Jean-Philippe Labrèze

Jean Philippe Labrèze ex-médecin (docteur en médecine diplomé le 16 12 1991 par la faculté de Marseille-Aix, inscrit à l'ordre des médecins le 04 07 2001), est membre du CSA (COMITE SCIENTIFIQUE AMESSI)[1] [2], membre du "Collectif des Médecins et des citoyens contre les traitements dégradants de la psychiatrie" [3] [4], mais aussi président du CCDH [5].

Le CCDH, ou "Comité des Citoyens pour les Droits de l'Homme", est une association 100% sous la coupe scientologue[6], dont l'unique but caché est la destruction de la psychiatrie, et, plus tard, de la médecine, pour les remplacer par la scientologie. Dans un article du journal 'La Provence' du 7 novembre 2008, intitulé "Un médecin scientologue jugé par ses pairs", [7], on apprend qu'il a quelques problèmes avec le Conseil régional de l'Ordre, et finalement par un courrier de lui-même de 2010 [8] qu'il a été radié de l'ordre des médecins, au moins provisoirement. Labrèze lui-même dit en 2007: J’appartiens depuis 20 ans à l’église de scientologie [9], je ne m’en cache pas. La scientologie a été classée comme une secte par une mission interministérielle, mais elle est reconnue comme religion par la cour européenne des Droits de l’Homme.

Labrèze était déjà mentionné en 2000 [10] comme consultant formateur chez Valgo France, entreprise scientologue de conseil en management et formation (créée en 1997) cherchant à infiltrer des entreprises françaises, il est aussi cité dans les sites préventsectes [11] et anti-scientologie [12].

Dans le rapport de la Mivilude de 2007. On peut y lire page 203:

"... Les organisations à caractère sectaire sont toujours présentes dans les champs d’activité des ministères sociaux. ... associations relais de l’Église de Scientologie. ... Dans le champ de la psychiatrie, l’Église de scientologie est particulièrement présente par le biais de deux organisations qui en émanent (la Commission des citoyens pour les doits de l’homme [CCDH] et le Collectif des médecins et des citoyens contre les traitements dégradants de la psychiatrie) qui se réclament agir en tant qu’organismes de défense des droits de l’homme. Elle dénonce régulièrement (sous forme de manifestations, pétitions, brochures), notamment l’utilisation des électrochocs, la prescription de Ritaline aux enfants et l’augmentation des «internements sous contrainte» et demande à être destinataire de données de nature administrative. A titre d’exemple, la campagne nationale contre la dépression pilotée par l’INPES et lancée par la ministre en octobre 2007 a été l’objet de nombreuses attaques. Ainsi le 15 décembre 2007 des manifestations ont été organisées à Paris et en province par le docteur Jean-Philippe Labrèze, président de la Commission des citoyens pour les droits de l’homme. Les effets néfastes supposés de cette campagne (surconsommation d’antidépresseurs, aggravation du risque suicidaire, actes violents en référence aux tueries de Columbine aux USA et de Jokela en Finlande) ont été relayés par de nombreux parlementaires dans des questions écrites adressées au gouvernement. Or la campagne contre la dépression vise à un bon usage des médicaments en limitant la prescription d’antidépresseurs aux seules personnes pour lesquelles, après une analyse bénéfice-risque rigoureuse conforme aux recommandations éditées par la Haute Autorité de Santé et l’AFSSAPS, ceux-ci peuvent être utiles."

Un article de 2007, signé par lui, qui verse dans le conspirationisme [13], dans un journal de la scientologie.

références