Jacques Martel
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Jacques Martel[2], un canadien québécois né le 24 septembre 1950, de formation ingénieur électricien, agit à titre de psychothérapeute et anime des ateliers de croissance personnelle depuis 1988. Il est aussi auteur, conférencier et se dit maître reiki[3]
Il fait partie de ce que l'Unadfi dans son bulletin Bulles appelle Hamer et Co.[4], ce qui inclue la Biologie Totale.
Ses livres, vidéos, conférences servent de référence à cette mouvance.
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Références
- ↑ http://www.lemauricien.com/article/interview-lapproche-metaphysique-autre-facon-dinterpreter-nos-malaises-et-maladies INTERVIEW : L'approche métaphysique, une autre façon d'interpréter nos malaises et maladies, selon Jacques Martel. Article paru Dans WEEK-END le 17 mars 2013
- ↑ http://www.atma.ca/auteurs/jacques-martel Le site de Jacques Martel, Président d'ATMA inc., Formateur, auteur, conférencier et Maître REIKI
- ↑ http://www.lemauricien.com/article/interview-lapproche-metaphysique-autre-facon-dinterpreter-nos-malaises-et-maladies-selon-jac L'interviewer: Vous êtes l'auteur de six livres, dont Le grand dictionnaire des malaises et des maladies, publié aux Éditions Quintessence. Pouvez-vous nous en parler ?
Jacques Martel: Le livre Le grand dictionnaire des malaises et des maladies est un ouvrage exceptionnel qui permet d'identifier les pensées, les sentiments et les émotions qui sont à la source du conflit qui a déclenché la maladie. C'est à ma connaissance, l'ouvrage le plus complet dans son genre, accessible au public, pour lui permettre d'atteindre la connaissance de la source du conflit pour pouvoir y travailler par la suite. Il s'est vendu à plus de 350 000 exemplaires.
L'interviewer: La méthode que vous enseignez est donc une autre façon d'interpréter la maladie ?
Jacques Martel: Plus qu'interpréter, cette méthode permet réellement d'identifier l'origine du conflit pour pouvoir le résoudre par la suite, soit en le faisant soi-même ou soit en se faisant aider par un professionnel de la santé pour régler ce conflit qu'il soit conscient ou inconscient.
L'inteviewer: Parlez-nous du rapport entre les émotions et la maladie. Comment les émotions peuvent-elles être des manifestations de déséquilibre dans notre corps ?
Jacques Martel: Lorsque je vis un "surstress" en rapport avec une pensée ou une émotion, ce surstress psychologique est alors transféré dans la biologie, sous forme de maladie, pour libérer mon cerveau de 98% du stress. - ↑ http://www.prevensectes.com/hamer%20and%20co.pdf Nous pouvons lire dans le « grand dictionnaire des malaises et des maladies » de Jacques Martel (thérapeute de « médecine nouvelle »), de nombreuses définitions. Tout y passe du simple rhume des foins jusqu'à la sclérose en plaques. Ex : « Appendicite (p87) : (…) Cette maladie provient d’une colère reliée à une tension ou à une situation aiguë que je n’arrive pas à régler et qui me bouillir intérieurement. Il s’agit le plus souvent d’une situation sur le plan affectif qui vient déséquilibrer ma sensibilité et mes émotions. (…) Je me sens comme dans un « cul de sac » (forme de l’appendice) parce que j’ai le sentiment d’être opprimé, ce qui déclenche en moi peur, insécurité, lassitude, abandon. Le plus souvent, cette contrariété est en rapport avec un ou des membres de la famille ou en lien avec les principes et idées rattachées à la famille.(…) Cela peut même aller jusqu’à la peur de vivre. Je n’arrive plus à filtrer efficacement les nouvelles réalités pour m’en protéger. (…) j’ai besoin de parler de ce que je vis, j’ai besoin de vider mon sac car j’ai de la difficulté, je trouve cela très moche et désappointant. Remède : je laisse la vie prendre son cours et j’accepte les situations de mon existence comme ce qu’il y a de mieux pour moi. Je reste ouvert au niveau de mon coeur je laisse tomber mes protections (barrières) doucement et harmonieusement. Maladie d’Alzheimer : (…) Cette maladie des temps modernes, caractérisée principalement par le désir inconscient de terminer sa vie, d’en finir une fois pour toutes, de quitter ce monde ou de fuir ma réalité, est due à l’incapacité chronique d’accepter, de faire face (…) car j’ai peur et j’ai mal. Je me rends insensible à mon entourage et à mes émotions intérieures. Je m’engourdis, je « m’étourdis » et la vie me semble plus facile. (…) Le désespoir, l’irritabilité, le mal de vivre, m’amènent à me replier sur moi-même et à « vivre dans ma bulle ». Je me laisse « mourir à petit feu ». (…) » Il faut préciser que certains thérapeutes se basant sur le décodage n’hésitent pas à détourner le sens de mots et les transformer pour leur faire dire ce qu’ils veulent. Il n’existe aucune rigueur scientifique dans l’analyse « syntaxique » des maladies. De plus, ce genre de thérapies s’appuie essentiellement sur une vision négative de l’individu, de son histoire personnelle et familiale. Ces théories se jouent des règles scientifiques et des protocoles médicaux d’expérimentation, laissant l’interprétation de la maladie à la subjectivité seule du thérapeute. Conclusion Les méthodes issues de la « médecine nouvelle », sont potentiellement dangereuses pour un individu qui, du fait de sa maladie, se trouve dans un état de faiblesse et de détresse aggravés. Toute maladie grave confronte le patient à des questions existentielles et des angoisses autour de la vie et de la mort. A la souffrance physique due à la maladie, s’ajoute une souffrance psychique qui peut amener l’individu à se détourner des traitements classiques pour privilégier une « méthode miracle » le libérant de sa maladie, de ses questionnements et de ses souffrances. Mais il s’agit là d’un mirage, L’UNADFI a été confrontée à plusieurs cas de décès de patients dont des mineurs, qui ayant eu recours à la « Médecine Nouvelle » et à ses dérivés ont interrompu leur traitement médical et « succombé dans d’atroces souffrances ».