Omnium des libertés

Omnium des libertés

OMNIUM des libertés individuelles et des valeurs associatives. Le but affiché de cette association est de "défendre les individus victimes de discriminations en raison de leurs choix spirituels, religieux ou thérapeutiques". Dans son "code de déontologie", Omnium cherche à rassurer le public avec des clauses sur le respect des droits de l'homme, sur le libre-arbitre, sur l'hygiène et la sécurité... Cela part d'une bonne intention mais, dans la pratique, Joel Labruyère, président d'Omnium, défend en filigrane des sectes dangeureuses, et qui précisément, ne respectent pas ces clauses. On peut citer en particulier la Scientologie, une des sectes qui bafoue le plus les droits de l'homme, et dont Omnium bénéficie d'un soutien financier et logistique non négligeable...[1]

Liens externes

http://www.sos-derive-sectaire.fr/ARCHIVES%202002.htm#OMN OMNIUM DES LIBERTES
CHRISTIAN COTTEN CONDAMNE POUR PROCEDURE ABUSIVE ENVERS DES PARLEMENTAIRES
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné mardi Christian Cotten, "psychosociologue" et défenseur de "minorités religieuses", pour avoir fait comparaître de façon abusive devant la justice les auteurs et témoins d'un rapport parlementaire sur les "sectes et l'argent".
Quarante personnes avaient été poursuivies par M. Cotten et ont obtenu 155 euros de dommages-intérêts pour seize d'entre elles et 1 000 euros pour les 24 autres.
M. Cotten, Réjutas Paulais et l'association Politique et Vie qu'ils dirigeaient, s'étaient constitués partie civile et devront en outre payer chacun une amende de 7.500 euros pour avoir utilisé le tribunal comme tribune politique.
M. Cotten, membre du mouvement "Omnium des libertés", avait fait citer directement devant la justice les auteurs du rapport parlementaire de 1999 sur "les sectes et l'argent" et ceux qui ont été interrogés pour la rédaction de ce rapport.
Il s'agissait notamment des députés Jean-Pierre Brard (app. PCF), Roselyne Bachelot (RPR), Yvette Roudy (PS), Alain GEst (PS), Jacques Guyard (PS) mais aussi Olivier Schrameck, directeur du cabinet de Lionel Jospin, et Clotilde Valter, conseiller technique du Premier ministre, ou encore Jean-Marie Abgrall, psychiatre spécialiste des sectes.
Le plaignant leur reprochait d'avoir fait figurer sa société, la SARL "Stratégique", comme étant affiliée à la scientologie, ce qu'il juge "discriminatoire" et qui lui aurait fait perdre tous ses clients.
Le tribunal a en outre jugé que l'action en justice de M. Cotten était nulle, faute d'être suffisamment précise sur les faits reprochés.
Dépêches AFP du 9 avril 2002.

Références

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