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La '''Théorie de l'excès d'opioïdes''' est une théorie qui postule que l'autisme est le résultat d'un trouble métabolique dans lequel les peptides opioïdes produits par le métabolisme du gluten et de la caséine passent au travers d'une muqueuse intestinale anormalement perméable, voir à [[Syndrome de l'intestin perméable]], et continuent ensuite à exercer un effet sur ​​la neurotransmission par la liaison avec les récepteurs opioïdes.<ref>[http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/14651858.CD003498.pub3/abstract?systemMessage=Wiley+Online+Library+will+be+disrupted+on+24th+October+2015+at+10%3A00-10%3A30+BST+%2F+05%3A00-05%3A30+EDT+%2F+17%3A00-17%3A30++SGT++for+essential+maintenance.++Apologies+for+the+inconvenience]  
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La '''Théorie de l'excès d'opioïdes''', en anglais '''Opioid excess theory''', est une théorie qui postule que l'autisme est le résultat d'un trouble métabolique dans lequel les peptides opioïdes produits par le métabolisme du gluten et de la caséine passent au travers d'une [[Syndrome de l'intestin perméable|muqueuse intestinale anormalement perméable]] (voir à [[Syndrome de l'intestin perméable]]), et continuent ensuite à exercer un effet sur ​​la neurotransmission par la liaison avec les récepteurs opioïdes.<ref>[http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/14651858.CD003498.pub3/abstract?systemMessage=Wiley+Online+Library+will+be+disrupted+on+24th+October+2015+at+10%3A00-10%3A30+BST+%2F+05%3A00-05%3A30+EDT+%2F+17%3A00-17%3A30++SGT++for+essential+maintenance.++Apologies+for+the+inconvenience]  
 
"Gluten- and casein-free diets for autistic spectrum disorder". Claire Millward, Michael Ferriter, Sarah J Calver, Graham G Connell-Jones. Cochrane Library. Published Online: 23 APR 2008</ref> Les partisans de cette hypothèse croient que les enfants autistes sont particulièrement sensibles au gluten, ce qui entraîne une petite inflammation de l'intestin chez ces enfants, ce qui, à son tour, permet à ces peptides opioïdes d'entrer dans le cerveau.<ref>[http://www.nhs.uk/news/2007/January08/Pages/Specialdietsandautism.aspx Special diets and autism 19 mars 2008]</ref>
 
"Gluten- and casein-free diets for autistic spectrum disorder". Claire Millward, Michael Ferriter, Sarah J Calver, Graham G Connell-Jones. Cochrane Library. Published Online: 23 APR 2008</ref> Les partisans de cette hypothèse croient que les enfants autistes sont particulièrement sensibles au gluten, ce qui entraîne une petite inflammation de l'intestin chez ces enfants, ce qui, à son tour, permet à ces peptides opioïdes d'entrer dans le cerveau.<ref>[http://www.nhs.uk/news/2007/January08/Pages/Specialdietsandautism.aspx Special diets and autism 19 mars 2008]</ref>
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== Illustration de la théorie ==
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[[image:Théorie_de_l'excès_d'opioïdes.JPG|Pourquoi certaines personnes absorbent-elles ces peptides ?<br> Gut = intestin<br>Blood = sang<br>Brain = cerveau<br>Gut permeability = perméabilité de l'intestin<br>Blood-brain barrier permeability =  perméabilité de la barrière sang-cerveau<br>Source du shéma<ref>http://www.autisme-france.fr/offres/file_inline_src/577/577_P_21064_77.pdf Intervention de [[Paul Shattock]] intitulée "Situation actuelle dans les connaissances médicales" le 23 mars 2002 à Paris</ref>|400px|thumb]]
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Le shéma ci-contre figure dans l'intervention intitulée "Situation actuelle dans les connaissances médicales", que [[Paul Shattock]] a faite le 23 mars 2002 à une rencontre sur le thème "Approches Biologiques de l'Autisme" organisée à Paris par l'association autisme-france<ref>http://www.autisme-france.fr/offres/file_inline_src/577/577_P_21064_77.pdf Intervention de [[Paul Shattock]] intitulée "Situation actuelle dans les connaissances médicales" du 23 mars 2002 à Paris</ref>. Elle est accompagnée des commentaires suivants:
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Pourquoi certaines personnes absorbent-elles ces peptides ?<br>Figure 1: Shéma illustrant le mécanisme proposé. Les "étoiles" représentent les peptides.
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Dans la Figure 1a (situation normale): Il y a une faible quantité de peptides dans l'intestin (gut) et une très petite quantité d'entre eux passe à travers la paroi intestinale et la barrière hémato-encéphalique vers le SNC (Système Neurologique Central). Les quantités sont faibles et sans effet.
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Figure 1b: montre la situation si les enzymes responsables de la dégradation des peptides dans l'intestion fonctionne mal. Si la quantité de peptides augmente à ce niveau, par effet de masse, une quantité supérieure atteindra le SNC et aussi les urines.
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Que les quantités de peptides soient importantes ou pas au niveau intestinal, toute [[Syndrome de l'intestin perméable|augmentation de la perméabilité]] conduira à un passage accru de peptides à partir des intestins.
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Figure 1c. L'[[Syndrome de l'intestin perméable|augmentation de la perméabilité]] pourrait très certainement résulter de déficiences nettes dans les processus de sulfatation. Celles ci ont été bien documentées chez les personnes avec autisme. Cela pourrait aussi résulter de métabolites anormaux du tryptophane (comme l'Indolyl Acrolyl Glycine (IAG) ou ses métabolites que nous avons trouvés).<br>De façon plus controversée, il est suggéré que l'infection par la rougeole résultant du vaccin combiné MMR [appellation anglaise du ROR] pourrait déclencher l'autisme en provoquant une augmentation de la [[Syndrome de l'intestin perméable|perméabilité intestinale]] chez ce sous groupe d'enfants qui développent des symptômes autistiques dans un court délai après la vaccination MMR. L'identification d'une hyperplasie nodulaire contenant des anticorps contre le virus de la rougeole dans ce sous groupe d'enfants [là est cité en référence l'étude d'[[Andrew Wakefield]] de 1998 qui sera ultérieurement rétractée] serait en faveur des allégations parentales. Dans une étude en aveugle, [[Andrew Wakefield|Wakefield]] et O'Leary ont rapporté la présence de RNA du virus rougeoleux dans les intestins des enfants de ce sous groupe mais la publication complète de l'étude revue par des experts est encore attendue.
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Une augmentation de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique [sang-cerveau] peut résulter d'une méningite ou d'un autre type d'infection ou de dommage physique (Fig. 1d).
    
== Les premières années ==
 
== Les premières années ==
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Reichelt a publié un certain nombre de papiers qui concluent que les enfants autistes excrètent des taux plus élevés de peptides dans leur urines<ref>http://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/0031383950390304 "Autistic Syndromes and Diet: a follow‐up study". Auteurs: Ann‐Mari Knivsberg, [[Karl Reichelt|Karl Ludvig Reichelt]], Magne N⊘dland & Torleiv H⊘ien. Publié en 1995 dans le Scandinavian Journal of Educational Research</ref>, et aussi que de tels peptides pourraient être la cause de l'aversion pour le regard autistique [évitement]; plus précisement, en interférant avec le traitement cortical cortico-thalamique<ref>https://fr.wikipedia.org/wiki/Thalamus</ref> des stimuli visuels.<ref>http://www.karger.com/Article/Abstract/119167 Clinical Case Report: Opiate Antagonist and Event-Related Desynchronization in 2 Autistic Boys. Lensing P.· Schimke H.· Klimesch W.· Pap V.· Szemes G.· Klingler D.· Panksepp J. Neuropsychobiology. 1995</ref> À la suite de cette théorie, d'autres, en particulier Panksepp, ont émis l'hypothèse que les antagonistes opiacés tels que la naloxone et la naltrexone peuvent être utiles dans le traitement de l'autisme.<ref>http://link.springer.com/article/10.1007%2FBF01495056 "Brain opioids and autism: An updated analysis of possible linkages". Tony L. Sahley
 
Reichelt a publié un certain nombre de papiers qui concluent que les enfants autistes excrètent des taux plus élevés de peptides dans leur urines<ref>http://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/0031383950390304 "Autistic Syndromes and Diet: a follow‐up study". Auteurs: Ann‐Mari Knivsberg, [[Karl Reichelt|Karl Ludvig Reichelt]], Magne N⊘dland & Torleiv H⊘ien. Publié en 1995 dans le Scandinavian Journal of Educational Research</ref>, et aussi que de tels peptides pourraient être la cause de l'aversion pour le regard autistique [évitement]; plus précisement, en interférant avec le traitement cortical cortico-thalamique<ref>https://fr.wikipedia.org/wiki/Thalamus</ref> des stimuli visuels.<ref>http://www.karger.com/Article/Abstract/119167 Clinical Case Report: Opiate Antagonist and Event-Related Desynchronization in 2 Autistic Boys. Lensing P.· Schimke H.· Klimesch W.· Pap V.· Szemes G.· Klingler D.· Panksepp J. Neuropsychobiology. 1995</ref> À la suite de cette théorie, d'autres, en particulier Panksepp, ont émis l'hypothèse que les antagonistes opiacés tels que la naloxone et la naltrexone peuvent être utiles dans le traitement de l'autisme.<ref>http://link.springer.com/article/10.1007%2FBF01495056 "Brain opioids and autism: An updated analysis of possible linkages". Tony L. Sahley
 
, Jaak Panksepp. Journal of Autism and Developmental Disorders June 1987</ref><ref>http://www.psy-journal.com/article/0165-1781(95)02601-R/abstract "Low-dose naltrexone effects on plasma chemistries and clinical symptoms in autism: a double-blind, placebo-controlled study". Manuel P. Bouvard, Marion Leboyer,  Jean-Marie Launay, Christophe Recasens, Marie-Hélène Plumet, Delphine Waller-Perotte, François Tabuteau, Dominique Bondoux, Michel Dugas, Patrick Lensing, Jaak Panksepp. Psychiatry Research. Accepté le 2 mai 1995, publié le 16 octobre 1995</ref> En outre, Christopher Gillberg de la Gothenburg University a publié quelques études montrant que les animaux traités avec des opiacés présentent se montrent moins pots de colle, en ligne avec le comportement des enfants autistes, qui, sa recherche l'a également montré, "ne semblent pas inquiets quand leurs parents ne sont pas à proximité" et "se montrent moins pleureurs que les petits enfants sans autisme" <ref>http://www.macalester.edu/psychology/whathap/UBNRP/autismopioid/Opioids%20and%20Autism.htm "Social Dysfunction in Autism and Connection with Endogenous Opioids (What is an Opioid?)"</ref>, et a également lié à un excès d'opioïdes endogènes à un comportement stéréotypé (c.-à-d. répétitif).<ref>[http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1469-8749.1995.tb11998.x/abstract?systemMessage=Wiley+Online+Library+will+be+disrupted+on+24th+October+2015+at+10%3A00-10%3A30+BST+%2F+05%3A00-05%3A30+EDT+%2F+17%3A00-17%3A30++SGT++for+essential+maintenance.++Apologies+for+the+inconvenience] "Endogenous opioids and opiate antagonists in autism: Brief review of empirical findings and implications for clinicians". Christopher Gillberg. Developmental Medicine & Child Neurology, mars 1995.<br>RÉSUMÉ<br>
 
, Jaak Panksepp. Journal of Autism and Developmental Disorders June 1987</ref><ref>http://www.psy-journal.com/article/0165-1781(95)02601-R/abstract "Low-dose naltrexone effects on plasma chemistries and clinical symptoms in autism: a double-blind, placebo-controlled study". Manuel P. Bouvard, Marion Leboyer,  Jean-Marie Launay, Christophe Recasens, Marie-Hélène Plumet, Delphine Waller-Perotte, François Tabuteau, Dominique Bondoux, Michel Dugas, Patrick Lensing, Jaak Panksepp. Psychiatry Research. Accepté le 2 mai 1995, publié le 16 octobre 1995</ref> En outre, Christopher Gillberg de la Gothenburg University a publié quelques études montrant que les animaux traités avec des opiacés présentent se montrent moins pots de colle, en ligne avec le comportement des enfants autistes, qui, sa recherche l'a également montré, "ne semblent pas inquiets quand leurs parents ne sont pas à proximité" et "se montrent moins pleureurs que les petits enfants sans autisme" <ref>http://www.macalester.edu/psychology/whathap/UBNRP/autismopioid/Opioids%20and%20Autism.htm "Social Dysfunction in Autism and Connection with Endogenous Opioids (What is an Opioid?)"</ref>, et a également lié à un excès d'opioïdes endogènes à un comportement stéréotypé (c.-à-d. répétitif).<ref>[http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1469-8749.1995.tb11998.x/abstract?systemMessage=Wiley+Online+Library+will+be+disrupted+on+24th+October+2015+at+10%3A00-10%3A30+BST+%2F+05%3A00-05%3A30+EDT+%2F+17%3A00-17%3A30++SGT++for+essential+maintenance.++Apologies+for+the+inconvenience] "Endogenous opioids and opiate antagonists in autism: Brief review of empirical findings and implications for clinicians". Christopher Gillberg. Developmental Medicine & Child Neurology, mars 1995.<br>RÉSUMÉ<br>
Endorphines et antagonistes des opiacés dans l'autisme: une brève revue des données empiriques el des implications pour les enfants<br>Une brève revue est faite, des hypothèses sur un dysfonctionnement des endorphines dans le développement de l'autisme, ainsi que des études cliniques sur l'action des antagonistes d'opiaces dans l'autisme et les comportement d'auto-agression. II n'y a pas encore d'évidences suffisantes pour conseiller l'utilisation des antagonistes d'opiacés dans le traitement de l'autisme. Des recherches ultérieures, notamment sur l'action de la naltrexone dans l'auto-agression grave, sont indispensables</ref> Cependant, plus récemment, deux études ont été publiées qui n'ont pas permis de trouver de différence dans les taux de peptides dans l'urine d'enfants autistes, par opposition à ceux d'enfants non autistes.<ref>[http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1469-8749.2003.tb00915.x/abstract?systemMessage=Wiley+Online+Library+will+be+disrupted+on+24th+October+2015+at+10%3A00-10%3A30+BST+%2F+05%3A00-05%3A30+EDT+%2F+17%3A00-17%3A30++SGT++for+essential+maintenance.++Apologies+for+the+inconvenience "Opioid peptides and dipeptidyl peptidase in autism". C L Hunter, A O'Hare, W J Herron, L A Fisher, et J E Jones. February 2003. Developmental Medicine & Child Neurology. Article first published online: 13 FEB 2007]</ref><ref>http://adc.bmj.com/content/93/9/745 "Absence of urinary opioid peptides in children with autism". H Cass, P Gringras, J March, I McKendrick, A E O’Hare, L Owen, C Pollin. Publié le 12 mars 2008 dans Archive Disease in Childhood<br>Conclusions: Étant donné le manque de preuves d'une quelconque peptidurie opiacée chez les enfants autiste, les peptides opioïdes ne peuvent ni servir de marqueur biomédical pour l'autisme, ni non plus être employés pour prévoir ou contrôler une réponse à un [[régime sans gluten et sans caséine]].]</ref> Une revue de 2009 a révélé qu'il n'existe pas de preuves que les niveaux de peptides urinaires soient corrélés avec la [[Syndrome de l'intestin perméable]].<ref>http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1750946709001111 "Gluten-free and casein-free diets in the treatment of autism spectrum disorders: A systematic review". Austin Mulloy, Russell Lang, Mark O’Reilly, Jeff Sigafoos, Giulio Lancioni, Mandy Rispoli. Research in Autism Spectrum Disorders, July–September 2010</ref>
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Endorphines et antagonistes des opiacés dans l'autisme: une brève revue des données empiriques el des implications pour les enfants<br>Une brève revue est faite, des hypothèses sur un dysfonctionnement des endorphines dans le développement de l'autisme, ainsi que des études cliniques sur l'action des antagonistes d'opiaces dans l'autisme et les comportement d'auto-agression. II n'y a pas encore d'évidences suffisantes pour conseiller l'utilisation des antagonistes d'opiacés dans le traitement de l'autisme. Des recherches ultérieures, notamment sur l'action de la naltrexone dans l'auto-agression grave, sont indispensables</ref> Cependant, plus récemment, deux études ont été publiées qui n'ont pas permis de trouver de différence dans les taux de peptides dans l'urine d'enfants autistes, par opposition à ceux d'enfants non autistes.<ref>[http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1469-8749.2003.tb00915.x/abstract?systemMessage=Wiley+Online+Library+will+be+disrupted+on+24th+October+2015+at+10%3A00-10%3A30+BST+%2F+05%3A00-05%3A30+EDT+%2F+17%3A00-17%3A30++SGT++for+essential+maintenance.++Apologies+for+the+inconvenience "Opioid peptides and dipeptidyl peptidase in autism". C L Hunter, A O'Hare, W J Herron, L A Fisher, et J E Jones. February 2003. Developmental Medicine & Child Neurology. Article first published online: 13 FEB 2007]</ref><ref>http://adc.bmj.com/content/93/9/745 "Absence of urinary opioid peptides in children with autism". H Cass, P Gringras, J March, I McKendrick, A E O’Hare, L Owen, C Pollin. Publié le 12 mars 2008 dans Archive Disease in Childhood<br>Conclusions: Étant donné le manque de preuves d'une quelconque peptidurie opiacée chez les enfants autistes, les peptides opioïdes ne peuvent ni servir de marqueur biomédical pour l'autisme, ni non plus être employés pour prévoir ou contrôler une réponse à un [[régime sans gluten et sans caséine]].</ref> Une revue de 2009 a révélé qu'il n'existe pas de preuves que les taux de peptides urinaires soient corrélés avec le [[Syndrome de l'intestin perméable]].<ref>http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1750946709001111 "[[Régime sans gluten et sans caséine|Gluten-free and casein-free diets]] in the treatment of autism spectrum disorders: A systematic review". Austin Mulloy, Russell Lang, Mark O’Reilly, Jeff Sigafoos, Giulio Lancioni, Mandy Rispoli. Research in Autism Spectrum Disorders, July–September 2010</ref>
    
== Les implications possibles pour le traitement ==
 
== Les implications possibles pour le traitement ==
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