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* http://www.maladie-lyme-traitements.com/traitements.html Une liste de traitements proposés inquiétante: 1) L'Argent Colloïdal : un antiseptique naturel à large spectre.<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Kolloidales_Silber</ref>. 2) [[Thérapie de Gerson|Gerson : une thérapie à base de jus frais bourrés d'anti-oxidants]]. 3) [[Oxygénothérapie hyperbare|HBOT : Hyperbaric Oxygen Therapy]]. 4) Machine Rife : un générateur d'ondes magnétiques<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Royal_Raymond_Rife</ref>. 5) TIC TOX : une solution herbale potente [qui était vendue par le pharmacien Bernard Christophe et qui est interdite n'ayant pas été testée]. 6) Vitamine C à haute dose en intraveineuse<ref>https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11049799 Une femme de 30 ans est décédée du fait d'un grand thrombus septique de Candida parapsilosis situé à la pointe d'un cathéter de Groshong. Le cathéter avait été en place pendant 28 mois pour l'administration d'un cours de 27 mois de céfotaxime intraveineux pour un diagnostic non fondé de la maladie de Lyme chronique.</ref>. 7) Antibiotiques, le traitement classique
 
* http://www.maladie-lyme-traitements.com/traitements.html Une liste de traitements proposés inquiétante: 1) L'Argent Colloïdal : un antiseptique naturel à large spectre.<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Kolloidales_Silber</ref>. 2) [[Thérapie de Gerson|Gerson : une thérapie à base de jus frais bourrés d'anti-oxidants]]. 3) [[Oxygénothérapie hyperbare|HBOT : Hyperbaric Oxygen Therapy]]. 4) Machine Rife : un générateur d'ondes magnétiques<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Royal_Raymond_Rife</ref>. 5) TIC TOX : une solution herbale potente [qui était vendue par le pharmacien Bernard Christophe et qui est interdite n'ayant pas été testée]. 6) Vitamine C à haute dose en intraveineuse<ref>https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11049799 Une femme de 30 ans est décédée du fait d'un grand thrombus septique de Candida parapsilosis situé à la pointe d'un cathéter de Groshong. Le cathéter avait été en place pendant 28 mois pour l'administration d'un cours de 27 mois de céfotaxime intraveineux pour un diagnostic non fondé de la maladie de Lyme chronique.</ref>. 7) Antibiotiques, le traitement classique
 
* http://www.nytimes.com/2001/06/17/magazine/stalking-dr-steere.html Stalking Dr. Steere By DAVID GRANNJUNE 17, 2001. Article "Harcèlement du Dr. Steere" dans le New-York Time.<br>L'an dernier, le Dr Allen Steere, l'un des plus renommés chercheurs médicaux et rhumatologues du monde, a commencé à craindre les patients. Ce n'était pas tant ceux qu'il avait traités, bien qu'il a parfois eu à se soucier d'eux également, mais ceux qui avaient commencé à appeler son bureau, le menaçant en prétendant qu'il était responsable de leurs souffrances. Ils insistaient [arguant] qu'il leur refusait un traitement pour une forme aiguë de la maladie de Lyme chronique, une forme de l'infection d'ordinaire plus modérée, qu'ils croyaient s'être glissée dans le sang sans y être détectée et qui y reste pendant des années ce qui provoque douleurs articulaires, fatigue chronique, dépression suicidaire, paralysie et même la mort. Affirmant leurs diagnostics, il y avait un nombre croissant de patients, de groupes de défense/plaidoyer, de praticiens et de psychiatres qui ont fait valoir que la maladie était devenue une épidémie à grande échelle, un fléau des temps modernes invalidant des milliers d'Américains.<br> En tant que l'un des experts les plus éminents du monde sur la maladie, Steere ne croyait pas que beaucoup d'entre eux aient eu la maladie de Lyme, mais quelque chose d'autre - fatigue chronique ou maladie mentale ou fibromyalgie - et il avait refusé de les traiter avec des antibiotiques. De nombreux médecins et compagnies d'assurance avaient suivi son exemple et, par conséquent, des hordes de patients ont commencé à le harceler. Ils se sont présentés à ses engagements publics, tenant des panneaux qui disaient "Combien de personnes de plus tuerez-vous ?" Et "Évitez Steere!" Ils l'ont dépeint dans les médias comme un démon, pire que les spirochètes, la bactérie des tiques, dont ils prétendaient qu'elle habitait dans leurs corps et que, à cause de son diagnostic restrictif, ils ne pouvaient pas éliminer. [...]<br>En août 1993, le Comité sénatorial Travail et ressources humaines a demandé à Steere de discuter de ses résultats avec d'autres experts en ce domaine. L'enjeu était la direction de millions de dollars fédéraux dans la recherche, les lignes directrices juridiques pour le traitement des patients et, aux yeux d'un nombre croissant de patients, leur survie même.<br>Quand Steere arriva, la galerie était déjà remplie de spectateurs, dont beaucoup portaient des rubans verts pour indiquer leur solidarité avec les patients de Lyme. Leur attention semblait centrée sur un pratiquant peu connu de Long Island nommé Joseph Burrascano Jr. Contrairement à Steere, il n'avait jamais fait de recherche scientifique, mais il a informé le Comité qu'il avait vu plus de 1000 patients de Lyme et que son protocole avait été traduit en trois langues.<br>Comme Steere le regardait, le jeune médecin commença une tirade contre l'établissement médical. Il avertit que de nombreux chercheurs ont  joué délibérément sur la gravité de la maladie de Lyme chronique. [...]
 
* http://www.nytimes.com/2001/06/17/magazine/stalking-dr-steere.html Stalking Dr. Steere By DAVID GRANNJUNE 17, 2001. Article "Harcèlement du Dr. Steere" dans le New-York Time.<br>L'an dernier, le Dr Allen Steere, l'un des plus renommés chercheurs médicaux et rhumatologues du monde, a commencé à craindre les patients. Ce n'était pas tant ceux qu'il avait traités, bien qu'il a parfois eu à se soucier d'eux également, mais ceux qui avaient commencé à appeler son bureau, le menaçant en prétendant qu'il était responsable de leurs souffrances. Ils insistaient [arguant] qu'il leur refusait un traitement pour une forme aiguë de la maladie de Lyme chronique, une forme de l'infection d'ordinaire plus modérée, qu'ils croyaient s'être glissée dans le sang sans y être détectée et qui y reste pendant des années ce qui provoque douleurs articulaires, fatigue chronique, dépression suicidaire, paralysie et même la mort. Affirmant leurs diagnostics, il y avait un nombre croissant de patients, de groupes de défense/plaidoyer, de praticiens et de psychiatres qui ont fait valoir que la maladie était devenue une épidémie à grande échelle, un fléau des temps modernes invalidant des milliers d'Américains.<br> En tant que l'un des experts les plus éminents du monde sur la maladie, Steere ne croyait pas que beaucoup d'entre eux aient eu la maladie de Lyme, mais quelque chose d'autre - fatigue chronique ou maladie mentale ou fibromyalgie - et il avait refusé de les traiter avec des antibiotiques. De nombreux médecins et compagnies d'assurance avaient suivi son exemple et, par conséquent, des hordes de patients ont commencé à le harceler. Ils se sont présentés à ses engagements publics, tenant des panneaux qui disaient "Combien de personnes de plus tuerez-vous ?" Et "Évitez Steere!" Ils l'ont dépeint dans les médias comme un démon, pire que les spirochètes, la bactérie des tiques, dont ils prétendaient qu'elle habitait dans leurs corps et que, à cause de son diagnostic restrictif, ils ne pouvaient pas éliminer. [...]<br>En août 1993, le Comité sénatorial Travail et ressources humaines a demandé à Steere de discuter de ses résultats avec d'autres experts en ce domaine. L'enjeu était la direction de millions de dollars fédéraux dans la recherche, les lignes directrices juridiques pour le traitement des patients et, aux yeux d'un nombre croissant de patients, leur survie même.<br>Quand Steere arriva, la galerie était déjà remplie de spectateurs, dont beaucoup portaient des rubans verts pour indiquer leur solidarité avec les patients de Lyme. Leur attention semblait centrée sur un pratiquant peu connu de Long Island nommé Joseph Burrascano Jr. Contrairement à Steere, il n'avait jamais fait de recherche scientifique, mais il a informé le Comité qu'il avait vu plus de 1000 patients de Lyme et que son protocole avait été traduit en trois langues.<br>Comme Steere le regardait, le jeune médecin commença une tirade contre l'établissement médical. Il avertit que de nombreux chercheurs ont  joué délibérément sur la gravité de la maladie de Lyme chronique. [...]
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4489928/ Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease
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* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4489928/ Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease. Paul G Auwaerter, MD, Johan S Bakken, MD, PhD, Prof Raymond J Dattwyler, MD, Prof J Stephen Dumler, MD, Prof John J Halperin, MD, Edward McSweegan, MD, Prof Robert B Nadelman, MD, Susan O’Connell, MD, Prof Eugene D Shapiro, MD, Prof Sunil K Sood, MD, Prof Allen C Steere, MD, Prof Arthur Weinstein, MD, and Prof Gary P Wormser, MD Published: September 2011
Paul G Auwaerter, MD, Johan S Bakken, MD, PhD, Prof Raymond J Dattwyler, MD, Prof J Stephen Dumler, MD, Prof John J Halperin, MD, Edward McSweegan, MD, Prof Robert B Nadelman, MD, Susan O’Connell, MD, Prof Eugene D Shapiro, MD, Prof Sunil K Sood, MD, Prof Allen C Steere, MD, Prof Arthur Weinstein, MD, and Prof Gary P Wormser, MD Published: September 2011
      
== Références ==
 
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