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Ce rapport évoque uniquement le Collège Universitaire Privé des Sciences Humaines section française de l'Université Européenne des Sciences et Ressources puisque cette dernière est hors de son ressort territorial, on peut cependant considérer qu'il est pertinent pour les deux organismes.   
 
Ce rapport évoque uniquement le Collège Universitaire Privé des Sciences Humaines section française de l'Université Européenne des Sciences et Ressources puisque cette dernière est hors de son ressort territorial, on peut cependant considérer qu'il est pertinent pour les deux organismes.   
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On lit dans le chapitre "Formations et enseignements dans le domaine des médecines non conventionnelles : un marché florissant au risque de dérives sectaires" (pages 157 à 197). Les passages ci-dessous (sauf la remarque de Psiram) figurent tel quels dans le rapport lui-même :
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On lit dans le chapitre "Formations et enseignements dans le domaine des médecines non conventionnelles : un marché florissant au risque de dérives sectaires" (pages 157 à 197). Les passages ci-dessous figurent tel quels dans le rapport lui-même :
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* page 160 du rapport (en fait apparaissant à la page 161 du document électronique publié sur Internet) : Ainsi, l’usage du terme « université » de même que l’intitulé des diplômes sont encadrés par l’article L. 731-14 du code de l’éducation : ''Les établissements d’enseignement supérieur privés ne peuvent en aucun cas prendre le titre d’universités. Les certificats d'études qu'on y juge à propos de décerner aux élèves ne peuvent porter les titres de baccalauréat, de licence ou de doctorat. Le fait, pour le responsable d’un établissement, de donner à celui-ci le titre d’université ou de faire décerner des certificats portant les titres de baccalauréat, de licence ou de doctorat est puni de 30 000€ d’amende .''(Remarque de Psiram: voilà la véritable raison de l'appellation "Collège" de l'UESRH en France, mais pour corriger un peu ils rajoutent à Collège le mot "Universitaire".)
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* page 160 du rapport (en fait apparaissant à la page 161 du document électronique publié sur Internet) : Ainsi, l’usage du terme « université » de même que l’intitulé des diplômes sont encadrés par l’article L. 731-14 du code de l’éducation : ''Les établissements d’enseignement supérieur privés ne peuvent en aucun cas prendre le titre d’universités. Les certificats d'études qu'on y juge à propos de décerner aux élèves ne peuvent porter les titres de baccalauréat, de licence ou de doctorat. Le fait, pour le responsable d’un établissement, de donner à celui-ci le titre d’université ou de faire décerner des certificats portant les titres de baccalauréat, de licence ou de doctorat est puni de 30 000€ d’amende .''
    
* page 167 du rapport (et 168 du document électronique) : Le Collège privé des sciences humaines précise sur son site : ''Notre faculté est agréée comme telle auprès du ministère de l’Education nationale'', ce qui, là encore, est faux, puisqu’elle n’y est que déclarée. Il s’agit donc que d’une tentative trompeuse de pseudo-légitimation.
 
* page 167 du rapport (et 168 du document électronique) : Le Collège privé des sciences humaines précise sur son site : ''Notre faculté est agréée comme telle auprès du ministère de l’Education nationale'', ce qui, là encore, est faux, puisqu’elle n’y est que déclarée. Il s’agit donc que d’une tentative trompeuse de pseudo-légitimation.
    
* page 172 et 173 du rapport : ''La formation à la « synthèse pour une relation d’aide » au Collège universitaire privé des sciences humaines''<br>Le Collège universitaire privé des sciences humaines a été créé par le docteur C. Irampour, médecin psychiatre aujourd’hui retraité. Sur Internet, il présente son établissement dans les termes suivants :<br>''Les deux objectifs que nous poursuivons dans nos formations inédites – intelligibilité et synthèse sur la médecine globale de la personne – sont assurés grâce à la prise en compte du fait que l’être humain constitue une unité remarquable. Toutes les dimensions de sa personne (du physique jusqu’au spirituel) se rejoignent naturellement et rationnellement dans une « véritable synthèse holistique ».<br>De manière vivante, cette formation constitue une synthèse, par une articulation simultanée et harmonisatrice, entre, d’une part, les fondements psychologiques, psychosomatiques, énergétiques, spirituels, etc., des souffrances humaines et, d’autre part, les fondements de la psychothérapie, du développement personnel et des thérapies naturelles de la personne.<br>Notre méthode pédagogique développe et valorise l’intuition naturelle des étudiants.<br>Nous cherchons de cette façon à éviter la déformation professionnelle liée à tout ce qui aboutit au refoulement de l’intuition de l’étudiant dans l’enseignement habituel. L’intuition est la base spirituelle de nos connaissances.<br>Notre enseignement ne forme pas à une « nouvelle spécialité ». Au contraire, il contribue à remédier aux excès et aux méfaits des spécialisations.''<br>Le docteur Irampour déclare : ''Nos formations scientifiques évitent à beaucoup de personnes des démarches fondées sur l’irrationnel et leur évitent des dérives sectaires.''<br>Il indique cependant ailleurs qu’il partage la croyance selon laquelle Marthe Robin, la mystique française décédée il y a une quinzaine d’années, n’a mangé et bu chaque jour durant vingt-cinq ans qu’une hostie et un verre d’eau, tout en conservant une extraordinaire lucidité.<br>Parmi les nombreux débouchés auxquels cette formation déclare conduire, on peut relever : ''créer des cabinets de conseils ou de thérapie; travailler dans des structures de soins (de cure, de postcure, etc.);  opérer à travers des activités thérapeutiques …''<br>L’enseignement conduisant au ''« diplôme de formation supérieure en relation d’aide et ressources humaines »'' a lieu pendant six week-ends répartis au cours d’une année universitaire, soit douze journées de formation. Il est complété par des cours par correspondance et un stage dans le département du candidat. Il en coûte 2500 € à l’étudiant.
 
* page 172 et 173 du rapport : ''La formation à la « synthèse pour une relation d’aide » au Collège universitaire privé des sciences humaines''<br>Le Collège universitaire privé des sciences humaines a été créé par le docteur C. Irampour, médecin psychiatre aujourd’hui retraité. Sur Internet, il présente son établissement dans les termes suivants :<br>''Les deux objectifs que nous poursuivons dans nos formations inédites – intelligibilité et synthèse sur la médecine globale de la personne – sont assurés grâce à la prise en compte du fait que l’être humain constitue une unité remarquable. Toutes les dimensions de sa personne (du physique jusqu’au spirituel) se rejoignent naturellement et rationnellement dans une « véritable synthèse holistique ».<br>De manière vivante, cette formation constitue une synthèse, par une articulation simultanée et harmonisatrice, entre, d’une part, les fondements psychologiques, psychosomatiques, énergétiques, spirituels, etc., des souffrances humaines et, d’autre part, les fondements de la psychothérapie, du développement personnel et des thérapies naturelles de la personne.<br>Notre méthode pédagogique développe et valorise l’intuition naturelle des étudiants.<br>Nous cherchons de cette façon à éviter la déformation professionnelle liée à tout ce qui aboutit au refoulement de l’intuition de l’étudiant dans l’enseignement habituel. L’intuition est la base spirituelle de nos connaissances.<br>Notre enseignement ne forme pas à une « nouvelle spécialité ». Au contraire, il contribue à remédier aux excès et aux méfaits des spécialisations.''<br>Le docteur Irampour déclare : ''Nos formations scientifiques évitent à beaucoup de personnes des démarches fondées sur l’irrationnel et leur évitent des dérives sectaires.''<br>Il indique cependant ailleurs qu’il partage la croyance selon laquelle Marthe Robin, la mystique française décédée il y a une quinzaine d’années, n’a mangé et bu chaque jour durant vingt-cinq ans qu’une hostie et un verre d’eau, tout en conservant une extraordinaire lucidité.<br>Parmi les nombreux débouchés auxquels cette formation déclare conduire, on peut relever : ''créer des cabinets de conseils ou de thérapie; travailler dans des structures de soins (de cure, de postcure, etc.);  opérer à travers des activités thérapeutiques …''<br>L’enseignement conduisant au ''« diplôme de formation supérieure en relation d’aide et ressources humaines »'' a lieu pendant six week-ends répartis au cours d’une année universitaire, soit douze journées de formation. Il est complété par des cours par correspondance et un stage dans le département du candidat. Il en coûte 2500 € à l’étudiant.
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* page 175 : "L’apprentissage de dérives thérapeutiques dangereuses pour la santé publique et pour la santé des individus"<br>Des allégations thérapeutiques non validées par la science et souvent extravagantes [...]
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* page 176 : Les allégations de l’ethnomédecine : les huiles essentielles miraculeuses, destructrices des virus les plus nocifs<br>[[Jean-Pierre Willem|J.-P. Willem]], formateur et praticien en médecine naturelle, fondateur et directeur de la faculté libre de médecine naturelle, [...] Rappelons que [[Jean-Pierre Willem|J.-P. Willem]], médecin, a fait l’objet d’une radiation du conseil de l’Ordre des médecins. [...]
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* page 177 à 180 : Les allégations de la [[Biologie Totale|biologie totale]] : la guérison des maladies, y compris les plus graves, par une psychothérapie relative à un ou à plusieurs conflits psychiques non résolus [...]
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* page 181 et 182 : Les allégations de l’étiopathie : des maladies aussi bien bénignes que graves guéries en quelques séances par l’application de techniques manuelles dites « chirurgie non instrumentale » [...]
      
* page 182 et 183 du rapport : Les allégations de la médecine naturelle du Collège universitaire privé des sciences humaines : contre les mystifications des spécialistes, le recours aux potentiels d’autoguérison de l’être humain<br>A la lecture du site du Collège, on ne saisit pas à quels actes thérapeutiques les étudiants formés en douze jours à la "médecine naturelle" (six week-ends sur une année), sont concrètement préparés.<br>''Notre programme a pour objectif que chacun puisse apporter au mieux sa propre contribution dans la prévention ou la thérapie de problèmes comme la dépression, les troubles psychosomatiques, les dépendances.<br>Les connaissances médicales, chirurgicales, voire même psychiatriques, n'empêchent pas d'être dans l'erreur, dans la fausse conscience vis-à-vis de la vie et d'être porteur d'idées, de sentiments et de préjugés qui falsifient l'essence même de la vie.<br>Le spécialiste diplômé est amené à avoir le complexe de l'imposture. Il finit par jouer le jeu des automatismes plus ou moins établis qui n'ont pas d'avenir et qui ne touchent pas à l'essentiel des potentiels et capacités de mieux-être et d'équilibre que possède chacun. La médecine naturelle est celle de l'homme et de son équilibre spirituel.<br>Les spécialistes abîmés dans l'étude de la matière finissent par se couper des fondements de la vie humaine qui sont spirituels. L'Univers matériel lui-même est spirituel.''<br>Le docteur Irampour voit de la façon suivante les capacités futures de la médecine naturelle à laquelle il prépare ses étudiants : ''L’avenir appartient aux thérapies de plus en plus naturelles, de sorte que le malade du cancer, par exemple, au lieu d’être mutilé, chimifié, irradié, vivant dans la peur et la soumission, fera de plus en plus appel à ses potentiels et qu’il apprendra à VIVRE au lieu de SURVIVRE. On voyage ainsi vers une médecine de la santé, une médecine de l’homme, vers le bon sens, l’humanisation de nos relations et la fin des mystifications du spécialiste, qui deviendra un jour un simple auxiliaire du globaliste.<br>La vraie guérison doit être recherchée dans l’authenticité et dans l’amour ; toutes nos souffrances proviennent de nos illusions.''
 
* page 182 et 183 du rapport : Les allégations de la médecine naturelle du Collège universitaire privé des sciences humaines : contre les mystifications des spécialistes, le recours aux potentiels d’autoguérison de l’être humain<br>A la lecture du site du Collège, on ne saisit pas à quels actes thérapeutiques les étudiants formés en douze jours à la "médecine naturelle" (six week-ends sur une année), sont concrètement préparés.<br>''Notre programme a pour objectif que chacun puisse apporter au mieux sa propre contribution dans la prévention ou la thérapie de problèmes comme la dépression, les troubles psychosomatiques, les dépendances.<br>Les connaissances médicales, chirurgicales, voire même psychiatriques, n'empêchent pas d'être dans l'erreur, dans la fausse conscience vis-à-vis de la vie et d'être porteur d'idées, de sentiments et de préjugés qui falsifient l'essence même de la vie.<br>Le spécialiste diplômé est amené à avoir le complexe de l'imposture. Il finit par jouer le jeu des automatismes plus ou moins établis qui n'ont pas d'avenir et qui ne touchent pas à l'essentiel des potentiels et capacités de mieux-être et d'équilibre que possède chacun. La médecine naturelle est celle de l'homme et de son équilibre spirituel.<br>Les spécialistes abîmés dans l'étude de la matière finissent par se couper des fondements de la vie humaine qui sont spirituels. L'Univers matériel lui-même est spirituel.''<br>Le docteur Irampour voit de la façon suivante les capacités futures de la médecine naturelle à laquelle il prépare ses étudiants : ''L’avenir appartient aux thérapies de plus en plus naturelles, de sorte que le malade du cancer, par exemple, au lieu d’être mutilé, chimifié, irradié, vivant dans la peur et la soumission, fera de plus en plus appel à ses potentiels et qu’il apprendra à VIVRE au lieu de SURVIVRE. On voyage ainsi vers une médecine de la santé, une médecine de l’homme, vers le bon sens, l’humanisation de nos relations et la fin des mystifications du spécialiste, qui deviendra un jour un simple auxiliaire du globaliste.<br>La vraie guérison doit être recherchée dans l’authenticité et dans l’amour ; toutes nos souffrances proviennent de nos illusions.''
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