| Ses ennuis avec la justice débutent en 1997<ref>http://www.onpeutlefaire.com/forum/topic/3598-le-dr-tal-schaller-poursuivi/</ref> : ''"En octobre 1997, les gendarmes étaient venus à Taulignan, où il résidait, avec deux mandats : l’un venait du parquet de Valence et l’accusait de non-inscription au registre du commerce et de travail illégal. Au tribunal, le procureur avait seulement demandé une amende. Les juges l’avaient pourtant condamné non seulement à une amende de 100 000 F mais aussi à une “interdiction d’activité d’organisation de stages et de conférences sur la santé et l’épanouissement de la personne pendant cinq ans” "'', l’autre mandat, émanait de Grenoble, et l’accusait d’être complice de l’Ordre du Temple solaire, accusation qui fut abandonnée et n'était semble-t-il pas fondée. ''"A la suite de l’émission de TF1 “Le droit de savoir”, du 19 novembre 2002, le procureur de la cour d’appel de Grenoble a écrit au commandant de la gendarmerie de la Drôme pour enquêter et voir si, comme le commentateur de l’émission le disait : “Tal Schaller a été condamné à une interdiction d’organiser des stages mais il le fait quand même.” "'' D'autres détails dans la Tribune de Genève de juillet 2004<ref>http://archives.tdg.ch/TG/TG/-/article-2004-07-38/les-theses-du-medecin-genevois-christian--tal--schaller-embarrassent-toujours-autant-les</ref>, on y apprend aussi que son avocat était Jean Pierre Joseph. | | Ses ennuis avec la justice débutent en 1997<ref>http://www.onpeutlefaire.com/forum/topic/3598-le-dr-tal-schaller-poursuivi/</ref> : ''"En octobre 1997, les gendarmes étaient venus à Taulignan, où il résidait, avec deux mandats : l’un venait du parquet de Valence et l’accusait de non-inscription au registre du commerce et de travail illégal. Au tribunal, le procureur avait seulement demandé une amende. Les juges l’avaient pourtant condamné non seulement à une amende de 100 000 F mais aussi à une “interdiction d’activité d’organisation de stages et de conférences sur la santé et l’épanouissement de la personne pendant cinq ans” "'', l’autre mandat, émanait de Grenoble, et l’accusait d’être complice de l’Ordre du Temple solaire, accusation qui fut abandonnée et n'était semble-t-il pas fondée. ''"A la suite de l’émission de TF1 “Le droit de savoir”, du 19 novembre 2002, le procureur de la cour d’appel de Grenoble a écrit au commandant de la gendarmerie de la Drôme pour enquêter et voir si, comme le commentateur de l’émission le disait : “Tal Schaller a été condamné à une interdiction d’organiser des stages mais il le fait quand même.” "'' D'autres détails dans la Tribune de Genève de juillet 2004<ref>http://archives.tdg.ch/TG/TG/-/article-2004-07-38/les-theses-du-medecin-genevois-christian--tal--schaller-embarrassent-toujours-autant-les</ref>, on y apprend aussi que son avocat était Jean Pierre Joseph. |
| Tal Schaller est co-auteur, avec sa femme Johanne Razanamahay<ref>http://www.youtube.com/watch?v=N3a7_8sCq9M&feature=related</ref> chamane originaire de Madagascar, du livre "Urinothérapie: Amaroli, la découverte d'une écologie intérieure<ref>http://books.google.fr/books?id=Y4PVjwarVIAC&pg=PA133&lpg=PA133&dq=urinoth%C3%A9rapie+%22christian+tal+schaller%22&source=bl&ots=2Z4YIN6KXf&sig=5xvLWgJAJWBKTHTA_7jEkcfac_0&hl=fr&ei=HW6UTbqeHovB8QPRqa0X&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=7&ved=0CFcQ6AEwBg#v=onepage&q&f=false</ref>, on y apprend que l'urine (amaroli étant son nom indien) se boit à titre préventif et curatif. A titre curatif on boit l' "amaroli" pour le jeûne à l'urine pendant un à trois jours en cas de maladie aigüe, et pour le jeûne de trois à trente jours à l'eau et à l'urine seulement pour lutter contre les maladies chroniques graves (cancer, tuberculose, asthme, arthrites, maladies cardio-vasculaires et rénales, diabète, paralysies, maladie d'Alsheimer, affections psychiatriques, psoriadis, eczéma, herpès et autres maladies de la peau), mais l' "amaroli" a d'autres vertus et peut aussi être utilisé en bains d'yeux, instillation nasale, lavement intestinal, gouttes pour les oreilles, douches vaginales, gargarismes, injections sous-cutanées ou intramusculaires, compresses, massages, shampoings, savons et produits cosmétiques. L' "amaroli" sert aussi pour les enfants, et permet d'éviter d'avoir une armoire à pharmacie remplie de médicaments chimiques dangereux; chez les tous petits, comme il n'est pas toujours facile de recueillir l'urine, on utilisera l'urine des parents comme médicament que l'on mettra dans le biberon ou les aliments. | | Tal Schaller est co-auteur, avec sa femme Johanne Razanamahay<ref>http://www.youtube.com/watch?v=N3a7_8sCq9M&feature=related</ref> chamane originaire de Madagascar, du livre "Urinothérapie: Amaroli, la découverte d'une écologie intérieure<ref>http://books.google.fr/books?id=Y4PVjwarVIAC&pg=PA133&lpg=PA133&dq=urinoth%C3%A9rapie+%22christian+tal+schaller%22&source=bl&ots=2Z4YIN6KXf&sig=5xvLWgJAJWBKTHTA_7jEkcfac_0&hl=fr&ei=HW6UTbqeHovB8QPRqa0X&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=7&ved=0CFcQ6AEwBg#v=onepage&q&f=false</ref>, on y apprend que l'urine (amaroli étant son nom indien) se boit à titre préventif et curatif. A titre curatif on boit l' "amaroli" pour le jeûne à l'urine pendant un à trois jours en cas de maladie aigüe, et pour le jeûne de trois à trente jours à l'eau et à l'urine seulement pour lutter contre les maladies chroniques graves (cancer, tuberculose, asthme, arthrites, maladies cardio-vasculaires et rénales, diabète, paralysies, maladie d'Alsheimer, affections psychiatriques, psoriadis, eczéma, herpès et autres maladies de la peau), mais l' "amaroli" a d'autres vertus et peut aussi être utilisé en bains d'yeux, instillation nasale, lavement intestinal, gouttes pour les oreilles, douches vaginales, gargarismes, injections sous-cutanées ou intramusculaires, compresses, massages, shampoings, savons et produits cosmétiques. L' "amaroli" sert aussi pour les enfants, et permet d'éviter d'avoir une armoire à pharmacie remplie de médicaments chimiques dangereux; chez les tous petits, comme il n'est pas toujours facile de recueillir l'urine, on utilisera l'urine des parents comme médicament que l'on mettra dans le biberon ou les aliments. |