Dario Siniscalco
Dario Siniscalco est un chimiste et pharmacologue italien, chercheur de la 2ème Université de Naples qui fait partie du groupe de recherche sur l'autisme du Biomedical Center for Autism Research and Treatment de Nicola Antonucci[3].
Présentation de Siniscalco par lui-même
Le Dr [en pharmacologie) Dario Siniscalco est un biochimiste du Département de médecine expérimentale de la Second University of Naples (SUN), Italie (en italien: Seconda Università degli Studi di Napoli, SUN). Il a été diplômé en chimie par l'University of Naples “Federico II” en 2000 et a obtenu son doctorat en sciences pharmacologiques à la SUN en 2004. Il a complété son stage de neuropathologie à l'Université d'Alabama à Birmingham, USA, avant de rejoindre le personnel de la Seconde Université de Naples en 2006. Il est membre des sociétés scientifiques suivantes: Order of the Chemists of Campania, National Council for Chemistry, Stem Cell Research Italy, International Association of Neurorestoratology, European Association for Chemical and Molecular Sciences, Italian Pharmacological Society, Cell Death Research Group - University of Alabama at Birmingham, USA.
En 2010, en collaboration avec le dr. Nicola Antonucci, il a fondé un groupe de recherche pour étudier les changements cellulaires et moléculaires dans les troubles du spectre autistique.
Auteur ou co-auteur de plus de 60 papiers scientifiques [publiés dans des revues] à comité de lecture et de 9 chapitres de livres. Ses travauxs ont fait l'objet de plus de 1000 citations jusqu'ici (h-index 20). Il a Présenté 95 communications/résumés à des conférences nationales et internationales.
Ses centres d'intérêt sont [...][4].
Remarque à propos des revues à comité de lecture
Pour vérifier la qualité des journaux internationaux dans lesquels Siniscalco et co. publient, c'est à dire, entre autres, Frontiers in Immunology, Journal of Neuroinflammation, World Journal of Stem Cells (faisant partie du Baishideng Publishing Group/BPG), International journal of environmental research (publié par la Graduate Faculty of Environment, University of Tehran, Iran), etc., on peut vérifier dans la liste des journaux scientifiques[5]. Mais somme-toute, on est jamais mieux servi que par soi-même, c'est à dire, en étant soi-même l'Editor-in-Chief pour l'autisme du OMICS Publishing Group[6] [7]. Voir sur le wikipedia-anglais la réputation du OMICS Publishing Group [8].
Références
- ↑ http://www.konferencjaautyzm.pl/prelegenci-e.php Les principaux conférenciers de la conférence sur l'autisme à Varsovie en 2013 (anglais)
- ↑ http://www.gcmaf.asia/conferences/previous-conferences/ La photo est présentée avec la remarque suivante"Immuno Biotech Ltd was proud to sponsor the world’s first ever GcMAF conference". Le directeur d'Immuno Biotech Ldt, qui aura par la suite quelques ennuis avec les autorités sanitaires, est David Noakes, celui qui trône au centre de la photo
- ↑ http://taodar.wix.com/autism#!about/cjg9
- ↑ http://taodar.wix.com/autism#!about/cjg9
- ↑ https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_scientific_journals
- ↑ http://www.omicsgroup.org/editor-biography/Dario_Siniscalco/
- ↑ http://www.omicsgroup.org/journals/autism.php
- ↑ https://en.wikipedia.org/wiki/OMICS_Publishing_Group OMICS Publishing Group est un éditeur prédateur de revues en libre accès dans un certain nombre de domaines académiques. Il fait partie du groupe OMICS, basée à Hyderabad, en Inde. Il a publié sa première publication en 2008. Selon un article de 2012 dans The Chronicle, environ 60 pour cent des 200 revues du groupe n'ont jamais rien publié.
Les universitaires et le gouvernement des États-Unis ont mis en doute la validité de l'examen par les pairs des revues OMICS, la pertinence des frais de l'auteur et du marketing, et la publicité apparente [avec] des noms de scientifiques en tant qu'éditors [membres du comité éditorial] de journaux ou en tant que conférenciers à leur insu ou sans leur permission.
En conséquence, les U.S. National Institutes of Health [les Instituts Nationaux de Santé US] n'acceptent pas que les publications d'OMICS soient inscrites dans le PubMed Central et ont envoyé une lettre de mise en demeure à OMICS en 2013, exigeant qu'OMICS cesse ses fausses déclarations d'affiliation avec des entités ou des employés du gouvernement américain. OMICS a répondu aux critiques en avouant un engagement d'ouvrir l'édition d'accès et menaçant un éminent critique avec un 1 milliard $ US procès [...] Les auteurs de certains des journaux du groupe Omics paient une taxe de publication allant jusqu'à $3,600. [...]
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