Modifications

Ligne 100 : Ligne 100 :     
==2005: Corinne Thos (Rouen, France)==
 
==2005: Corinne Thos (Rouen, France)==
 +
[[image:Thos.jpg|Corinne Thos|left|thumb]]
 +
[[image:Thos2.jpg|C. Thos|thumb]]
 
Le 23 novembre 2005 meurt à l‘âge de 41 ans la danseuse et institutrice de danse, Corinne Thos de Rouen, mère de deux enfants. Madame Thos eut une tumeur au sein en 2003. C’est dans son école de danse qu’elle entre en contact avec un thérapeute (qu’elle appelle „psychothérapeute“) et en lequel elle avait confiance. Corinne accepte le conseil du thérapeute de refuser une thérapie. Envers sa famille elle ment: elle n’aurait plus rien, et serait guérie. En même temps elle s’éloigne de la famille, parce que le thérapeute lui conseille de s’isoler, pour avoir plus de liberté de prendre ses propres décisions. Mais après deux ans, elle se confie à la famille. Elle avoue avoir toujours la tumeur au sein, et la tumeur c’est étendue jusqu’à l’os. Une thérapeute, lié avec la NGM (et déjà condamnée auparavant) informe Corinne que sa situation serait „normale“ et que les „trous“ se „refermeraient“ dans le futur. Corinne essaye aussi de convaincre la famille de la doctrine de Hamer. Sa situation s’aggrave de plus en plus et elle ne pouvait plus marcher. Le 23 novembre 2005 elle meurt chez elle à la maison.
 
Le 23 novembre 2005 meurt à l‘âge de 41 ans la danseuse et institutrice de danse, Corinne Thos de Rouen, mère de deux enfants. Madame Thos eut une tumeur au sein en 2003. C’est dans son école de danse qu’elle entre en contact avec un thérapeute (qu’elle appelle „psychothérapeute“) et en lequel elle avait confiance. Corinne accepte le conseil du thérapeute de refuser une thérapie. Envers sa famille elle ment: elle n’aurait plus rien, et serait guérie. En même temps elle s’éloigne de la famille, parce que le thérapeute lui conseille de s’isoler, pour avoir plus de liberté de prendre ses propres décisions. Mais après deux ans, elle se confie à la famille. Elle avoue avoir toujours la tumeur au sein, et la tumeur c’est étendue jusqu’à l’os. Une thérapeute, lié avec la NGM (et déjà condamnée auparavant) informe Corinne que sa situation serait „normale“ et que les „trous“ se „refermeraient“ dans le futur. Corinne essaye aussi de convaincre la famille de la doctrine de Hamer. Sa situation s’aggrave de plus en plus et elle ne pouvait plus marcher. Le 23 novembre 2005 elle meurt chez elle à la maison.
  
413

modifications