing Arts reprimanded John R. Toth, M.D., of Topeka, Kansas, for not timely responding to hospital pages. Two months later, the board issued an emergency suspension followed by an emergency order limiting his practice. The situation arose after two of his patients he treated with intravenous Bismacine were hospitalized with life-threatening complications. One whom he had treated for 11 years for Lyme disease, had kidney failure. The other's heart stopped beating in Toth's office. Two weeks later, the board concluded that the first patient had been misdiagnosed and that the bismuth product contained a toxic metal and lacked FDA approval. The hospital summarily suspended Toth's privileges, and the board issued an emergency order limiting what Toth could do.<br>In December 2005, Toth signed a consent agreement (shown below) under which he inactivated his license and cannot resume practice unless he undergoes remedial education and petitions the board for reactivation. He also agreed that if permitted to resume practice, he will (a) do so in a group setting, (b) refrain from diagnosing or treating Lyme disease without prior approval by an infectious disease specialist, (c) refrain from prescribing intravenous bismuth to any patient, (d) use only methods that are generally accepted by the medical community. In July 2006, the FDA issued a public warning not to use Bismacine (a/k/a Chromacine).<br>In 2008, Toth was sentenced to prison for manslaughter related to the patient who had died. In 2011, after having served 26 months in prison for the manslaughter case, he was sentenced to time served and some financial penalties on a federal charge of conspiring to commit mail fraud and introduce unapproved drugs and a misbranded medical device in interstate commerce.</ref>.]
+
'''26 octobre 2010.<br>Le docteur qui offrait un faux remède contre la maladie de Lyme plaide'''<br>KANSAS CITY, Kan. (AP) - Un médecin du Kansas a plaidé coupable de faire partie d'un plan visant à vendre un système faux pour diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme. Le procureur U.S. [U.S. Attorney] Barry Grissom dit que John R. Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, a plaidé coupable lundi d'avoir participé à la fraude. Il a accepté de payer une amende de 30 000 $. La peine doit être prononcée le 18 janvier. Toth a admis que, à partir de septembre 2001, lui et les trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont déclaré pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie. Toth a facturé aux patients l'utilisation du microscope et les médicaments. Les autorités disent que les médicaments ont causé la mort d'un résident du Kansas et une insuffisance rénale chez un autre. Les trois co-accusés de Toth ont plaidé coupable et attendent le prononcé de la peine.<br>[références figurant dans le document:<ref>http://cjonline.com/news-state/2010-09-17/man-pleads-lyme-cure-fraud Article "Man pleads in Lyme cure fraud" Posted September 17, 2010. By Kevin Elliott.<br>[...] [[Robert Bradford|Robert W. Bradford]], 79, of Chula Vista, Calif., pleaded guilty to conspiracy to commit mail fraud and to introduce misbranded drugs into interstate commerce.<br>[[Robert Bradford|Bradford]] admitted he and his co-defendants made more than $400,000 selling a microscope they claimed could be used to diagnose Lyme disease and a drug treatment plan they claimed could cure it. [[Robert Bradford|Bradford]] was founder of a company doing business as American Biologics, which distributed marketing materials calling Lyme disease the "Plague of the 21st Century" and claiming more than 50 percent of chronically ill people may be suffering from it. [...] The treatment, marketed as Bismacine, was found to be a solution of Bismuth citrate — a toxic metallic element. Those treatments were "manufactured in a make-shift laboratory" operated by American Biologics and included several chemicals that weren't certified or intended for use in food, drugs or cosmetics for humans or animals, according to the indictment. [...]</ref><ref>http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml</ref><ref>http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml John R. Toth, M.D., Agrees to Inactivate Medical License. Consent Order of December 12, 2005.<br>In April 2005, the Kansas Board of Healing Arts reprimanded John R. Toth, M.D., of Topeka, Kansas, for not timely responding to hospital pages. Two months later, the board issued an emergency suspension followed by an emergency order limiting his practice. The situation arose after two of his patients he treated with intravenous Bismacine were hospitalized with life-threatening complications. One whom he had treated for 11 years for Lyme disease, had kidney failure. The other's heart stopped beating in Toth's office. Two weeks later, the board concluded that the first patient had been misdiagnosed and that the bismuth product contained a toxic metal and lacked FDA approval. The hospital summarily suspended Toth's privileges, and the board issued an emergency order limiting what Toth could do.<br>In December 2005, Toth signed a consent agreement (shown below) under which he inactivated his license and cannot resume practice unless he undergoes remedial education and petitions the board for reactivation. He also agreed that if permitted to resume practice, he will (a) do so in a group setting, (b) refrain from diagnosing or treating Lyme disease without prior approval by an infectious disease specialist, (c) refrain from prescribing intravenous bismuth to any patient, (d) use only methods that are generally accepted by the medical community. In July 2006, the FDA issued a public warning not to use Bismacine (a/k/a Chromacine).<br>In 2008, Toth was sentenced to prison for manslaughter related to the patient who had died. In 2011, after having served 26 months in prison for the manslaughter case, he was sentenced to time served and some financial penalties on a federal charge of conspiring to commit mail fraud and introduce unapproved drugs and a misbranded medical device in interstate commerce.</ref>.]
    
'''27 septembre 2010.'''<br>'''Un médecin de la rive Est fait face à la mise en probation sur des cas de maladie de Lyme''' <br>'''The Virginian-Pilot'''<br>[Deux références figuraient dans le document, voici la seule disponible en 2017:<ref>http://pilotonline.com/news/local/health/eastern-shore-doctor-faces-probation-over-lyme-disease-cases/article_fe629389-cc2b-5246-994a-e81afa26c0e7.html</ref>]<br>Un médecin sur la rive est, connu pour traiter les personnes atteintes de la maladie de Lyme, a été mis en probation pour une durée illimitée par le Conseil de médecine de l'état de Virginie et interdit à vie de prescrire des stupéfiants. Le Dr. Geoffrey Gubb, qui a un cabinet [médical] familial à Belle Haven, a été accusé par le Conseil d'avoir traité 15 patients avec des médicaments contre la douleur très puissants, tout en omettant de surveiller leur état ou de documenter correctement les diagnostics. Gubb, 73 ans, a jusqu'au 16 octobre pour faire appel à ce sujet. S'il ne le fait pas, le prononcé devient définitif ce jour-là. Dans une interview, la semaine dernière, Gubb a déclaré qu'il avait décidé de fermer son cabinet [médical] familial à la fin du mois. Il a dit qu'il traite environ 800 patients dont la plupart proviennent de Virginie, du Maryland et du Delaware. Environ 600 ont la maladie de Lyme, at-il dit, et beaucoup ont traversé le Chesapeake Bay Bridge-Tunnel de Hampton Roads pour obtenir un type de traitement que la plupart des médecins refusent de prescrire parce que cela va à l'encontre des lignes directrices recommandées.<br>[Un article qui ne figure pas dans le document, publié quelques mois auparavant dans le Virginian-Pilot, traitait du même sujet avec quelques détails supplémentaires:<ref> http://pilotonline.com/news/local/health/with-chronic-lyme-disease-debate-over-diagnosis-treatment/article_daded0be-54b7-5365-ad9e-cec2b8e00132.html With chronic Lyme disease, debate over diagnosis, treatment. Elizabeth Simpson, 21 février 2010.</ref>]
 
'''27 septembre 2010.'''<br>'''Un médecin de la rive Est fait face à la mise en probation sur des cas de maladie de Lyme''' <br>'''The Virginian-Pilot'''<br>[Deux références figuraient dans le document, voici la seule disponible en 2017:<ref>http://pilotonline.com/news/local/health/eastern-shore-doctor-faces-probation-over-lyme-disease-cases/article_fe629389-cc2b-5246-994a-e81afa26c0e7.html</ref>]<br>Un médecin sur la rive est, connu pour traiter les personnes atteintes de la maladie de Lyme, a été mis en probation pour une durée illimitée par le Conseil de médecine de l'état de Virginie et interdit à vie de prescrire des stupéfiants. Le Dr. Geoffrey Gubb, qui a un cabinet [médical] familial à Belle Haven, a été accusé par le Conseil d'avoir traité 15 patients avec des médicaments contre la douleur très puissants, tout en omettant de surveiller leur état ou de documenter correctement les diagnostics. Gubb, 73 ans, a jusqu'au 16 octobre pour faire appel à ce sujet. S'il ne le fait pas, le prononcé devient définitif ce jour-là. Dans une interview, la semaine dernière, Gubb a déclaré qu'il avait décidé de fermer son cabinet [médical] familial à la fin du mois. Il a dit qu'il traite environ 800 patients dont la plupart proviennent de Virginie, du Maryland et du Delaware. Environ 600 ont la maladie de Lyme, at-il dit, et beaucoup ont traversé le Chesapeake Bay Bridge-Tunnel de Hampton Roads pour obtenir un type de traitement que la plupart des médecins refusent de prescrire parce que cela va à l'encontre des lignes directrices recommandées.<br>[Un article qui ne figure pas dans le document, publié quelques mois auparavant dans le Virginian-Pilot, traitait du même sujet avec quelques détails supplémentaires:<ref> http://pilotonline.com/news/local/health/with-chronic-lyme-disease-debate-over-diagnosis-treatment/article_daded0be-54b7-5365-ad9e-cec2b8e00132.html With chronic Lyme disease, debate over diagnosis, treatment. Elizabeth Simpson, 21 février 2010.</ref>]
   −
'''17 septembre 2010. [Il] plaide coupable dans un système de maladie de Lyme'''<br>Par BRAD COOPER, The Kansas City Star<br>[référence figurant dans le document<ref>http://www.kansascity.com/2010/09/17/2232002/guilty-plea-in-lymedisease-scheme.html</ref>]<br>Un homme de Californie a plaidé coupable vendredi devant la cour fédérale pour avoir manigancé de vendre un équipement médical et des traitements médicamenteux pour une fausse épidémie de maladie de Lyme.<br>Les procureurs ont dit que l'escroquerie avait conduit à un décès et à une personne souffrant d'insuffisance rénale. Robert W. Bradford, 79 ans, a plaidé coupable à Kansas City, Kansas, à l'accusation de conspiration pour commettre une fraude par courrier et pour introduire des médicaments mal étiquetés dans le commerce entre États, ont dit les procureurs fédéraux. Bradford a admis que lui et ses co-accusés ont fait plus de 400,000 $ en vendant un microscope qu'ils prétendaient pouvoir être utilisé pour diagnostiquer la maladie Lyme, et un plan de traitement qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie. Bradford a fondé une société qui faisait du commerce en tant que [ou sous le nom de] Américain Biologics. Elle a distribué des documents de marketing appelant la maladie de Lyme « le fléau du 21e siècle ». Plus de 50 pour cent des gens chroniquement malades souffriraient de la maladie Lyme prétendait la société.  
+
'''17 septembre 2010. [Il] plaide coupable dans un système de maladie de Lyme'''<br>Par BRAD COOPER, The Kansas City Star<br>[référence figurant dans le document<ref>http://www.kansascity.com/2010/09/17/2232002/guilty-plea-in-lymedisease-scheme.html</ref>]<br>Un homme de Californie a plaidé coupable vendredi devant la cour fédérale pour avoir manigancé de vendre un équipement médical et des traitements médicamenteux pour une fausse épidémie de maladie de Lyme.<br>Les procureurs ont dit que l'escroquerie avait conduit à un décès et à une personne souffrant d'insuffisance rénale. [[Robert Bradford|Robert W. Bradford]], 79 ans, a plaidé coupable à Kansas City, Kansas, à l'accusation de conspiration pour commettre une fraude par courrier et pour introduire des médicaments mal étiquetés dans le commerce entre États, ont dit les procureurs fédéraux. Bradford a admis que lui et ses co-accusés ont fait plus de 400,000 $ en vendant un microscope qu'ils prétendaient pouvoir être utilisé pour diagnostiquer la maladie Lyme, et un plan de traitement qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie. Bradford a fondé une société qui faisait du commerce en tant que [ou sous le nom de] Américain Biologics. Elle a distribué des documents de marketing appelant la maladie de Lyme « le fléau du 21e siècle ». Plus de 50 pour cent des gens chroniquement malades souffriraient de la maladie Lyme prétendait la société.  
    
'''16 mars 2010'''. [[Joseph Jemsek|Joseph G. Jemsek]], M.D., requérant. Domaine d'activité: Médecine interne (Charlotte, NC). Refus de demande de licence médicale [autorisation d'exercicer]. Le Conseil [du Maryland] a trouvé que les infractions de conduite contraire à la profession dans le diagnostic et le traitement des patients, à savoir, avoir omis d'informer adéquatement ses patients des risques de son traitement et ne pas d'être conformé aux normes normes acceptables et prévalentes de la pratique médicale, [infractions] pour lesquelles il a été discipliné en Caroline du Nord, sont des infractions aux fondements de la Loi médicale [Medical Act] du Maryland et constituent des raisons de refuser sa demande de licence.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.mbp.state.md.us/forms/spring2010.pdf</ref>]
 
'''16 mars 2010'''. [[Joseph Jemsek|Joseph G. Jemsek]], M.D., requérant. Domaine d'activité: Médecine interne (Charlotte, NC). Refus de demande de licence médicale [autorisation d'exercicer]. Le Conseil [du Maryland] a trouvé que les infractions de conduite contraire à la profession dans le diagnostic et le traitement des patients, à savoir, avoir omis d'informer adéquatement ses patients des risques de son traitement et ne pas d'être conformé aux normes normes acceptables et prévalentes de la pratique médicale, [infractions] pour lesquelles il a été discipliné en Caroline du Nord, sont des infractions aux fondements de la Loi médicale [Medical Act] du Maryland et constituent des raisons de refuser sa demande de licence.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.mbp.state.md.us/forms/spring2010.pdf</ref>]
Ligne 50 : Ligne 50 :  
[référence figurant dans le document <ref>http://articles.courant.com/2010-02-17/health/hc-lyme-doctor-jones-0217.artfeb17_1_dr-charles-ray-jones-medical-board-diagnoses</ref>]
 
[référence figurant dans le document <ref>http://articles.courant.com/2010-02-17/health/hc-lyme-doctor-jones-0217.artfeb17_1_dr-charles-ray-jones-medical-board-diagnoses</ref>]
   −
'''17 juin 2009.'''<br>''Jenn Dombrowski, KFOX Las Cruces Bureau Reporter''<br> LAS CRUCES, N.M. [Nouveau Mexique] -- Un homme de Las Cruses qui prétendait guérir les patients atteint de la maladie de Lyme a été arrêté sur des accusations de fraude. Les patients de Carl Haese ont dit qu'ils sont tombés malades après qu'il leur ait été facturé des milliers de dollars pour un remède, selon des documents de la Cour. Le Service de police de Las Cruces a lancé un mandat à l'encontre de Haese la semaine dernière après des mois d'investigations par le gouvernement fédéral. Formellement accusé par le gouvernement fédéral de fraude, les documents de la Cour montrent que Haese, âgé de 33 ans, est accusé de facturer aux patients des milliers de dollars pour guérir la maladie Lyme qu'il a dit aux patients avoir marché pour des milliers de gens. "Nous n'avons pas de milliers de cas au Nouveau Mexique," a dit Chris Minnick, le porte-parole du Département de la santé du Nouveau Mexique.[référence figurant dans le document<ref>http://www.casewatch.org/doj/haese/complaint.shtml Lyme Disease Quack Arrested (Un charlatan de la maladie de Lyme arrêté). Stephen Barrett, M.D.<br>En 2009, Carl E. Haese, propriétaire et exploitant de la clinique Haese de médecine intégrative à Cruces, Nouveau-Mexique, a été accusé de fraude en relation avec le diagnostic et le traitement de personnes pour la maladie de Lyme. La plainte pénale (montrée ci-dessous) indiquait:<br> - Haese déclarait faussement aux patients qu'il avait guéri 100% des 3000 personnes qu'il prétendait avoir traitées pour la maladie de Lyme.<br> - Haese fait son diagnostic après avoir examiné un échantillon de sang avec un microscope à haute résolution à projection variable de Bradford, un appareil non approuvé par la FDA pour le diagnostic d'aucune pathologie.<br> - Le prétendu traitement est un cocktail intraveineux qui contient du dioxychlorure et de la sulfoxine, substances qui n'ont pas l'approbation de la FDA à quelque fin que ce soit.<br> - Les patients payent généralement environ 5 000 $ pour les services de Haese.< br>Le Dioxychlorure, la sulfoxine, et le système de microscope ont été commercialisés par American Biologics, une société qui a vendu des produits douteux depuis plus de 30 ans. La société affirmait que le Dioxychlor était « un antibiotique naturel qui tue les bactéries en fournissant des quantités généreuses d'oxygène à... des organismes qui ne nécessitent pas d'oxygène pour leur croissance et peuvent même mourir en sa présence ». En 2006, Santé Canada déconseillait l'utilisation de ces produits et du microscope Bradford.<br>En 2010, Haese a plaidé coupable à une accusation de fraude électronique/informatique. En 2012, il a été condamné à 27 mois de prison suivie de trois ans de liberté surveillée. Il a également été condamné à une amende 10 000 $ et il lui a été ordonné de verser un dédommagement de 164522 $ au total aux 21 victimes.<br>This page was revised on May 29, 2016</ref>].
+
'''17 juin 2009.'''<br>''Jenn Dombrowski, KFOX Las Cruces Bureau Reporter''<br> LAS CRUCES, N.M. [Nouveau Mexique] -- Un homme de Las Cruses qui prétendait guérir les patients atteint de la maladie de Lyme a été arrêté sur des accusations de fraude. Les patients de Carl Haese ont dit qu'ils sont tombés malades après qu'il leur ait été facturé des milliers de dollars pour un remède, selon des documents de la Cour. Le Service de police de Las Cruces a lancé un mandat à l'encontre de Haese la semaine dernière après des mois d'investigations par le gouvernement fédéral. Formellement accusé par le gouvernement fédéral de fraude, les documents de la Cour montrent que Haese, âgé de 33 ans, est accusé de facturer aux patients des milliers de dollars pour guérir la maladie Lyme qu'il a dit aux patients avoir marché pour des milliers de gens. "Nous n'avons pas de milliers de cas au Nouveau Mexique," a dit Chris Minnick, le porte-parole du Département de la santé du Nouveau Mexique.[référence figurant dans le document<ref>http://www.casewatch.org/doj/haese/complaint.shtml Lyme Disease Quack Arrested (Un charlatan de la maladie de Lyme arrêté). Stephen Barrett, M.D.<br>En 2009, Carl E. Haese, propriétaire et exploitant de la clinique Haese de médecine intégrative à Cruces, Nouveau-Mexique, a été accusé de fraude en relation avec le diagnostic et le traitement de personnes pour la maladie de Lyme. La plainte pénale (montrée ci-dessous) indiquait:<br> - Haese déclarait faussement aux patients qu'il avait guéri 100% des 3000 personnes qu'il prétendait avoir traitées pour la maladie de Lyme.<br> - Haese fait son diagnostic après avoir examiné un échantillon de sang avec un microscope à haute résolution à projection variable de [[Robert Bradford|Bradford]], un appareil non approuvé par la FDA pour le diagnostic d'aucune pathologie.<br> - Le prétendu traitement est un cocktail intraveineux qui contient du dioxychlorure et de la sulfoxine, substances qui n'ont pas l'approbation de la FDA à quelque fin que ce soit.<br> - Les patients payent généralement environ 5 000 $ pour les services de Haese.< br>Le Dioxychlorure, la sulfoxine, et le système de microscope ont été commercialisés par American Biologics, une société qui a vendu des produits douteux depuis plus de 30 ans. La société affirmait que le Dioxychlor était « un antibiotique naturel qui tue les bactéries en fournissant des quantités généreuses d'oxygène à... des organismes qui ne nécessitent pas d'oxygène pour leur croissance et peuvent même mourir en sa présence ». En 2006, Santé Canada déconseillait l'utilisation de ces produits et du microscope [[Robert Bradford|Bradford]].<br>En 2010, Haese a plaidé coupable à une accusation de fraude électronique/informatique. En 2012, il a été condamné à 27 mois de prison suivie de trois ans de liberté surveillée. Il a également été condamné à une amende 10 000 $ et il lui a été ordonné de verser un dédommagement de 164522 $ au total aux 21 victimes.<br>This page was revised on May 29, 2016</ref>].
    
'''27 mai 2009'''. INDEPENDENCE, Mo. (CN)<br>Courthouse News <ref>https://www.courthousenews.com/patient-says-doctor-clinic-went-wild-misdiagnosing-patients-with-lyme-disease/</ref><br>Une femme affirme que la Dre Carol Ryser, des Health Centers of America-Kansas City [HCAKC], lui a facturé des milliers de dollars pour la traiter pendant près d'un an pour la maladie de Lyme et une longue liste d'autres maladies alors qu'elle n'avait aucune d'entre-elles. Elle affirme que Michael Ryser, PDG des Health Centers, "a formé les employés de HCAKC, leur apprenant comment vendre des services inutiles aux patients des HCAKC, comment convaincre les gens qu'ils ont une maladie de Lyme et ont besoin d'un traitement".<br>La plaignante Candace Anthony affirme que les accusés "s'en prennent au malade". Elle affirme que Michael Ryser "a déclaré aux employés de HCAKC qu'ils étaient des 'acteurs' et qu'ils avaient un 'scénario [script] à jouer avec les patients'". Elle affirme que "Pendant des années, Carol Ann Ryser a diagnostiqué la plupart des patients des HCAKC atteints de la maladie de Lyme", mais "presque aucun des patients plaignants, en réalité, n'a, ou n'a jamais eu, de maladie de Lyme". Anthony affirme que, le 28 avril, le State Board of Healing Arts [Conseil d'État des arts de guérison] du Kansas a engagé des poursuites pour suspendre, censurer ou révoquer la licence du Dr. Ryser "en conséquence du diagnostic médical et du traitement fournis à onze patients différents, semblables au diagnostic médical et au traitement fournis à Candace Anthony".<br>[remarque de Psiram: Chaque État faisant parti des USA a son propre State Board of Healing Arts (Conseil d'État des arts de guérison) dont la mission est de protéger le public par l'autorisation d'exercer (en délivrant les licences médicales), l'éducation et la discipline de ceux qui pratiquent l'art de guérir (en ayant le pouvoir de réprimander, sanctionner, retirer la licence)]
 
'''27 mai 2009'''. INDEPENDENCE, Mo. (CN)<br>Courthouse News <ref>https://www.courthousenews.com/patient-says-doctor-clinic-went-wild-misdiagnosing-patients-with-lyme-disease/</ref><br>Une femme affirme que la Dre Carol Ryser, des Health Centers of America-Kansas City [HCAKC], lui a facturé des milliers de dollars pour la traiter pendant près d'un an pour la maladie de Lyme et une longue liste d'autres maladies alors qu'elle n'avait aucune d'entre-elles. Elle affirme que Michael Ryser, PDG des Health Centers, "a formé les employés de HCAKC, leur apprenant comment vendre des services inutiles aux patients des HCAKC, comment convaincre les gens qu'ils ont une maladie de Lyme et ont besoin d'un traitement".<br>La plaignante Candace Anthony affirme que les accusés "s'en prennent au malade". Elle affirme que Michael Ryser "a déclaré aux employés de HCAKC qu'ils étaient des 'acteurs' et qu'ils avaient un 'scénario [script] à jouer avec les patients'". Elle affirme que "Pendant des années, Carol Ann Ryser a diagnostiqué la plupart des patients des HCAKC atteints de la maladie de Lyme", mais "presque aucun des patients plaignants, en réalité, n'a, ou n'a jamais eu, de maladie de Lyme". Anthony affirme que, le 28 avril, le State Board of Healing Arts [Conseil d'État des arts de guérison] du Kansas a engagé des poursuites pour suspendre, censurer ou révoquer la licence du Dr. Ryser "en conséquence du diagnostic médical et du traitement fournis à onze patients différents, semblables au diagnostic médical et au traitement fournis à Candace Anthony".<br>[remarque de Psiram: Chaque État faisant parti des USA a son propre State Board of Healing Arts (Conseil d'État des arts de guérison) dont la mission est de protéger le public par l'autorisation d'exercer (en délivrant les licences médicales), l'éducation et la discipline de ceux qui pratiquent l'art de guérir (en ayant le pouvoir de réprimander, sanctionner, retirer la licence)]
Ligne 60 : Ligne 60 :  
'''14 janvier 2009. L'ancien docteur a une première audition'''. ''The Capital-Journal''.<br>Un ancien médecin Topeka a eu sa première audition mardi à Kansas City, Kan., dans une salle d'audience du tribunal fédéral, avec 13 chefs d'accusation liés à la vente de matériel médical et de traitements médicamenteux pour une épidémie de maladie Lyme inexistante. John R. Toth, qui purge une peine pour la mort d'un patient, fait face aux accusations fédérales de conspiration pour vendre un microscope qui diagnostiquerait prétendument la maladie Lyme et de médicaments qui la traiterait.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://cjonline.com/stories/032908/loc_262858655.shtml#.WPYM6NLyhPY Toth receives 32 months in death of patient Posted: Saturday, March 29, 2008</ref>]
 
'''14 janvier 2009. L'ancien docteur a une première audition'''. ''The Capital-Journal''.<br>Un ancien médecin Topeka a eu sa première audition mardi à Kansas City, Kan., dans une salle d'audience du tribunal fédéral, avec 13 chefs d'accusation liés à la vente de matériel médical et de traitements médicamenteux pour une épidémie de maladie Lyme inexistante. John R. Toth, qui purge une peine pour la mort d'un patient, fait face aux accusations fédérales de conspiration pour vendre un microscope qui diagnostiquerait prétendument la maladie Lyme et de médicaments qui la traiterait.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://cjonline.com/stories/032908/loc_262858655.shtml#.WPYM6NLyhPY Toth receives 32 months in death of patient Posted: Saturday, March 29, 2008</ref>]
   −
'''5 décembre 2008. Médecin de Topeka inculpé dans un cas de maladie de Lyme.'''<br>KANSAS CITY, Kan. - Un ancien médecin de Topeka en prison pour la mort d'une femme qu'il a traitée pour la maladie de Lyme est confronté à des accusations fédérales liées au traitement.<br><br>Les procureurs ont déclaré vendredi que John Toth et deux Californiens ont été inculpés dans un présumé plan de vente de matériel médical et de traitements pour une épidémie inexistante de maladie de Lyme. Leur matériel de marketing a prétendu que la maladie de Lyme était ''"le fléau du 21ème siècle"'' et contribuait à 50 pour cent de toutes les maladies chroniques.<br><br>Robert W. Bradford, 77 ans, et Brigette Byrd, 63 ans, tous deux de Chula Vista, en Californie, et une société Chula Vista company, C.R.B. Inc., ayant des activités commerciales en tant que American Biologics, sont également nommés dans l'acte d'accusation. Toth, 59 ans, n'a pas contesté l'année dernière une accusation d'homicide involontaire par imprudence dans la mort, en 2006, de Beverly Wunder, 47 ans, de Topeka. Toth a traité Wunder en lui donnant des perfusions intraveineuses d'un "métal lourd" connu sous le nom de bismuth qui n'a pas été approuvé pour une tel usage. L'acte d'accusation de vendredi accusait les trois d'avoir violé la Loi fédérale sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques en vendant un microscope qu'ils ont affirmé [capable de] diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.casewatch.org/doj/bradford/indictment.shtml Robert W. Bradford Indicted (2008) Stephen Barrett, M.D.</ref>]
+
'''5 décembre 2008. Médecin de Topeka inculpé dans un cas de maladie de Lyme.'''<br>KANSAS CITY, Kan. - Un ancien médecin de Topeka en prison pour la mort d'une femme qu'il a traitée pour la maladie de Lyme est confronté à des accusations fédérales liées au traitement.<br><br>Les procureurs ont déclaré vendredi que John Toth et deux Californiens ont été inculpés dans un présumé plan de vente de matériel médical et de traitements pour une épidémie inexistante de maladie de Lyme. Leur matériel de marketing a prétendu que la maladie de Lyme était ''"le fléau du 21ème siècle"'' et contribuait à 50 pour cent de toutes les maladies chroniques.<br><br>[[Robert Bradford|Robert W. Bradford]], 77 ans, et Brigette Byrd, 63 ans, tous deux de Chula Vista, en Californie, et une société Chula Vista company, C.R.B. Inc., ayant des activités commerciales en tant que American Biologics, sont également nommés dans l'acte d'accusation. Toth, 59 ans, n'a pas contesté l'année dernière une accusation d'homicide involontaire par imprudence dans la mort, en 2006, de Beverly Wunder, 47 ans, de Topeka. Toth a traité Wunder en lui donnant des perfusions intraveineuses d'un "métal lourd" connu sous le nom de bismuth qui n'a pas été approuvé pour une tel usage. L'acte d'accusation de vendredi accusait les trois d'avoir violé la Loi fédérale sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques en vendant un microscope qu'ils ont affirmé [capable de] diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.casewatch.org/doj/bradford/indictment.shtml Robert W. Bradford Indicted (2008) Stephen Barrett, M.D.</ref>]
   −
''' 5 décembre 2008. Le duo de Chula Vista a été accusé dans le traitement de la maladie de Lyme.'''<br>UNION-TRIBUNE. SAN DIEGO - Un grand jury fédéral au Kansas a accusé deux résidents de Chula Vista soupçonnés de vendre de faux traitements de la maladie Lyme, ainsi qu'un microscope qu'ils ont affirmé [capable de] diagnostiquer la maladie. L'accusation avec 25 chefs d'accusation, accuse Robert W. Bradford, 77 ans, et Brigitte G. Byrd, 63 ans, de conspiration, de fraude postale, d'introduction d'un appareil médical misbranded [c.à.d. faisant des déclarations mensongères sur ses particularités, propriétés ou capacités] et de distribution de médicaments non approuvés et misbranded. La paire, avec un docteur de Topeka, Kan., qui a perdu sa licence médicale, sont accusés d'avoir gagné plus de 400,000 $ avec la conspiration reproché entre avril 2004 et août 2006, principalement au moyen d'une société appelée CRB Inc. basé à Chula Vista, selon l'acte d'accusation.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://legacy.sandiegouniontribune.com/news/metro/20081205-1220-bn05lyme.html <br>[...] Au Kansas, le médecin, John R. Toth, utilisait le microscope de Bradford et ses traitements. Il facturait aux patients environ 100 $ pour chaque utilisation du microscope supposé diagnostiquer la maladie de Lyme et environ 320 $ pour une série d'injections qu'il appelait traitement antimicrobien, selon l'acte d'accusation.<br>Bradford, le fondateur de CRB, affirmait être un docteur et un professeur, bien qu'il ne soit pas un médecin et n'ait pas de diplôme en sciences d'une université accréditée, selon l'acte d'accusation.<br>Il affirmait avoir inventé le microscope de détection de la maladie de Lyme et mené des expériences de drogues par voie intraveineuse sur l'homme dans un hôpital de Tijuana qui traitait la maladie, selon l'acte d'accusation.<br>En cas de condamnation, les trois risquent plusieurs années dans une prison fédérale et des centaines de milliers de dollars en amendes.<br>Bradford et Byrd n'ont pas été arrêtés, mais il le leur sera dit quand ils doivent comparaître devant le tribunal.</ref>
+
''' 5 décembre 2008. Le duo de Chula Vista a été accusé dans le traitement de la maladie de Lyme.'''<br>UNION-TRIBUNE. SAN DIEGO - Un grand jury fédéral au Kansas a accusé deux résidents de Chula Vista soupçonnés de vendre de faux traitements de la maladie Lyme, ainsi qu'un microscope qu'ils ont affirmé [capable de] diagnostiquer la maladie. L'accusation avec 25 chefs d'accusation, accuse [[Robert Bradford|Robert W. Bradford]], 77 ans, et Brigitte G. Byrd, 63 ans, de conspiration, de fraude postale, d'introduction d'un appareil médical misbranded [c.à.d. faisant des déclarations mensongères sur ses particularités, propriétés ou capacités] et de distribution de médicaments non approuvés et misbranded. Le duo, avec un docteur de Topeka, Kan., qui a perdu sa licence médicale, sont accusés d'avoir gagné plus de 400,000 $ avec la conspiration reproché entre avril 2004 et août 2006, principalement au moyen d'une société appelée CRB Inc. basé à Chula Vista, selon l'acte d'accusation.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://legacy.sandiegouniontribune.com/news/metro/20081205-1220-bn05lyme.html <br>[...] Au Kansas, le médecin, John R. Toth, utilisait le microscope de [[Robert Bradford|Bradford]] et ses traitements. Il facturait aux patients environ 100 $ pour chaque utilisation du microscope supposé diagnostiquer la maladie de Lyme et environ 320 $ pour une série d'injections qu'il appelait traitement antimicrobien, selon l'acte d'accusation.<br>[[Robert Bradford|Bradford]], le fondateur de CRB, affirmait être un docteur et un professeur, bien qu'il ne soit pas un médecin et n'ait pas de diplôme en sciences d'une université accréditée, selon l'acte d'accusation.<br>Il affirmait avoir inventé le microscope de détection de la maladie de Lyme et mené des expériences de drogues par voie intraveineuse sur l'homme dans un hôpital de Tijuana qui traitait la maladie, selon l'acte d'accusation.<br>En cas de condamnation, les trois risquent plusieurs années dans une prison fédérale et des centaines de milliers de dollars en amendes.<br>[[Robert Bradford|Bradford]] et Byrd n'ont pas été arrêtés, mais il le leur sera dit quand ils doivent comparaître devant le tribunal.</ref>
   −
'''13 novembre 2008'''.<br>L-4452-03, COMTÉ DE MIDDLESEX ET DANS TOUT L'ÉTAT. JEFFREY SHECTMAN, Demandeur-Intimé, c. '''[[ROBERT BRANSFIELD]], M.D.''', Défendeur-Appelant. No. A-3035-07T2, Cour supérieure du New Jersey, la Division d'appel a argumenté le 15 octobre 2008.<br>A décidé le 13 novembre 2008.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://caselaw.findlaw.com/nj-superior-court-appellate-division/1145882.html</ref>]<br>En appel de la Cour Supérieure du New Jersey, Division du Droit, Comté du Middlesex, Dossier No. L-4452-03. L'avis du tribunal a été rendu par YANNOTTI, J.A.D. Le demandeur Jeffrey Shectman a intenté cette action contre le défendeur [[Robert Bransfield]], M.D., alléguant que le défendeur s'est détourné des normes acceptées de soins psychiatriques en omettant de surveiller et de superviser la réponse à certains médicaments en omettant la détérioration de son état mental et que les digressions du défendeur ont entraîné une tentative de suicide du demandeur.<br>La question a été présentée à un jury, qui a rendu un verdict en accordant 250 000 $ de dommages et intérêts au demandeur. Le jugement a été saisi conformément au verdict du jury et aux appels du défendeur.
+
'''13 novembre 2008'''.<br>L-4452-03, COMTÉ DE MIDDLESEX ET DANS TOUT L'ÉTAT. JEFFREY SHECTMAN, Demandeur-Intimé, c. '''[[Robert Bransfield|ROBERT BRANSFIELD]], M.D.''', Défendeur-Appelant. No. A-3035-07T2, Cour supérieure du New Jersey, la Division d'appel a argumenté le 15 octobre 2008.<br>A décidé le 13 novembre 2008.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://caselaw.findlaw.com/nj-superior-court-appellate-division/1145882.html</ref>]<br>En appel de la Cour Supérieure du New Jersey, Division du Droit, Comté du Middlesex, Dossier No. L-4452-03. L'avis du tribunal a été rendu par YANNOTTI, J.A.D. Le demandeur Jeffrey Shectman a intenté cette action contre le défendeur [[Robert Bransfield]], M.D., alléguant que le défendeur s'est détourné des normes acceptées de soins psychiatriques en omettant de surveiller et de superviser la réponse à certains médicaments en omettant la détérioration de son état mental et que les digressions du défendeur ont entraîné une tentative de suicide du demandeur.<br>La question a été présentée à un jury, qui a rendu un verdict en accordant 250 000 $ de dommages et intérêts au demandeur. Le jugement a été saisi conformément au verdict du jury et aux appels du défendeur.
    
'''4 octobre 2008. Canada. Les dossiers d'un docteur saisis, Traitement controversé de la maladie de Lyme'''  
 
'''4 octobre 2008. Canada. Les dossiers d'un docteur saisis, Traitement controversé de la maladie de Lyme'''  
Ligne 71 : Ligne 71 :  
Comme ils quittaient le bureau [le cabinet] avec 20 dossiers, plus de 50 des patients de Krop - la plupart de ce qui sont traités pour la maladie de Lyme chronique - regardaient en silence. Ils étaient venus apporter leur soutien au docteur formé en Pologne qui fait maintenant face à sa deuxième enquête majeure pour des méthodes de traitement alternatives. En 1999, le Collège a trouvé Krop coupable d'inconduite professionnelle. Il s'ensuivit en 1994 des accusations de manquement au respect des normes d'exercice de la profession et de conduite honteuse, déshonorante ou non professionnelle, faisant de lui en quelque sorte un nom très connu dans la profession médicale pendant les années 1990.
 
Comme ils quittaient le bureau [le cabinet] avec 20 dossiers, plus de 50 des patients de Krop - la plupart de ce qui sont traités pour la maladie de Lyme chronique - regardaient en silence. Ils étaient venus apporter leur soutien au docteur formé en Pologne qui fait maintenant face à sa deuxième enquête majeure pour des méthodes de traitement alternatives. En 1999, le Collège a trouvé Krop coupable d'inconduite professionnelle. Il s'ensuivit en 1994 des accusations de manquement au respect des normes d'exercice de la profession et de conduite honteuse, déshonorante ou non professionnelle, faisant de lui en quelque sorte un nom très connu dans la profession médicale pendant les années 1990.
   −
'''20 septembre 2008'''. [[Joseph Burrascano]] (Voir à 23 avril 2002). (Profil du médecin du NYS [de l'Ètat de New York]- Domaine de médecine: Ne pratique pas activement [en clair: n'exerce pas]; Emplacements de bureau: Aucun d'indiqué)<br>Ci-dessous, quelques perles de sagesse médicale tirée de sa présentation sans données, sans références : "Lyme plus les co-infections ont commencé la cascade qui est allée si loin, [qu']elle ne pouvait pas être arrêtée seulement en tuant la bactérie", "Lyme et certaines co-infections produisent des toxines", "Tout d'abord, une évaluation médicale minutieuse pour enlever "œillères de Lyme" !!!", " Attendez-vous à [être avec] des traitements pour Lyme pendant des mois à des années", "Traiter la bartonella avant le babesia", "Le Mycoplasma est la source des pires cas de Lyme", " [Et] toujours, [il y a] des problèmes politiques épouvantables".<br>Espèrons que personne n'a payé pour entendre tout ce galimatias.<br>[référence figurant dans le document<ref>http://lymepa.org/html/ldasepa_slide_presentations.html</ref><br>[Remarque de Psiram: dans la première diapositive du document (de septembre 2008) "PDF of slides for printing -7 pages" à charger pour impression , il est précisé que Joseph J. Burrascano Jr. M.D. est ''Director, International Lyme and Associated Diseases'' et ''Director, Advanced Diseases Corp''.<ref>http://lymepa.org/What-s_new-_Slides_Sept_2008.pdf</ref>]
+
'''20 septembre 2008'''. [[Joseph Burrascano]] (Voir à 23 avril 2002). (Profil du médecin du NYS [de l'Ètat de New York]- Domaine de médecine: Ne pratique pas activement [en clair: n'exerce pas]; Emplacements de bureau: Aucun d'indiqué)<br>Ci-dessous, quelques perles de sagesse médicale tirée de sa présentation sans données, sans références : "Lyme plus les co-infections ont commencé la cascade qui est allée si loin, [qu']elle ne pouvait pas être arrêtée seulement en tuant la bactérie", "Lyme et certaines co-infections produisent des toxines", "Tout d'abord, une évaluation médicale minutieuse pour enlever "œillères de Lyme" !!!", " Attendez-vous à [être avec] des traitements pour Lyme pendant des mois à des années", "Traiter la bartonella avant le babesia", "Le Mycoplasma est la source des pires cas de Lyme", " [Et] toujours, [il y a] des problèmes politiques épouvantables".<br>Espèrons que personne n'a payé pour entendre tout ce galimatias.<br>[référence figurant dans le document<ref>http://lymepa.org/html/ldasepa_slide_presentations.html</ref><br>[Remarque de Psiram: dans la première diapositive du document (de septembre 2008) "PDF of slides for printing -7 pages" à charger pour impression , il est précisé que [[Joseph Burrascano|Joseph J. Burrascano Jr.]] M.D. est ''Director, International Lyme and Associated Diseases'' et ''Director, Advanced Diseases Corp''.<ref>http://lymepa.org/What-s_new-_Slides_Sept_2008.pdf</ref>]
    
'''5 septembre 2008'''. Partie d'une lettre de 9 pages de [[Charles Ray Jones]] (Ct.) à ses généreux fans, "Je voudrais vous mettre au courant de l'état des fonds [qui ont été levés] pour ma défense juridique ainsi que des accusations actuelles devant le conseil des médecins auxquelles je suis confronté au Connecticut. Il est important que les gens comprennent combien ce cas est important, non seulement pour mon cabinet [médical], mais pour la communauté Lyme en général et les diverses démarches légales en cours de la part de mon équipe de défense juridique". "En dernier lieu, j'aborderai les questions spécifiques qui se sont présentées, par exemple, ma couverture d'assurance pour faute professionnelle".<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.publichealthalert.org/Articles/miscellaneous/A%20Letter%20from%20Dr.
 
'''5 septembre 2008'''. Partie d'une lettre de 9 pages de [[Charles Ray Jones]] (Ct.) à ses généreux fans, "Je voudrais vous mettre au courant de l'état des fonds [qui ont été levés] pour ma défense juridique ainsi que des accusations actuelles devant le conseil des médecins auxquelles je suis confronté au Connecticut. Il est important que les gens comprennent combien ce cas est important, non seulement pour mon cabinet [médical], mais pour la communauté Lyme en général et les diverses démarches légales en cours de la part de mon équipe de défense juridique". "En dernier lieu, j'aborderai les questions spécifiques qui se sont présentées, par exemple, ma couverture d'assurance pour faute professionnelle".<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.publichealthalert.org/Articles/miscellaneous/A%20Letter%20from%20Dr.
Ligne 99 : Ligne 99 :  
'''19 Juillet 2006'''. La veuve d'un homme qui est mort du cancer de la prostate en 2004, alors qu'il était suivi par le Dr James Shortt, est parvenu à un accord de principe avec lui dans des procès fédéraux distincts. Lundi, Shortt a été condamné dans une affaire criminelle fédérale distincte à un an et un jour de prison. Il a plaidé coupable en mars d'avoir conspiré pour distribuer des stéroïdes et des hormones de croissance humaine aux athlètes de la NFL, à des bodybuilders et à d'autres. La veuve de Bate, Janet Bate, du comté de Richland, soutient dans un procès que Shortt a fait preuve de négligence lors de la mort, le 21 juillet 2004, de son mari âgé de 66 ans. Shortt lui a donné des traitements de peroxyde d'hydrogène par voie intraveineuse et l'a faussement diagnostiqué comme ayant une maladie de Lyme, dit le procès. En juin 2004, Shortt a prescrit de la testostérone qui a provoqué une progression rapide de son cancer de la prostate et entraîné sa mort environ six semaines plus tard, dit le procès. (The State, S.C.)<br>[Lien mis dans le document sur le nom de  James Shortt <ref>http://www.casewatch.org/doj/shortt/indictment.shtml Acte d'accusation de James Shortt, M.D.<br>En novembre 2005, James Michael Shortt, M.D., qui pratiquait la "médecine de la longévité" à Greenville, en Caroline du Sud, a été accusé de 43 chefs d'accusations de distribution de façon incorrecte d'hormones de croissance et d'autres médicaments médicaments stéroïdes. Certains déclarent qu'il distribuait des médicaments stéroïdes "pas pour une utilisation légitime" et "en dehors du cours habituel de la pratique professionnelle". D'autres chefs d'accusation déclaraient qu'il a dispensé l'hormone de croissance humaine "pour" une utilisation... autre que le traitement d'une maladie ou d'un autre état de santé reconnu". Les rapports de presse indiquent que certains des bénéficiaires étaient des joueurs de football professionnels. En mars 2006, Shortt a plaidé coupable à un chef d'accusation de conspiration pour distribuer des stéroïdes anabolisants et une hormone de croissance humaine. Sur la base de cet aveu, le Conseil de Caroline du Sud a révoqué sa licence et lui a infligé une amende de 10 000 $, l'amende la plus forte qu'il est permis d'imposer. Shortt est également poursuivi par les survivants de deux patients qu'il traitait avec du peroxyde d'hydrogène. Un avait une sclérose en plaques. L'autre avait un cancer de la prostate.<br>Page publiée le 9 juin 2006</ref>]
 
'''19 Juillet 2006'''. La veuve d'un homme qui est mort du cancer de la prostate en 2004, alors qu'il était suivi par le Dr James Shortt, est parvenu à un accord de principe avec lui dans des procès fédéraux distincts. Lundi, Shortt a été condamné dans une affaire criminelle fédérale distincte à un an et un jour de prison. Il a plaidé coupable en mars d'avoir conspiré pour distribuer des stéroïdes et des hormones de croissance humaine aux athlètes de la NFL, à des bodybuilders et à d'autres. La veuve de Bate, Janet Bate, du comté de Richland, soutient dans un procès que Shortt a fait preuve de négligence lors de la mort, le 21 juillet 2004, de son mari âgé de 66 ans. Shortt lui a donné des traitements de peroxyde d'hydrogène par voie intraveineuse et l'a faussement diagnostiqué comme ayant une maladie de Lyme, dit le procès. En juin 2004, Shortt a prescrit de la testostérone qui a provoqué une progression rapide de son cancer de la prostate et entraîné sa mort environ six semaines plus tard, dit le procès. (The State, S.C.)<br>[Lien mis dans le document sur le nom de  James Shortt <ref>http://www.casewatch.org/doj/shortt/indictment.shtml Acte d'accusation de James Shortt, M.D.<br>En novembre 2005, James Michael Shortt, M.D., qui pratiquait la "médecine de la longévité" à Greenville, en Caroline du Sud, a été accusé de 43 chefs d'accusations de distribution de façon incorrecte d'hormones de croissance et d'autres médicaments médicaments stéroïdes. Certains déclarent qu'il distribuait des médicaments stéroïdes "pas pour une utilisation légitime" et "en dehors du cours habituel de la pratique professionnelle". D'autres chefs d'accusation déclaraient qu'il a dispensé l'hormone de croissance humaine "pour" une utilisation... autre que le traitement d'une maladie ou d'un autre état de santé reconnu". Les rapports de presse indiquent que certains des bénéficiaires étaient des joueurs de football professionnels. En mars 2006, Shortt a plaidé coupable à un chef d'accusation de conspiration pour distribuer des stéroïdes anabolisants et une hormone de croissance humaine. Sur la base de cet aveu, le Conseil de Caroline du Sud a révoqué sa licence et lui a infligé une amende de 10 000 $, l'amende la plus forte qu'il est permis d'imposer. Shortt est également poursuivi par les survivants de deux patients qu'il traitait avec du peroxyde d'hydrogène. Un avait une sclérose en plaques. L'autre avait un cancer de la prostate.<br>Page publiée le 9 juin 2006</ref>]
   −
'''16 Juin 2006'''. Un médecin Lyme jugé coupable. Le Conseil médical de Caroline du Nord a suspendu pour un an la licence d'un médecin du comté de Mecklenburg après avoir constaté qu'il s'écartait des méthodes de traitement en vigueur pour la maladie de Lyme. Le conseil de 12 membres a également conclu que le Dr [[Joseph Jemsek]] n'a pas informé adéquatement les patients que son approche, qui comporte de laisser les patients sous antibiotiques par voie intraveineuse pendant des mois ou des années, est non orthodoxe. Jemsek, 57 ans, n'a rendu les choses difficile au conseil pour qu'il le déclare coupable. Il a témoigné à maintes reprises qu'il est le seul médecin de l'état qui diagnostique systématiquement les patients atteints de la maladie de Lyme chronique même s'ils ne sont pas testés positifs lorsqu'ils sont dépistés avec des tests de laboratoire standard. Jemsek a également dit qu'il est seul à s'attaquer à la maladie transmise par les tiques avec une thérapie antibiotique de longue durée. La plupart des médecins exigent des résultats de test positifs et croient que Lyme doit être traitée avec des cures ne dépassant pas deux à quatre semaines. Cinq patients, y compris le veuf d'une femme qui est morte d'une intoxication à la morphine alors qu'elle était suivie par Jemsek, ont témoigné en faveur de l'accusation.<br>(New Observer, N.C.)<br>
+
'''16 Juin 2006'''. Un médecin Lyme jugé coupable. Le Conseil médical de Caroline du Nord a suspendu pour un an la licence d'un médecin du comté de Mecklenburg après avoir constaté qu'il s'écartait des méthodes de traitement en vigueur pour la maladie de Lyme. Le conseil de 12 membres a également conclu que le Dr [[Joseph Jemsek]] n'a pas informé adéquatement les patients que son approche, qui comporte de laisser les patients sous antibiotiques par voie intraveineuse pendant des mois ou des années, est non orthodoxe. [[Joseph Jemsek|Jemsek]], 57 ans, n'a rendu les choses difficile au conseil pour qu'il le déclare coupable. Il a témoigné à maintes reprises qu'il est le seul médecin de l'état qui diagnostique systématiquement les patients atteints de la maladie de Lyme chronique même s'ils ne sont pas testés positifs lorsqu'ils sont dépistés avec des tests de laboratoire standard. [[Joseph Jemsek|Jemsek]] a également dit qu'il est seul à s'attaquer à la maladie transmise par les tiques avec une thérapie antibiotique de longue durée. La plupart des médecins exigent des résultats de test positifs et croient que Lyme doit être traitée avec des cures ne dépassant pas deux à quatre semaines. Cinq patients, y compris le veuf d'une femme qui est morte d'une intoxication à la morphine alors qu'elle était suivie par [[Joseph Jemsek|Jemsek]], ont témoigné en faveur de l'accusation.<br>(New Observer, N.C.)<br>
[lien mis dans le document sur le nom de Joseph Jemsek <ref>http://www.casewatch.org/board/med/jemsek/charges.shtml</ref>]
+
[lien mis dans le document sur le nom de [[Joseph Jemsek]] <ref>http://www.casewatch.org/board/med/jemsek/charges.shtml</ref>]
   −
'''14 mai 2006'''. [[Ginger Savely|Virginia R. Savely]], RN, (surnommée Ginger Savely). Savely est une infirmière praticienne familiale. Elle a récemment déménagé du Texas à San Francisco, parce qu'elle ne pouvait plus trouver un médecin à Austin qui superviserait son cabinet. Le problème était qu'elle était en train de traiter des personnes qui avaient été diagnostiquées atteintes de Lyme chronique (une maladie discutable en soi), avec une thérapie antibiotique de longue durée, quelque chose qui n'est pas approuvé par le Conseil des médecins du Texas, et est généralement considérée avoir seulement un effet placebo ... à Austin, elle avait 400 patients atteints de Lyme, à qui elle prescrivait des traitements antibiotiques de longue durée. Tous ces patients constituent le gagne-pain de Savely. Elle avait également "plus de 50" patients Morgellons, à qui elle donnait à peu près le même traitement qu'à ses patients Lyme. Savely gagnait sa vie en prescrivant un traitement non approuvé par le Conseil des médecins du Texas. Ils l'ont chassée de la ville, et maintenant elle s'est installée [a ouvert un cabinet] avec un médecin partageant la même optique [Stricker] à San Francisco.<br>(Morgellons Watch)<br>[référence figurant dans le document <ref name='savely'>http://morgellonswatch.com/2006/07/01/ginger-savely/</ref>]
+
'''14 mai 2006'''. [[Ginger Savely|Virginia R. Savely]], RN, (surnommée Ginger Savely). Savely est une infirmière praticienne familiale. Elle a récemment déménagé du Texas à San Francisco, parce qu'elle ne pouvait plus trouver un médecin à Austin qui superviserait son cabinet. Le problème était qu'elle était en train de traiter des personnes qui avaient été diagnostiquées atteintes de Lyme chronique (une maladie discutable en soi), avec une thérapie antibiotique de longue durée, quelque chose qui n'est pas approuvé par le Conseil des médecins du Texas, et est généralement considérée avoir seulement un effet placebo ... à Austin, elle avait 400 patients atteints de Lyme, à qui elle prescrivait des traitements antibiotiques de longue durée. Tous ces patients constituent le gagne-pain de [[Ginger Savely|Savely]]. Elle avait également "plus de 50" patients Morgellons, à qui elle donnait à peu près le même traitement qu'à ses patients Lyme. [[Ginger Savely|Savely]] gagnait sa vie en prescrivant un traitement non approuvé par le Conseil des médecins du Texas. Ils l'ont chassée de la ville, et maintenant elle s'est installée avec un médecin partageant la même optique [Stricker] à San Francisco.<br>(Morgellons Watch)<br>[référence figurant dans le document <ref name='savely'>http://morgellonswatch.com/2006/07/01/ginger-savely/</ref>]
   −
'''30 mars 2006'''. [[Ginger Savely|Virginia R. Savely]], RN "a été disciplinée l'année dernière par le Conseil d'État des infirmiers(ères) des examinateurs pour n'avoir pas suivi certains protocoles et exigences de tenue de dossiers dans le traitement d'un patient de Lyme." Savely a dit qu'elle ne reproche pas son prochain déménagement à son médecin surveillant. Elle sait que de nombreux médecins traditionnels la considèrent comme une charlatane, a-t-elle dit. (Par Mary Ann Roser, le 30 mars 2006, Austin-American Statesman)<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.standupforlyme.org/getinformed/statesman_20060330.html</ref> qui n'est plus accessible en 2017]
+
'''30 mars 2006'''. [[Ginger Savely|Virginia R. Savely]], RN "a été disciplinée l'année dernière par le Conseil d'État des infirmiers(ères) des examinateurs pour n'avoir pas suivi certains protocoles et exigences de tenue de dossiers dans le traitement d'un patient de Lyme." [[Ginger Savely|Savely]] a dit qu'elle ne reproche pas son prochain déménagement à son médecin surveillant. Elle sait que de nombreux médecins traditionnels la considèrent comme une charlatane, a-t-elle dit. (Par Mary Ann Roser, le 30 mars 2006, Austin-American Statesman)<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.standupforlyme.org/getinformed/statesman_20060330.html</ref> qui n'est plus accessible en 2017]
    
'''31 Mars 2006'''. Une doctoresse du sud du New Jersey a pris l'argent des patients [atteints] de la maladie de Lou Gehrig en leur faisant payer jusqu'à 35 000 $ pour un traitement par cellules souches qu'elle ne pouvait pas effectuer - et n'a pas effectué -, selon un acte d' accusation fédéral rendu public hier. Charlene DeMarco et son assistante et co-locataire, Elizabeth Copperman, ont été arrêtées hier et accusées de 11 chefs d'accusation, à savoir, de conspiration, de fraude fraude par mail, de fraude informatique et de blanchiment d'argent pour des actes qu'elles sont accusées d'avoir commis entre 2002 et 2004. DeMarco est connue pour son travail sur la maladie de Lyme et a été nommée en 2003 par le gouverneur James E. McGreevey au Conseil consultatif de la maladie de Lyme du gouverneur.<br>(Associated Press)<br>[remarque de Psiram: la maladie de Lou Gehring est le nom utilisé aux USA pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot]<br>[le lien mis dans le document sur le nom de Charlene DeMarco n'étant plus accessible en 2017, voici un document officiel au sujet de cette affaire <ref>https://www.casewatch.org/doj/demarco/indictment.shtml Acte d'accusation de Charlene DeMarco, DO [DO signifie docteur ostéopathe]<br>Par Stephen Barrett, MD<br>En 2006, Charlene C. DeMarco, DO et Elizabeth Lerner (alias "Elizabeth Copperman") d'Egg Harbor City, dans le New Jersey, ont été accusées d'escroquer des patients souffrant de sclérose latérale amyotrophique (ALS - "maladie de Lou Gehrig"). L'acte d'accusation, présenté ci-dessous, décrit comment les familles de deux patients atteints de SLA ont payé 35 000 $ chacun pour des traitements qui n'ont jamais été donnés. Les deux accusées sont accusés de conspiration pour commettre des fraudes par mail et par informatique; de fraude par mail et par informatique/électronique; et de blanchiment d'argent. DeMarco, "spécialisée" dans le traitement des patients atteints de maladie de Lyme, était membre du Conseil consultatif du gouverneur du New Jersey sur la maladie de Lyme. Lerner était présentée comme l'assistante de DeMarco bien qu'elle ne soit pas une professionnelle de la santé. Selon l'acte d'accusation, DeMarco a déclaré à un membre de la famille que le traitement était approuvé par la FDA bien que ce ne soit pas le cas. DeMarco a ensuite été reconnue coupable de tous les chefs d'accusation, condamnée à purger 57 mois de prison et condamnée à payer une amende de 7500 $ et 32 ​​190 $ pour la restitution. Sa licence ostéopathique a été révoquée en 2009.</ref>]
 
'''31 Mars 2006'''. Une doctoresse du sud du New Jersey a pris l'argent des patients [atteints] de la maladie de Lou Gehrig en leur faisant payer jusqu'à 35 000 $ pour un traitement par cellules souches qu'elle ne pouvait pas effectuer - et n'a pas effectué -, selon un acte d' accusation fédéral rendu public hier. Charlene DeMarco et son assistante et co-locataire, Elizabeth Copperman, ont été arrêtées hier et accusées de 11 chefs d'accusation, à savoir, de conspiration, de fraude fraude par mail, de fraude informatique et de blanchiment d'argent pour des actes qu'elles sont accusées d'avoir commis entre 2002 et 2004. DeMarco est connue pour son travail sur la maladie de Lyme et a été nommée en 2003 par le gouverneur James E. McGreevey au Conseil consultatif de la maladie de Lyme du gouverneur.<br>(Associated Press)<br>[remarque de Psiram: la maladie de Lou Gehring est le nom utilisé aux USA pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot]<br>[le lien mis dans le document sur le nom de Charlene DeMarco n'étant plus accessible en 2017, voici un document officiel au sujet de cette affaire <ref>https://www.casewatch.org/doj/demarco/indictment.shtml Acte d'accusation de Charlene DeMarco, DO [DO signifie docteur ostéopathe]<br>Par Stephen Barrett, MD<br>En 2006, Charlene C. DeMarco, DO et Elizabeth Lerner (alias "Elizabeth Copperman") d'Egg Harbor City, dans le New Jersey, ont été accusées d'escroquer des patients souffrant de sclérose latérale amyotrophique (ALS - "maladie de Lou Gehrig"). L'acte d'accusation, présenté ci-dessous, décrit comment les familles de deux patients atteints de SLA ont payé 35 000 $ chacun pour des traitements qui n'ont jamais été donnés. Les deux accusées sont accusés de conspiration pour commettre des fraudes par mail et par informatique; de fraude par mail et par informatique/électronique; et de blanchiment d'argent. DeMarco, "spécialisée" dans le traitement des patients atteints de maladie de Lyme, était membre du Conseil consultatif du gouverneur du New Jersey sur la maladie de Lyme. Lerner était présentée comme l'assistante de DeMarco bien qu'elle ne soit pas une professionnelle de la santé. Selon l'acte d'accusation, DeMarco a déclaré à un membre de la famille que le traitement était approuvé par la FDA bien que ce ne soit pas le cas. DeMarco a ensuite été reconnue coupable de tous les chefs d'accusation, condamnée à purger 57 mois de prison et condamnée à payer une amende de 7500 $ et 32 ​​190 $ pour la restitution. Sa licence ostéopathique a été révoquée en 2009.</ref>]
Ligne 115 : Ligne 115 :     
'''24 décembre 2002'''. [[Bernard Raxlen]], un psychiatre, a eu sa licence médicale suspendue dans l'État de New York pour "faute professionnelle".
 
'''24 décembre 2002'''. [[Bernard Raxlen]], un psychiatre, a eu sa licence médicale suspendue dans l'État de New York pour "faute professionnelle".
[Lien mis dans le document sur le nom Bernard Raxlen <ref>https://w3.health.ny.gov/opmc/factions.nsf/0522fed2dd2160ff852568c0004e894a/aaf98a0a1c130bf785256c6a00724f25/$FILE/lc170256.pdf</ref>, référence figurant dans le document <ref>http://www.casewatch.org/board/med/raxlen/decision.shtml Disciplinary Actions against Bernard Raxlen, M.D. Par Stephen Barrett, M.D.<br>Bernard Raxlen, un psychiatre qui se commercialise lui-même en tant que spécialiste du traitement de la maladie de Lyme, pratique maintenant à New York. Le ministère de la Santé du Connecticut l'a discipliné deux fois. En 1999, Raxlen a été accusé de (a) refuser d'envoyer le dossier d'un patient lorsque le Département de la santé l'a demandé, (b) de prescrire de façon inappropriée plusieurs médicaments chez un patient et (c) de ne pas avoir une assurance contre les  Assurance contre la faute professionnelle comme l'exige la loi de l'État. Comme indiqué dans le mémorandum de décision ci-dessous, il a été réprimandé et condamné à payer une peine civile de 20 000 $. En 2004, Raxlen a été accusé de ne pas fournir les dossiers de 15 patients demandés par une compagnie d'assurance, même si chaque patient avait signé une version écrite. Lorsque le Département de la santé a répété la demande, Il a soumis 13 dossiers et a déclaré qu'il avait perdu les dossiers d'un patient. En 2005, en vertu d'un accord de consentement, il a été réprimandé, il lui a été ordonné de payer une peine civile de 15 000 $ et ordonné de présenter aux nouveaux patients un avis indiquant qu'il pourrait être obligé par la loi de fournir des dossiers aux assureurs et au ministère de la Santé. Les autorités de délivrance des permis de l'État de New York ont ​​ensuite été condamnés à une amende de 2 500 $ chacun pour ces cas.<br>Raxlen fait partie d'un petit réseau de médecins qui, contrairement aux croyances médicales dominantes, affirment que la maladie de Lyme devient souvent chronique et devrait être traitée avec un antibiotique sur de longues durées. Son site Web de la clinique de New York déclare qu'il a traité plus de 3 500 cas de maladies transmises par les tiques et qu'il est «le seul psychiatre dans la zone de trois états à lancer un programme complet de traitement utilisant une intervention de traitement antibiotique oral et IV [intra-veineux] en conjonction avec une neuropharmacologie et la gestion du stress pour la dépression, le trouble panique, le trouble de l'humeur bipolaire, l'activité épileptiforme, la perte de mémoire ADD, le trouble du sommeil et le syndrome du déficit lobe préfrontal ".</ref>]
+
[Lien mis dans le document sur le nom [[Bernard Raxlen]] <ref>https://w3.health.ny.gov/opmc/factions.nsf/0522fed2dd2160ff852568c0004e894a/aaf98a0a1c130bf785256c6a00724f25/$FILE/lc170256.pdf</ref>, référence figurant dans le document <ref>http://www.casewatch.org/board/med/raxlen/decision.shtml Disciplinary Actions against Bernard Raxlen, M.D. Par Stephen Barrett, M.D.<br>[[Bernard Raxlen]], un psychiatre qui se commercialise lui-même en tant que spécialiste du traitement de la maladie de Lyme, pratique maintenant à New York. Le ministère de la Santé du Connecticut l'a discipliné deux fois. En 1999, [[Bernard Raxlen|Raxlen]] a été accusé de (a) refuser d'envoyer le dossier d'un patient lorsque le Département de la santé l'a demandé, (b) de prescrire de façon inappropriée plusieurs médicaments chez un patient et (c) de ne pas avoir une assurance contre les  Assurance contre la faute professionnelle comme l'exige la loi de l'État. Comme indiqué dans le mémorandum de décision ci-dessous, il a été réprimandé et condamné à payer une peine civile de 20 000 $. En 2004, [[Bernard Raxlen|Raxlen]] a été accusé de ne pas fournir les dossiers de 15 patients demandés par une compagnie d'assurance, même si chaque patient avait signé une version écrite. Lorsque le Département de la santé a répété la demande, Il a soumis 13 dossiers et a déclaré qu'il avait perdu les dossiers d'un patient. En 2005, en vertu d'un accord de consentement, il a été réprimandé, il lui a été ordonné de payer une peine civile de 15 000 $ et ordonné de présenter aux nouveaux patients un avis indiquant qu'il pourrait être obligé par la loi de fournir des dossiers aux assureurs et au ministère de la Santé. Les autorités de délivrance des permis de l'État de New York ont ​​ensuite été condamnés à une amende de 2 500 $ chacun pour ces cas.<br>[[Bernard Raxlen|Raxlen]] fait partie d'un petit réseau de médecins qui, contrairement aux croyances médicales dominantes, affirment que la maladie de Lyme devient souvent chronique et devrait être traitée avec un antibiotique sur de longues durées. Son site Web de la clinique de New York déclare qu'il a traité plus de 3 500 cas de maladies transmises par les tiques et qu'il est «le seul psychiatre dans la zone de trois états à lancer un programme complet de traitement utilisant une intervention de traitement antibiotique oral et IV [intra-veineux] en conjonction avec une neuropharmacologie et la gestion du stress pour la dépression, le trouble panique, le trouble de l'humeur bipolaire, l'activité épileptiforme, la perte de mémoire ADD, le trouble du sommeil et le syndrome du déficit lobe préfrontal ".</ref>]
    
'''14 novembre 2002'''. Le Dr Perry Orens, dont la licence [d'exercer] avait été révoquée en novembre 1999 suite à ses audiences devant le New York State Office of Professional Medical Conduct (OPMC) [le Bureau de conduite professionnelle médicale (de déontologie médicale) de l'État de New York], a eu son permis rétabli par la cour d'appel de la Cour suprême de l'État de New York.<br>[la référence mise en lien sur le nom de Perry Orens n'est plus accessible en 2017, en remplacement voir ici <ref>https://w3.health.ny.gov/opmc/factions.nsf/cd901a6816701d94852568c0004e3fb7/dbc0cd92b656fe7585256a4a0047e555/$FILE/REG%20082198.pdf</ref>]
 
'''14 novembre 2002'''. Le Dr Perry Orens, dont la licence [d'exercer] avait été révoquée en novembre 1999 suite à ses audiences devant le New York State Office of Professional Medical Conduct (OPMC) [le Bureau de conduite professionnelle médicale (de déontologie médicale) de l'État de New York], a eu son permis rétabli par la cour d'appel de la Cour suprême de l'État de New York.<br>[la référence mise en lien sur le nom de Perry Orens n'est plus accessible en 2017, en remplacement voir ici <ref>https://w3.health.ny.gov/opmc/factions.nsf/cd901a6816701d94852568c0004e3fb7/dbc0cd92b656fe7585256a4a0047e555/$FILE/REG%20082198.pdf</ref>]
   −
'''23 avril 2002'''. Le Dr [[Joseph Burrascano]], après une audience devant l'OPMC [Office Professional Medical Conduct] de l'État de New York au sujet de ses traitements médicaux des patients atteints de Lyme a été placé en probation avec un contrôleur/surveillant de pratique. ''"Je serai placé en probation avec un contrôleur de pratique. La sanction était à l'origine d'une durée de 6 mois. Le conseil d'appel a confirmé cette sanction mais a allongé la durée de probation à deux ans afin de la maintenir conforme à d'autres cas. MAIS - ils N'ont PAS posé de restriction à ma pratique, PAS de restrictions sur la façon dont je m'occupe de mes cas, et, dans leur décision écrite, la Commission était plutôt élogieuse !"''<br><br>Au Dr Richard Horowitz, qui avait été auditionné par l'OPMC de NYS depuis le printemps 2001, a été proposé un arrangement [une transaction] comprenant une suspension de trois mois.<br>[lien mis dans le document sous le nom de Joseph Burrascano <ref>http://www.casewatch.org/board/med/burrascano/order.shtml Action disciplinaire contre Joseph J. Burrascano, MD<br>En 2002, la Commission de révision administrative de l'État de New York pour la conduite médicale professionnelle a conclu que Joseph Burrascano, MD, avait commis une faute professionnelle en traitant négligemment deux patients. La commission d'examen a ordonné à Burrascano de suivre deux années de probation pendant lesquelles sa pratique serait surveillée par un autre médecin acceptable pour le Bureau de la conduite médicale professionnelle (OPMC). Burrascano, qui pratique à East Hampton, à New York, se spécialise dans le traitement de la maladie de Lyme et d'autres maladies transmises par les tiques. Certaines de ses approches de diagnostic et de traitement (y compris l'administration d'antibiotiques à long terme pour traiter la maladie de Lyme) ne sont pas conformes aux directives médicales largement acceptées. Toutefois, les autorités de délivrance des licences ne lui ont pas ordonné de cesser de les utiliser. L'accusation et les résultats de l'OPMC sont publiés sur Casewatch. Le résultat de l'affaire a été influencé par des médecins partageant les mêmes idées et des centaines de patients qui se sont ralliés à son soutien. [...]</ref>. Références figurant dans le document <ref>http://www.healthgrades.com/directory_search/physician/profiles/dr-md-reports/DrRichard-Horowitz-MD-DA5BE9D0/background-check</ref> <ref>http://w3.health.state.ny.us/opmc/factions.nsf/cd901a6816701d94852568c0004e3fb7/e2f
+
'''23 avril 2002'''. Le Dr [[Joseph Burrascano]], après une audience devant l'OPMC [Office Professional Medical Conduct] de l'État de New York au sujet de ses traitements médicaux des patients atteints de Lyme a été placé en probation avec un contrôleur/surveillant de pratique. ''"Je serai placé en probation avec un contrôleur de pratique. La sanction était à l'origine d'une durée de 6 mois. Le conseil d'appel a confirmé cette sanction mais a allongé la durée de probation à deux ans afin de la maintenir conforme à d'autres cas. MAIS - ils N'ont PAS posé de restriction à ma pratique, PAS de restrictions sur la façon dont je m'occupe de mes cas, et, dans leur décision écrite, la Commission était plutôt élogieuse !"''<br><br>Au Dr [[Richard Horowitz]], qui avait été auditionné par l'OPMC de NYS depuis le printemps 2001, a été proposé un arrangement [une transaction] comprenant une suspension de trois mois.<br>[lien mis dans le document sous le nom de [[Joseph Burrascano]] <ref>http://www.casewatch.org/board/med/burrascano/order.shtml Action disciplinaire contre [[Joseph Burrascano|Joseph J. Burrascano]], MD<br>En 2002, la Commission de révision administrative de l'État de New York pour la conduite médicale professionnelle a conclu que [[Joseph Burrascano]], MD, avait commis une faute professionnelle en traitant négligemment deux patients. La commission d'examen a ordonné à [[Joseph Burrascano|Burrascano]] de suivre deux années de probation pendant lesquelles sa pratique serait surveillée par un autre médecin acceptable pour le Bureau de la conduite médicale professionnelle (OPMC). [[Joseph Burrascano|Burrascano]], qui pratique à East Hampton, à New York, se spécialise dans le traitement de la maladie de Lyme et d'autres maladies transmises par les tiques. Certaines de ses approches de diagnostic et de traitement (y compris l'administration d'antibiotiques à long terme pour traiter la maladie de Lyme) ne sont pas conformes aux directives médicales largement acceptées. Toutefois, les autorités de délivrance des licences ne lui ont pas ordonné de cesser de les utiliser. L'accusation et les résultats de l'OPMC sont publiés sur Casewatch. Le résultat de l'affaire a été influencé par des médecins partageant les mêmes idées et des centaines de patients qui se sont ralliés à son soutien. [...]</ref>. Références figurant dans le document <ref>http://www.healthgrades.com/directory_search/physician/profiles/dr-md-reports/DrRichard-Horowitz-MD-DA5BE9D0/background-check</ref> <ref>http://w3.health.state.ny.us/opmc/factions.nsf/cd901a6816701d94852568c0004e3fb7/e2f
 
882c8f73e075d85256a4a0047d6c1?OpenDocument</ref>]
 
882c8f73e075d85256a4a0047d6c1?OpenDocument</ref>]
  
12 795

modifications