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== Liens externes ==
 
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* http://www.charlatans.info/astrologie.shtml</ref><ref>http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1237 Signes ou étoiles, il faut choisir L’insurmontable dilemme des astrologues, par Jean-Paul Krivine - SPS hors série Astrologie, juillet 2009<br>Les astrologues appellent « signes » les douze divisions égales du grand cercle de la sphère céleste appelé l’écliptique, trajet apparent du Soleil en un an. Le premier de ces « signes », le Bélier, débute au point vernal, position du Soleil à l’équinoxe de printemps.<br>Ces divisions portent le nom des constellations qui les occupaient très approximativement il y a 2000 ans. Actuellement la précession des équinoxes a décalé d’un mois signes et constellations, ce qui enlève beaucoup de pertinence à la correspondance. De plus les constellations définies par les astronomes et recoupées par l’écliptique sont au nombre de 13, et les longueurs qu’elles occupent sur l’écliptique sont très inégales. Les astrologues sont dès lors placés devant un paradoxe insoluble. [...]  
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* http://www.charlatans.info/astrologie.shtml Astrologie : mode d'emploi ou les 10 questions qui embarrassent les astrologues
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* http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1237 Signes ou étoiles, il faut choisir L’insurmontable dilemme des astrologues, par Jean-Paul Krivine - SPS hors série Astrologie, juillet 2009<br>Les astrologues appellent « signes » les douze divisions égales du grand cercle de la sphère céleste appelé l’écliptique, trajet apparent du Soleil en un an. Le premier de ces « signes », le Bélier, débute au point vernal, position du Soleil à l’équinoxe de printemps.<br>Ces divisions portent le nom des constellations qui les occupaient très approximativement il y a 2000 ans. Actuellement la précession des équinoxes a décalé d’un mois signes et constellations, ce qui enlève beaucoup de pertinence à la correspondance. De plus les constellations définies par les astronomes et recoupées par l’écliptique sont au nombre de 13, et les longueurs qu’elles occupent sur l’écliptique sont très inégales. Les astrologues sont dès lors placés devant un paradoxe insoluble. [...]  
 
* http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1240 L’astrologie à l’épreuve : ça ne marche pas, ça n’a jamais marché !, par Jean-Paul Krivine - SPS Hors-série astrologie<br>L’astrologie suppose des influences astrales que la physique ne connaît pas. Le ciel des astrologues ne correspond en rien au ciel que les astronomes peuvent observer. Et pourquoi les astres exerceraient-ils leur influence à la naissance, mais pas à la conception, ou pendant la gestation ? Ces questions, pour la plupart, ont été soulevées depuis très longtemps. Toutefois, l’argument le plus fort, et d’une certaine manière définitif, réside dans le fait que « ça ne marche pas ». Après tout, si « ça marchait », si les prédictions des astrologues étaient meilleures que celles produites par le simple hasard, ou par le bon sens, si les caractères des personnes et leur destinée étaient réellement déterminés par la configuration du ciel de naissance, alors, il faudrait bien s’interroger sur le ciel des astronomes, rechercher les forces par lesquelles ces influences astrales s’expriment, en un mot, partir de la réalité observée, aussi surprenante soit-elle. Seulement voilà, ce n’est pas le cas, « ça ne marche pas, et ça n’a jamais marché ». [...]
 
* http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1240 L’astrologie à l’épreuve : ça ne marche pas, ça n’a jamais marché !, par Jean-Paul Krivine - SPS Hors-série astrologie<br>L’astrologie suppose des influences astrales que la physique ne connaît pas. Le ciel des astrologues ne correspond en rien au ciel que les astronomes peuvent observer. Et pourquoi les astres exerceraient-ils leur influence à la naissance, mais pas à la conception, ou pendant la gestation ? Ces questions, pour la plupart, ont été soulevées depuis très longtemps. Toutefois, l’argument le plus fort, et d’une certaine manière définitif, réside dans le fait que « ça ne marche pas ». Après tout, si « ça marchait », si les prédictions des astrologues étaient meilleures que celles produites par le simple hasard, ou par le bon sens, si les caractères des personnes et leur destinée étaient réellement déterminés par la configuration du ciel de naissance, alors, il faudrait bien s’interroger sur le ciel des astronomes, rechercher les forces par lesquelles ces influences astrales s’expriment, en un mot, partir de la réalité observée, aussi surprenante soit-elle. Seulement voilà, ce n’est pas le cas, « ça ne marche pas, et ça n’a jamais marché ». [...]
  
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