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Dans le journal de décembre 1999 de la [[LNPLV]], il est fait un compte-rendu d'un colloque "Faut-il avoir peur des vaccinations ?" auquel la [[LNPLV]] a participé. Le journal donne des détails sur l'intervention de Philippe Bry:<br>"''Le Dr Philippe BRY, pédiatre à Fondettes, a dénoncé cette polyvaccination du nourrisson qui perturbe le système immunitaire encore immature à tel point que le Japon a reporté les primo-vaccinations à …2 ans. Il a montré des documents témoignant de l'affaiblissement du système immunitaire matérialisé par l'effondrement du rapport T4/T8 (il s'agit de deux types de lymphocytes – globules blancs – intervenant dans l'immunité). Enfin il a dénoncé « l'artifice » de changement de dénomination du Virus Respiratoire Syncitial (VRS) qui, découvert en 1956, s'appelait alors Chimpanzé Coryza Agent (CCA). Serait-ce pour éviter que l'on se pose la question de savoir comment on a pu « écoper » d'un virus de chimpanzé ? Avec pertinence, notre orateur ne se prive pas de rappeler que les premiers vaccins antipolio des années 60 étaient contaminés par le SV40, virus provenant des singes verts sur les reins desquels étaient faites les cultures du vaccin antipolio…''"<ref>http://www.infovaccin.fr/199912.html#colloque</ref>
 
Dans le journal de décembre 1999 de la [[LNPLV]], il est fait un compte-rendu d'un colloque "Faut-il avoir peur des vaccinations ?" auquel la [[LNPLV]] a participé. Le journal donne des détails sur l'intervention de Philippe Bry:<br>"''Le Dr Philippe BRY, pédiatre à Fondettes, a dénoncé cette polyvaccination du nourrisson qui perturbe le système immunitaire encore immature à tel point que le Japon a reporté les primo-vaccinations à …2 ans. Il a montré des documents témoignant de l'affaiblissement du système immunitaire matérialisé par l'effondrement du rapport T4/T8 (il s'agit de deux types de lymphocytes – globules blancs – intervenant dans l'immunité). Enfin il a dénoncé « l'artifice » de changement de dénomination du Virus Respiratoire Syncitial (VRS) qui, découvert en 1956, s'appelait alors Chimpanzé Coryza Agent (CCA). Serait-ce pour éviter que l'on se pose la question de savoir comment on a pu « écoper » d'un virus de chimpanzé ? Avec pertinence, notre orateur ne se prive pas de rappeler que les premiers vaccins antipolio des années 60 étaient contaminés par le SV40, virus provenant des singes verts sur les reins desquels étaient faites les cultures du vaccin antipolio…''"<ref>http://www.infovaccin.fr/199912.html#colloque</ref>
 
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Dans ce colloque, il côtoie des personnalités déjà très marquées. Le compte-rendu cite : "Michel RANDOM, écrivain et philosophe, animait une partie des débats", [[Sylvie Simon]], [[Michel Georget]], [[Jean-Pierre Willem]], [[Françoise Joët]], le Dr. [[Jacqueline Bousquet|Jacqueline BOUSQUET]] (chercheur honoraire au C.N.R.S.), a restitué la maladie dans une vision plus globaliste de l'Homme en privilégiant le psychisme : " on devient ce que l'on pense ! ", et les bactéries et virus ne seraient que les témoins du terrain que nous fabriquons nous-mêmes". M Random et [[Jacqueline_Bousquet|Jacqueline_Bousquet]] apparaîssent sur le site officiel de la Scientologie <ref>http://scientologie-scientifique.fr/michel-random/ Lien mort</ref> et <ref>http://scientologie-scientifique.fr/jacqueline-bousquet/ Lien mort</ref><ref>Les deux liens précédents sont morts. Psiram a pu récupérer à l'aide du cache google de scientologie-scientifique l'article publié par Jacqueline Bousquet (biologiste)<br>“En effet, le problème qui se pose à l’homme dès qu’il réfléchit au sens de la vie est : D’où venons nous ? Qui sommes-nous ? Où allons nous ? Pouvons-nous, aujourd’hui, compte tenu de l’irruption de la physique quantique dans la biologie, de la reconnaissance des champs informationnels et surtout des extraordinaires travaux du mathématicien Emile Pinel, répondre “scientifiquement” à ces questions ? La réponse est oui. Il importe seulement d’avoir quelques connaissances en mathématique et en physique. Les biologistes doivent d’urgence revoir le programme de physique appris dans l’enseignement secondaire pour revenir à la physique classique qui nous situe dans un continuum d’espace-temps tramé dans les ondes électromagnétiques constituées de vibrations. David Böhm définit le cerveau comme “un hologramme qui analyse l’hologramme de l’Univers”. Nous savons aujourd’hui, grâce aux travaux du Biophysicien allemand D.A Popp, que les cellules communiquent par des photons corrélés et que le système de réparation de l’A.D.N. Se fait dans l’ultraviolet. Cependant, l’information étant par nature immatérielle (…), le photon n’est pas un bon candidat au support de la pensée.R. Sheldrake et tous les précurseurs depuis Gurwich en passant par E.Pinel l’ont abondamment démontré. Il faut donc trouver autre chose afin que le monde scientifique _ réductionniste par nature – accepte de changer de paradigme, donc de concepts. C’est ainsi que des chercheurs dont L.Kervran ont été amenés à envisager que ce rôle pourrait être tenu par une particule énigmatique, sans charge ni masse pour l’instant, le neutrino. L’hypothèse est séduisante puisque les photons sont toujours décrits comme accompagnés de neutrinos. L’analyse fine de la lumière, photon par photon, permet de mesurer d’un côté, l’énergie du photon, de l’autre, la présence d’une onde vide capable, par ailleurs, d’effets matériels.<br>Les expérimentateurs précisent que le cerveau est sensible à ces ondes d’espace. Il nous reste à aborder le problème de la manière dont ces informations viennent structure la matière et lui donner sa cohérence. Ces ondes vides ou d’espace sont capables d’utiliser la propriété essentielle du vivant à savoir la piézo-électricité… C’est ainsi que se constituent les limites des formes, autrement dit les membranes constituées de polarités + et – ; nous savons que la piézo-électricité est la première propriété du vivant à disparaître au moment de la mort. Puisque le cerveau est sensible à ces ondes, les neurones (cellules cérébrales) transforment la vibration en courant électrique par l’intermédiaire du centriole sorte de centrale énergétique – mémoire relais des médecins quantique – à l’origine de l’énergie cinétique de la cellule (E.Pinel). Dans cette approche, le cerveau est un transcodeur, il permet l’entrée de la pensée dans la matière, justifiant ainsi au passage, les théories de Hamer et la présence de “fusibles” capables de sauter ou de perturber l’énergie (support de l’information ) d’un psychisme perturbé par une information déstructurante. Compte tenu de tout ce qui précède, nous ne sommes pas ce que nous croyons. Nous devons cesser de nous identifier au corps matériel qui est seulement le résultat de la manifestation d’un champ complexe contenant tous nos concepts donc notre psychisme”.<br>La première manifestation matérielle est la particule. “Dans cette nouvelle sorte de physique, il n’y a pas de place à la fois pour le champ et la matière, car le champ est la seule réalité ». Albert Einstein.<br>Elle est toujours accompagnée d’une onde appelée onde psi qui renseigne sans arrêt la particule – et donc le champ qui lui est associé – de l’état énergétique – donc informationnel – de son environnement. Ceci est à l’origine des différentes lois de la physique (théorème de Bell, théorie du Boostrap de Chew, hologramme de l’univers) et surtout l’apparition d’une nouvelle vision du monde dans laquelle tout est inter-relié et où « on ne peut cueillir une fleur sans ébranler une étoile ou encore : le battement d’aile d’un papillon peut déclencher un cyclone !  » Cette analyse doit nous conduire à la démonstration que la mort n’existe pas. Elle consiste seulement à la disparition de notre corps physique et permet à l’entité de faire le point sur ses différents concepts, ses acquis et ses erreurs et de survivre dans un champ de lumière démontré par F.A Popp dans l’attente d’une nouvelle incarnation pour continuer son évolution. Nous devons absolument partir des travaux d’Emile Pinel parfaitement résumés par un excellent article du physicien Serge Nahon que vous pouvez consulter sur Internet.<br>Je me contenterai de citer les conclusions de Serge Nahon : « Ces champs sont, pour nous, aussi impalpables que le champ magnétique, pourtant ils agissent sur nous.<br>Mais le plus curieux est qu’à la mort de l’individu, les équations indiquent que deux de ces champs « meurent » mais pas le troisième. C’est pourquoi nous disons que les champs H1 et H2 « meurent ». Mais le champ H3 ne « meurt » pas, c’est sa variation en fonction du temps qui meurt. Autrement dit, à la mort de l’individu, le champ H3 ne varie plus, il doit donc rester constant. Or il se trouve que ce champ a une composante psychologique, constatée par Emile Pinel sur les malades qu’il a soignés.<br>Toute incarnation implique une mort inéluctable de la forme physique, mais implique également une survivance au niveau du champ de forme contenant les impondérables, donc le psychisme. Notre liberté réside dans la maîtrise de ce que nous acceptons de croire donc du contenu immatériel de notre psychisme ».</ref> [[Jacqueline Bousquet]] y est même à l'honneur, avec un onglet qui lui est personnellement dédié dans la colonne de droite de la page d'accueil. Etait présent également le Dr [[Marc_Vercoutère|Marc_Vercoutère]] : "Le Dr [[Marc_Vercoutère|VERCOUTÈRE]], interdit depuis dix ans d'exercice de la médecine par l'Ordre des Médecins, n'a fait que confirmer par ses exemples tout ce qui avait été dénoncé ci-dessus. S'appuyant sur le philosophe Glüksmann qui recommande la « désobéissance civile » dans certains cas, il aimerait que cette idée soit étendue au domaine médical."
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Dans ce colloque, il côtoie des personnalités déjà très marquées. Le compte-rendu cite : "Michel RANDOM, écrivain et philosophe, animait une partie des débats", [[Sylvie Simon]], [[Michel Georget]], [[Jean-Pierre Willem]], [[Françoise Joët]], le Dr. [[Jacqueline Bousquet|Jacqueline BOUSQUET]] (chercheur honoraire au C.N.R.S.), a restitué la maladie dans une vision plus globaliste de l'Homme en privilégiant le psychisme : " on devient ce que l'on pense ! ", et les bactéries et virus ne seraient que les témoins du terrain que nous fabriquons nous-mêmes". M Random et [[Jacqueline_Bousquet|Jacqueline_Bousquet]] apparaîssent sur le site officiel de la Scientologie <ref>http://scientologie-scientifique.fr/michel-random/ Lien mort</ref> et <ref>http://scientologie-scientifique.fr/jacqueline-bousquet/ Lien mort</ref>  
 
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[[Jacqueline Bousquet]] y est même à l'honneur, avec un onglet qui lui est personnellement dédié dans la colonne de droite de la page d'accueil<ref>Les deux liens précédents sont morts. Psiram a pu récupérer à l'aide du cache google de scientologie-scientifique l'article publié par Jacqueline Bousquet (biologiste)<br>“En effet, le problème qui se pose à l’homme dès qu’il réfléchit au sens de la vie est : D’où venons nous ? Qui sommes-nous ? Où allons nous ? Pouvons-nous, aujourd’hui, compte tenu de l’irruption de la physique quantique dans la biologie, de la reconnaissance des champs informationnels et surtout des extraordinaires travaux du mathématicien Emile Pinel, répondre “scientifiquement” à ces questions ? La réponse est oui. Il importe seulement d’avoir quelques connaissances en mathématique et en physique. Les biologistes doivent d’urgence revoir le programme de physique appris dans l’enseignement secondaire pour revenir à la physique classique qui nous situe dans un continuum d’espace-temps tramé dans les ondes électromagnétiques constituées de vibrations. David Böhm définit le cerveau comme “un hologramme qui analyse l’hologramme de l’Univers”. Nous savons aujourd’hui, grâce aux travaux du Biophysicien allemand D.A Popp, que les cellules communiquent par des photons corrélés et que le système de réparation de l’A.D.N. Se fait dans l’ultraviolet. Cependant, l’information étant par nature immatérielle (…), le photon n’est pas un bon candidat au support de la pensée.R. Sheldrake et tous les précurseurs depuis Gurwich en passant par E.Pinel l’ont abondamment démontré. Il faut donc trouver autre chose afin que le monde scientifique _ réductionniste par nature – accepte de changer de paradigme, donc de concepts. C’est ainsi que des chercheurs dont L.Kervran ont été amenés à envisager que ce rôle pourrait être tenu par une particule énigmatique, sans charge ni masse pour l’instant, le neutrino. L’hypothèse est séduisante puisque les photons sont toujours décrits comme accompagnés de neutrinos. L’analyse fine de la lumière, photon par photon, permet de mesurer d’un côté, l’énergie du photon, de l’autre, la présence d’une onde vide capable, par ailleurs, d’effets matériels.<br>Les expérimentateurs précisent que le cerveau est sensible à ces ondes d’espace. Il nous reste à aborder le problème de la manière dont ces informations viennent structure la matière et lui donner sa cohérence. Ces ondes vides ou d’espace sont capables d’utiliser la propriété essentielle du vivant à savoir la piézo-électricité… C’est ainsi que se constituent les limites des formes, autrement dit les membranes constituées de polarités + et – ; nous savons que la piézo-électricité est la première propriété du vivant à disparaître au moment de la mort. Puisque le cerveau est sensible à ces ondes, les neurones (cellules cérébrales) transforment la vibration en courant électrique par l’intermédiaire du centriole sorte de centrale énergétique – mémoire relais des médecins quantique – à l’origine de l’énergie cinétique de la cellule (E.Pinel). Dans cette approche, le cerveau est un transcodeur, il permet l’entrée de la pensée dans la matière, justifiant ainsi au passage, les théories de Hamer et la présence de “fusibles” capables de sauter ou de perturber l’énergie (support de l’information ) d’un psychisme perturbé par une information déstructurante. Compte tenu de tout ce qui précède, nous ne sommes pas ce que nous croyons. Nous devons cesser de nous identifier au corps matériel qui est seulement le résultat de la manifestation d’un champ complexe contenant tous nos concepts donc notre psychisme”.<br>La première manifestation matérielle est la particule. “Dans cette nouvelle sorte de physique, il n’y a pas de place à la fois pour le champ et la matière, car le champ est la seule réalité ». Albert Einstein.<br>Elle est toujours accompagnée d’une onde appelée onde psi qui renseigne sans arrêt la particule – et donc le champ qui lui est associé – de l’état énergétique – donc informationnel – de son environnement. Ceci est à l’origine des différentes lois de la physique (théorème de Bell, théorie du Boostrap de Chew, hologramme de l’univers) et surtout l’apparition d’une nouvelle vision du monde dans laquelle tout est inter-relié et où « on ne peut cueillir une fleur sans ébranler une étoile ou encore : le battement d’aile d’un papillon peut déclencher un cyclone !  » Cette analyse doit nous conduire à la démonstration que la mort n’existe pas. Elle consiste seulement à la disparition de notre corps physique et permet à l’entité de faire le point sur ses différents concepts, ses acquis et ses erreurs et de survivre dans un champ de lumière démontré par F.A Popp dans l’attente d’une nouvelle incarnation pour continuer son évolution. Nous devons absolument partir des travaux d’Emile Pinel parfaitement résumés par un excellent article du physicien Serge Nahon que vous pouvez consulter sur Internet.<br>Je me contenterai de citer les conclusions de Serge Nahon : « Ces champs sont, pour nous, aussi impalpables que le champ magnétique, pourtant ils agissent sur nous.<br>Mais le plus curieux est qu’à la mort de l’individu, les équations indiquent que deux de ces champs « meurent » mais pas le troisième. C’est pourquoi nous disons que les champs H1 et H2 « meurent ». Mais le champ H3 ne « meurt » pas, c’est sa variation en fonction du temps qui meurt. Autrement dit, à la mort de l’individu, le champ H3 ne varie plus, il doit donc rester constant. Or il se trouve que ce champ a une composante psychologique, constatée par Emile Pinel sur les malades qu’il a soignés.<br>Toute incarnation implique une mort inéluctable de la forme physique, mais implique également une survivance au niveau du champ de forme contenant les impondérables, donc le psychisme. Notre liberté réside dans la maîtrise de ce que nous acceptons de croire donc du contenu immatériel de notre psychisme ».</ref>. Etait présent également le Dr [[Marc_Vercoutère|Marc_Vercoutère]] : "Le Dr [[Marc_Vercoutère|VERCOUTÈRE]], interdit depuis dix ans d'exercice de la médecine par l'Ordre des Médecins, n'a fait que confirmer par ses exemples tout ce qui avait été dénoncé ci-dessus. S'appuyant sur le philosophe Glüksmann qui recommande la « désobéissance civile » dans certains cas, il aimerait que cette idée soit étendue au domaine médical."
 
Cette désobéissance civile implique-t-elle de faire des faux certificats de vaccination ? Le compte-rendu du colloque ne le précise pas.
 
Cette désobéissance civile implique-t-elle de faire des faux certificats de vaccination ? Le compte-rendu du colloque ne le précise pas.
  
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