Modifications

52 octets ajoutés ,  24 janvier 2015 à 19:29
aucun résumé des modifications
Ligne 32 : Ligne 32 :  
* Sur Internet le nom de Christian Cotten est souvent associé à celui de [[Joël Labruyère]], adepte de L'ésotérisme et fondateur de L'[[Omnium des Libertés]]. Les deux hommes signent souvent des communiqués communs. Parfois associés à un troisième personnage, médecin sexologue, [[Erick Dietrich]]<ref>http://www.prevensectes.com/dietrich2.htm</ref> <ref>http://www.antisectes.net/dietrich.htm</ref> <ref>http://www.politiquedevie.net/Chasseauxsectes/Vivien.html</ref>,dont le centre stratégique est aujourd'hui ici<ref>http://www.centre-mosaique.com/centres_france.htm Voir d'abord à Pyrénées Orientales, puis Ile de France où [[Erick Dietrich]] conserve quelques activités professionnelles</ref> <ref>http://www.centre-mosaique.com/publications_livres.htm</ref>. Toujours via Internet et une association, Flip, censée lutter contre la pédophilie, [[Erick Dietrich|Dietrich]] était lié à l'animateur d'un site soupçonné aujourd'hui par la justice de véhiculer les thèses des fondamentalistes islamistes et de prôner la guerre sainte. En septembre dernier, le responsable présumé de « st-com.net » <ref>http://news.stcom.net/modules.php?name=News&file=article&sid=4685</ref>, Smaïn Bedrouni<ref>http://www.prevensectes.com/FEA.pdf</ref>, a été mis en examen pour « apologie de crime d'atteinte volontaire à la vie ».
 
* Sur Internet le nom de Christian Cotten est souvent associé à celui de [[Joël Labruyère]], adepte de L'ésotérisme et fondateur de L'[[Omnium des Libertés]]. Les deux hommes signent souvent des communiqués communs. Parfois associés à un troisième personnage, médecin sexologue, [[Erick Dietrich]]<ref>http://www.prevensectes.com/dietrich2.htm</ref> <ref>http://www.antisectes.net/dietrich.htm</ref> <ref>http://www.politiquedevie.net/Chasseauxsectes/Vivien.html</ref>,dont le centre stratégique est aujourd'hui ici<ref>http://www.centre-mosaique.com/centres_france.htm Voir d'abord à Pyrénées Orientales, puis Ile de France où [[Erick Dietrich]] conserve quelques activités professionnelles</ref> <ref>http://www.centre-mosaique.com/publications_livres.htm</ref>. Toujours via Internet et une association, Flip, censée lutter contre la pédophilie, [[Erick Dietrich|Dietrich]] était lié à l'animateur d'un site soupçonné aujourd'hui par la justice de véhiculer les thèses des fondamentalistes islamistes et de prôner la guerre sainte. En septembre dernier, le responsable présumé de « st-com.net » <ref>http://news.stcom.net/modules.php?name=News&file=article&sid=4685</ref>, Smaïn Bedrouni<ref>http://www.prevensectes.com/FEA.pdf</ref>, a été mis en examen pour « apologie de crime d'atteinte volontaire à la vie ».
 
* En 2009 Cotten dénonce avec [[Marc Vercoutère]], (tout comme [[Sylvie Simon]] et [[Jean-Jacques Crèvecœur]]), les autorités gouvernementales et l'OMS de collusion avec les lobby pharmaceutiques, d'où le 'danger' des campagnes de vaccination contre le virus H1N1<ref>http://stanislaskazal.canalblog.com/archives/2010/01/24/16643417.html</ref> <ref>http://artdevivresain.over-blog.com/article-ne-les-fuyez-pas-mais-poursuivez-les-portez-plainte-contre-les-empoisonneurs--38316975.html</ref> <ref>http://dangervaccins.open-web.fr/vaccins_joseph.pdf</ref>. En septembre 2009, Cotten apostrophe Roselyne Bachelot<ref>http://www.dailymotion.com/video/xanm0b_roselyne-bachelottu-mens-christian_news</ref> alors ministre de la santé (le nom de [[Marc Vercoutère]] est associé à cette vidéo). Tous deux assignent Me Bachelot, alors ministre de la santé, à comparaître en référé le 4 janvier 2010 au TGI de Paris<ref>http://sarkokoko.over-blog.com/article-a-h1n1-roselyne-bachelot-christian-cotten-jean-pierre-joseph-dieudonne-41597784.html</ref>.
 
* En 2009 Cotten dénonce avec [[Marc Vercoutère]], (tout comme [[Sylvie Simon]] et [[Jean-Jacques Crèvecœur]]), les autorités gouvernementales et l'OMS de collusion avec les lobby pharmaceutiques, d'où le 'danger' des campagnes de vaccination contre le virus H1N1<ref>http://stanislaskazal.canalblog.com/archives/2010/01/24/16643417.html</ref> <ref>http://artdevivresain.over-blog.com/article-ne-les-fuyez-pas-mais-poursuivez-les-portez-plainte-contre-les-empoisonneurs--38316975.html</ref> <ref>http://dangervaccins.open-web.fr/vaccins_joseph.pdf</ref>. En septembre 2009, Cotten apostrophe Roselyne Bachelot<ref>http://www.dailymotion.com/video/xanm0b_roselyne-bachelottu-mens-christian_news</ref> alors ministre de la santé (le nom de [[Marc Vercoutère]] est associé à cette vidéo). Tous deux assignent Me Bachelot, alors ministre de la santé, à comparaître en référé le 4 janvier 2010 au TGI de Paris<ref>http://sarkokoko.over-blog.com/article-a-h1n1-roselyne-bachelot-christian-cotten-jean-pierre-joseph-dieudonne-41597784.html</ref>.
* Depuis au moins 2009 Cotten commercialise des Oscillateurs Magnétiques de Compensation (COM) de ComoSystems<ref>http://www.cmo-comosystems.com/page.php?page=42 Le détail de toute la gamme comosystems</ref>, voir en détail sur le site de Cotten<ref>http://www.silicium-organique.net/?gclid=CLfrr8rz7qYCFYMRfAodV3ObFA</ref>. Le n° spécial de mai 2009 de Sciences et Avenir "les ondes ce qu'il faut vraiment savoir" comporte un article ''Trois protections douteuses: Nous avons étudié des produits censés repousser les champs électromagnétiques''<ref>http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/sante/20090618.OBS1083/les-ondes-ce-qu-il-faut-vraiment-savoir.html</ref>. L'un de ces produits était les systèmes COM que commercialise Cotten <ref>Nous avons étudié des produits censés repousser les champs électromagnétiques.<br> Attention aux dispositifs à l'eau salée<br>La publicité l'affirmait : le patch anti-ondes CMO était «la première technologie au monde capable de protéger efficacement les organismes vivants des rayonnements électromagnétiques artificiels». Depuis février, ce slogan diffusé sur le site du revendeur Vitalisafe a été interdit par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Motif : aucune preuve scientifique de ces allégations, que ce soit pour les patchs qui se collent sur les mobiles, écrans et autres ordinateurs portables ou les antennes en forme de cône à poser en haut de l'armoire pour protéger la maison des mauvaises ondes.<br>Pourtant, Maurice Fillion-Robin, patron de la société Comosystems, fabricant du produit, s'était appuyé sur un dossier scientifique impressionnant, bâti il y a déjà quelques années lorsque sa société s'appelait Tecnolab (avant sa faillite en 2002). Mais en l'examinant de près, l'Afssaps a relevé un grand nombre d'irrégularités, notamment des biais méthodologiques rédhibitoires. De plus, la plupart des études présentées n'ont jamais été publiées dans des revues scientifiques internationales à comité de lecture, seule garantie d'une reconnaissance par la communauté scientifique. Malgré cela, Benoît-Jules Youbicier-Simo, l'ancien responsable de la recherche biologique de Tecnolab, maintient avoir montré un effet protecteur du procédé et cite deux chercheurs du CNRS de Montpellier et de Dijon qui auraient participé à ces travaux. Faux ! rétorque l'un d'eux : «Nous avons testé le produit, mais il n'avait aucun effet. Comme nos résultats n'allaient pas dans son sens, l'entreprise a cessé de soutenir nos recherches.»<br>La recette de Comosystems a été dévoilée lors de son examen par l'Afssaps : prenez de l'eau, ajoutez-y une pincée de sel de cuisine, exposez la solution au champ électromagnétique d'un appareil en marche (un téléphone portable, par exemple). Agitez-la ensuite vigoureusement une cinquantaine de fois afin qu'elle conserve la «mémoire» de cette irradiation, et mettez le tout dans un patch que vous collez à votre téléphone. '''L'antidote contre les ondes ne serait donc rien d'autre que la [[mémoire de l'eau]]... salée !''' D'autres publicités visant à garantir les vertus protectrices des produits Protark 1, Ondes Protect ou Biocelma ont aussi été interdites par l'Afssaps. O. H.</ref>. Ce qui ne fut pas du goût de Cotten et du fabricant qui demandèrent un droit de réponse au journal. En 2008, les dispositfs CMO (commercialisés par une autre société) avait déjà interdits de publicité par l'AFFSAPS, mais en 2011 c'est le tour de la société EDCAE de Cotten<ref>http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/a18d365e133b74b347700dff95f0e25c.pdf Le 20 janvier 2011, examen d'''une publicité diffusée sur le site internet www.siliciumorganique.net présentant les dispositifs « CMO » comme un moyen de protection contre des effets néfastes des ondes électromagnétiques artificielles sur la santé humaine développés dans le même document, avec des allégations telles que : [...]<br>L’évaluateur interne présente le rapport de l’expert externe.<br>Le principe de fonctionnement du dispositif est le suivant : il s’agit d’un oscillateur autonome (résonateur passif) qui émettrait un champ magnétique ELF (extremely low frequency) « hyperfaible » lorsqu’il est soumis à un champ électromagnétique « polluant ». Ces champs magnétiques hyperfaibles auraient pour cibles les complexes ion-protéines, dont ils aideraient à maintenir l’intégrité, par des processus de mécanisme quantique.<br>A partir de la description de la fabrication du dispositif, il apparaît que celui-ci contient une solution d’eau faiblement salée (sel de cuisine, chlorure de sodium à la concentration de 1/5 de gramme pour 100l de solution, soit 2 x 10 -7 g/l ) mis en contact avec un appareil émetteur d’ondes électromagnétiques en marche (téléphone portable par exemple) et à laquelle on a fait subir une cinquantaine de secousses vigoureuses afin de lui faire garder la « mémoire » de cette irradiation. C’est donc grâce à « la mémoire de l’eau salée » que le dispositif CMO va émettre des ondes hyperfaibles, au contact d’un appareil polluant, jouant le rôle d’ «antidote ». Ainsi, lorsque « rendre biologiquement compatible le rayonnement électromagnétique de ces appareils avec leur utilisateur ».''<br> L'expert externe note que toutes les preuves fournies par la firme sont irrecevables : ''travaux exposés lors de congrès et n’ayant pas fait l’objet de publication dans des revues à comité de lecture'', quant aux "articles publiés « peer reviewed »'', il note ''différents biais méthodologiques ([...] absence de groupes contrôles, de tests statistiques…), ou étant incomplets. [...] Certains de ces journaux'' [à comité de lecture] ''sont
+
* Depuis au moins 2009 Cotten commercialise des Oscillateurs Magnétiques de Compensation (COM) de ComoSystems<ref>http://www.cmo-comosystems.com/page.php?page=42 Le détail de toute la gamme comosystems</ref>, voir en détail sur le site de Cotten<ref>http://www.silicium-organique.net/?gclid=CLfrr8rz7qYCFYMRfAodV3ObFA</ref>. Le n° spécial de mai 2009 de Sciences et Avenir "les ondes ce qu'il faut vraiment savoir" comporte un article ''Trois protections douteuses: Nous avons étudié des produits censés repousser les champs électromagnétiques''<ref>http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/sante/20090618.OBS1083/les-ondes-ce-qu-il-faut-vraiment-savoir.html</ref>. L'un de ces produits était les systèmes COM que commercialise Cotten <ref>http://www.robindestoits.org/ONDES-Ce-qu-il-faut-vraiment-savoir-Sciences-et-Avenir-Mai-2009_a936.html Nous avons étudié des produits censés repousser les champs électromagnétiques.<br> Attention aux dispositifs à l'eau salée<br>La publicité l'affirmait : le patch anti-ondes CMO était «la première technologie au monde capable de protéger efficacement les organismes vivants des rayonnements électromagnétiques artificiels». Depuis février, ce slogan diffusé sur le site du revendeur Vitalisafe a été interdit par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Motif : aucune preuve scientifique de ces allégations, que ce soit pour les patchs qui se collent sur les mobiles, écrans et autres ordinateurs portables ou les antennes en forme de cône à poser en haut de l'armoire pour protéger la maison des mauvaises ondes.<br>Pourtant, Maurice Fillion-Robin, patron de la société Comosystems, fabricant du produit, s'était appuyé sur un dossier scientifique impressionnant, bâti il y a déjà quelques années lorsque sa société s'appelait Tecnolab (avant sa faillite en 2002). Mais en l'examinant de près, l'Afssaps a relevé un grand nombre d'irrégularités, notamment des biais méthodologiques rédhibitoires. De plus, la plupart des études présentées n'ont jamais été publiées dans des revues scientifiques internationales à comité de lecture, seule garantie d'une reconnaissance par la communauté scientifique. Malgré cela, Benoît-Jules Youbicier-Simo, l'ancien responsable de la recherche biologique de Tecnolab, maintient avoir montré un effet protecteur du procédé et cite deux chercheurs du CNRS de Montpellier et de Dijon qui auraient participé à ces travaux. Faux ! rétorque l'un d'eux : «Nous avons testé le produit, mais il n'avait aucun effet. Comme nos résultats n'allaient pas dans son sens, l'entreprise a cessé de soutenir nos recherches.»<br>La recette de Comosystems a été dévoilée lors de son examen par l'Afssaps : prenez de l'eau, ajoutez-y une pincée de sel de cuisine, exposez la solution au champ électromagnétique d'un appareil en marche (un téléphone portable, par exemple). Agitez-la ensuite vigoureusement une cinquantaine de fois afin qu'elle conserve la «mémoire» de cette irradiation, et mettez le tout dans un patch que vous collez à votre téléphone. '''L'antidote contre les ondes ne serait donc rien d'autre que la [[mémoire de l'eau]]... salée !''' D'autres publicités visant à garantir les vertus protectrices des produits Protark 1, Ondes Protect ou Biocelma ont aussi été interdites par l'Afssaps. O. H.</ref>. Ce qui ne fut pas du goût de Cotten et du fabricant qui demandèrent un droit de réponse au journal. En 2008, les dispositfs CMO (commercialisés par une autre société) avait déjà interdits de publicité par l'AFFSAPS, mais en 2011 c'est le tour de la société EDCAE de Cotten<ref>http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/a18d365e133b74b347700dff95f0e25c.pdf Le 20 janvier 2011, examen d'une publicité diffusée sur le site internet www.siliciumorganique.net présentant les dispositifs « CMO » comme un moyen de protection contre des effets néfastes des ondes électromagnétiques artificielles sur la santé humaine développés dans le même document, avec des allégations telles que : [...]<br>L’évaluateur interne présente le rapport de l’expert externe.<br>Le principe de fonctionnement du dispositif est le suivant : ''il s’agit d’un oscillateur autonome (résonateur passif) qui émettrait un champ magnétique ELF (extremely low frequency) « hyperfaible » lorsqu’il est soumis à un champ électromagnétique « polluant ». Ces champs magnétiques hyperfaibles auraient pour cibles les complexes ion-protéines, dont ils aideraient à maintenir l’intégrité, par des processus de mécanisme quantique.<br>A partir de la description de la fabrication du dispositif, il apparaît que celui-ci contient une solution d’eau faiblement salée (sel de cuisine, chlorure de sodium à la concentration de 1/5 de gramme pour 100l de solution, soit 2 x 10 -7 g/l ) mis en contact avec un appareil émetteur d’ondes électromagnétiques en marche (téléphone portable par exemple) et à laquelle on a fait subir une cinquantaine de secousses vigoureuses afin de lui faire garder la « mémoire » de cette irradiation. C’est donc grâce à « la mémoire de l’eau salée » que le dispositif CMO va émettre des ondes hyperfaibles, au contact d’un appareil polluant, jouant le rôle d’« antidote ». Ainsi, lorsque « rendre biologiquement compatible le rayonnement électromagnétique de ces appareils avec leur utilisateur ».''<br> L'expert externe note que toutes les preuves fournies par la firme sont irrecevables : ''travaux exposés lors de congrès et n’ayant pas fait l’objet de publication dans des revues à comité de lecture'', quant aux ''articles publiés « peer reviewed »'', il note ''différents biais méthodologiques ([...] absence de groupes contrôles, de tests statistiques…), ou étant incomplets. [...] Certains de ces journaux'' [à comité de lecture] ''sont
totalement inconnus des bases de données de « Pubmed »''.<br>[...] ''Suite à l’audition de la firme et après discussion, la Commission estime que l’ensemble des éléments fournis par la firme n’apportent pas la preuve scientifique des allégations.<br>A l’issue des délibérations, il est procédé à un vote à main levée, dont les résultats sur 14 votants sont :<br> - 10 voix en faveur d’une interdiction de l’ensemble des termes retenus,<br> - 1 voix en faveur de l’ensemble des termes sauf l’allégation « excellent moyen (…) de nous protéger efficacement de l’incertaine mais probable nocivité des ondes électromagnétiques »,<br> - 3 abstentions.<br>'''Mise à disposition par l’Afssaps, d’informations complémentaires, disponibles au moment de la publication de ce compte-rendu''' : <br>Le Directeur Général a décidé de ne pas interdire certaines allégations dans la mesure où elles ne traduisent pas de bénéfices pour la santé.<br>En effet, elles revendiquent un effet protecteur des « CMO » contre des effets néfastes des ondes électromagnétiques, sans préciser la nature de ces potentiels effets nocifs (perturbations biologiques ou situations pathologiques) contrairement aux autres allégations relevées.<br>Il s’agit des allégations :<br>'' - « pour aider chacun à mieux faire face à ces pollutions électromagnétiques »<br> - « ils vous aideront à mieux vivre les ondes électromagnétiques probablement nocives qui nous entourent »<br> - « excellent moyen (…) de nous protéger efficacement de l’incertaine mais probable nocivité des ondes électromagnétiques »''<br>(Remarque de Psiram : La dernière phrase servira d'argument de vente à l’entreprise CEM-Vivant du français Grégoire Cautru pour les mêmes CMO (fabriqués par Tecnolab/Comosystems en France) dont il dit : ''Pour mémoire l’AFSSAPS a reconnu les CMO comme un « Excellent moyen de nous protéger efficacement de la nocivité ‘‘probable’’ des ondes électromagnétiques »''. Curieusement, il existe une filiale de CEM-Vivant appelée CEM-Vivant France ayant pour adresse 8 Rue de l'Etançon - 70250 Ronchamp, par contre le site de vente est propriété de CEM-VIVANT SARL ayant pour Siege Social : Bd Royal, 3 ; L-2449 LUXEMBOURG, cela n'empêche pas que les commandes soient à adresser à Ronchamp en France !)  
+
totalement inconnus des bases de données de « Pubmed »''.<br>[...] ''Suite à l’audition de la firme et après discussion, la Commission estime que l’ensemble des éléments fournis par la firme n’apportent pas la preuve scientifique des allégations.<br>A l’issue des délibérations, il est procédé à un vote à main levée, dont les résultats sur 14 votants sont :<br> - 10 voix en faveur d’une interdiction de l’ensemble des termes retenus,<br> - 1 voix en faveur de l’ensemble des termes sauf l’allégation « excellent moyen (…) de nous protéger efficacement de l’incertaine mais probable nocivité des ondes électromagnétiques »,<br> - 3 abstentions.<br>'''Mise à disposition par l’Afssaps, d’informations complémentaires, disponibles au moment de la publication de ce compte-rendu''' : <br>Le Directeur Général a décidé de ne pas interdire certaines allégations dans la mesure où elles ne traduisent pas de bénéfices pour la santé.<br>En effet, elles revendiquent un effet protecteur des « CMO » contre des effets néfastes des ondes électromagnétiques, sans préciser la nature de ces potentiels effets nocifs (perturbations biologiques ou situations pathologiques) contrairement aux autres allégations relevées.<br>Il s’agit des allégations :<br>'' - « pour aider chacun à mieux faire face à ces pollutions électromagnétiques »<br> - « ils vous aideront à mieux vivre les ondes électromagnétiques probablement nocives qui nous entourent »<br> - « excellent moyen (…) de nous protéger efficacement de l’incertaine mais probable nocivité des ondes électromagnétiques »''<br>(Remarque de Psiram : La dernière phrase servira d'argument de vente à l’entreprise CEM-Vivant du français Grégoire Cautru pour les mêmes CMO (fabriqués par Tecnolab/Comosystems en France) dont il dit : ''Pour mémoire l’AFSSAPS a reconnu les CMO comme un « Excellent moyen de nous protéger efficacement de la nocivité ‘‘probable’’ des ondes électromagnétiques »''. Curieusement, il existe une filiale de CEM-Vivant appelée CEM-Vivant France ayant pour adresse 8 Rue de l'Etançon - 70250 Ronchamp, par contre le site de vente est propriété de CEM-VIVANT SARL ayant pour Siege Social : Bd Royal, 3 ; L-2449 LUXEMBOURG, cela n'empêche pas que les commandes soient à adresser à Ronchamp en France !)</ref><ref>http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000024508610 Interdiction le 26 mai 2011  par l'Affsaps de la publicité mensongère de Cotten pour les CMO qu'il commercialise via son site internet silicium-organique.net</ref>.
Siege Social : Bd Royal, 3 ; L-2449 LUXEMBOURG  </ref><ref>http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000024508610 Interdiction le 26 mai 2011  par l'Affsaps de la publicité mensongère de Cotten pour les CMO qu'il commercialise via son site internet silicium-organique.net</ref>.
   
* En 2011 et 2012, Cotten est un des exposants des 2° et 3° " Congrès international des thérapies quantiques" à Lyon et Reims organisés par [[Marion Kaplan]], la mode étant maintenant au "quantique".
 
* En 2011 et 2012, Cotten est un des exposants des 2° et 3° " Congrès international des thérapies quantiques" à Lyon et Reims organisés par [[Marion Kaplan]], la mode étant maintenant au "quantique".
 
* Nouvelle activité de Mr Cotten (2012): la cure Colo Vada pour procéder à une détoxination intestinale<ref>http://www.silicium-organique.net/colovada458.html?utm_medium=email&utm_campaign=Isabelle+Dardare+Christian+Cotten+et+la+...&utm_source=YMLP&utm_term=... </ref>, il semble bien qu'on soit dans le domaine de l'[[Hydrothérapie du côlon|irrigation côlonique, en clair des lavements]].
 
* Nouvelle activité de Mr Cotten (2012): la cure Colo Vada pour procéder à une détoxination intestinale<ref>http://www.silicium-organique.net/colovada458.html?utm_medium=email&utm_campaign=Isabelle+Dardare+Christian+Cotten+et+la+...&utm_source=YMLP&utm_term=... </ref>, il semble bien qu'on soit dans le domaine de l'[[Hydrothérapie du côlon|irrigation côlonique, en clair des lavements]].
12 795

modifications