Différences entre les versions de « Nutra News »
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== Article de février 2001 de Nutra News "Nutrition et supplémentation alimentaire - Notre Santé au futur" == | == Article de février 2001 de Nutra News "Nutrition et supplémentation alimentaire - Notre Santé au futur" == |
Version du 24 juin 2020 à 17:38
Nutra News, Science, Nutrition, Prévention et Santé (souvent écrit aussi NutraNews ou Nutranews) est une publication mensuelle diffusée sous forme de lettre électronique. Dans la rubrique "A propos", les seules informations données en 2014 sont : "Editeur : Fondation pour le Libre Choix, directeur de la Publication : Linus Freeman, Rédacteur en Chef : Yolaine Carel". [1] Dans la page "A propos de Nutra News", remarquer en haut et à gauche le logo de "Super Smart.com" et en dessous "super nutrition" qui sont, en cliquant dessus, deux liens vers des sites marchands: [2] et [3] qui sont d'ailleurs en lien l'un avec l'autre.
Nutra News est sponsorisée par Supersmart.com, une société de vente en ligne de compléments alimentaires) et de suppléments nutitionnels[4]. Sur le site de Supersmart.com, on apprend que Smart Nutrition Ltd. est liée par une convention de prestation de services à Smart City SA, société de droit luxembourgeois installée au Grand-Duché depuis 1997. [...] Notre centre logistique principal se situe au Royaume Uni et un centre secondaire aux Etats-Unis. [...] Historiquement, les sociétés qui ont précédé Smart Nutrition Ltd. ont été, dès 1992, parmi les pionniers européens de la supplémentation nutritionnelle. Elles ont aussi été à l'origine, avec les Smart Drinks®, du marché aujourd'hui important des boissons énergétiques. Elles ont été parmi les toutes les premières à commercialiser sur internet : la première version de Supersmart.com remonte à 1997. Nous avons commencé par importer des produits américains, puis, pour faire bénéficier nos clients de rapports qualité-prix plus avantageux, nous avons très rapidement élaboré nous-mêmes nos propres conditionnements.
Smart Nutrition Ltd. sponsorise les activités de la Fondation pour le Libre Choix (FLC), une association sans but lucratif dont le but est d'informer le public des recherches concernant la supplémentation nutritionnelle et la santé préventive. La FLC [Fondation Libre choix] édite la lettre d'information mensuelle Nutranews et le site www.nutranews. [...] Smart Nutrition Ltd. et d'autres sociétés du groupe contribuent aussi à l'activité de plusieurs associations européennes et internationales, pour développer l'information et l'éducation du public en matière de supplémentation, ainsi que pour défendre ses droits et son libre accès aux compléments alimentaires.
On ne peut pourtant pas dire que les boissons énergétiques font vraiment partie de la santé préventive.
Dans la lettre de juillet 2000, on a une information supplémentaire: "NUTRANEWS Directeur de la publication : Philippe Serra - Rédacteur en chef : Dr Jean-Marc Robin © 2000 Association Nutrition & Prévention ". Le coupon d'abonnement est également à renvoyer à Juan les Pins.[5] Déjà dans le numéro de Nutra News de juillet 1999, à la rubrique intitulée "courrier des lecteurs", les seuls à répondre aux lecteurs sont Jean-Marc Robin et Philippe Serra.[6]
On lit tout à la fin de la lettre de novembre 2001 de nutranews [7] "Editeur : Association Nutrition & Prévention - 5, boulevard de la Pinède - F-06160 Juan Les Pins. Directeur de la Publication : Philippe Serra - Rédacteur en Chef : Yolaine Carel Parution mensuelle - Abonnement (12 numéros) : Frs 199", et ensuite "Bulletin d’Abonnement. La lettre d'information Nutranews est éditée par l'Association Nutrition et Prévention. Cette association à but non lucratif, créée en 1994, a pour objet d'informer et d'éduquer le public dans les domaines de la Nutrition et de la Santé préventive. Nutranews paraît 12 fois par an", le prix annoncé est de 30€, le bulletin d'abonnement est à retourner à "Association Nutrition et Prévention, 5 boulevard de la Pinède - F 06160 Juan les Pins - France".
Articles dans les journaux en 1995
Des petites pilules sous le manteau
Dans cet article publié dans le journal Libération du 4 janvier 1995 et signé Catherine Coroller [8], on lit :
"«Prises en trop grandes quantités, les vitamines A et D, ainsi que certaines vitamines B peuvent être toxiques. Les aliments ne recèlent jamais des quantités toxiques de vitamines, les suppléments, si.» Véronique Azais- Braesco, chargée de recherche à l'Inra.
Des petites pilules sous le manteau «Votre bilan est moyen, c'est-à-dire que vous vous dégradez lentement.» Le verdict est sévère. Dès son arrivée dans la salle, chacun des rares spectateurs venus assister à la manifestation organisée par l'association Nutrition et Prévention s'est vu remettre un questionnaire. Quelques jours plus tard, il a reçu chez lui un bilan nutritionnel personnalisé. «Savez-vous qu'une supplémentation quotidienne serait particulièrement appropriée pour vous aider à garder ou à retrouver la forme de vos 20 ans?», peut-on y lire. Pour ce faire, il faudra prendre de la vitamine A, B2, B5, B6, B12, C, E, de l'acide folique, de la biotine, de l'acide para-aminobenzoïque, du chrome, du sélénium, du zinc, de la phénylalanine, de la cystéine. Et où trouve-t-on ces petites merveilles? Dans les produits fabriqués par Nutrasciences, organisateur occulte de la soirée.
En réalité, cette manifestation n'est pas ce que promettaient les affiches placardées dans Paris: à la place d'une conférence sur la nutrition, un attrape-gogos pour amener le public à acheter des spécialités Nutrasciences. L'exposé de Philippe Serra, responsable de ce laboratoire américain pour la France, sur l'intérêt des vitamines et minéraux, se termine par une présentation des produits Nutrasciences. L'un retarde le vieillissement, un autre donne énergie et bonne humeur, un troisième permet d'atteindre de meilleures performances physiques" L'ensemble du traitement coûte autour de 1.000 F par mois. Les produits se commandent à un autre membre de l'association qui se voit alors reverser une ristourne. Chaque client peut devenir, à son tour, revendeur. Ce système de vente directe permet aux entreprises qui diffusent, comme Nutrasciences, de proposer, sans avoir pignon sur rue, des produits pas tout à fait conformes à la réglementation (voir article principal) et d'éviter ainsi les foudres de l'administration.
C.C."
La mine des vitamines
Dans cet article publié également dans le journal libération du 4 janvier 1995 et signé Catherine Coroller [9], on lit :
C'est dur de vieillir et d'être menacé par la maladie, c'est déprimant de se sentir fatigué, c'est angoissant de s'entendre dire qu'on n'est pas à la hauteur dans tel ou tel domaine. Or, la pharmacopée n'a pas grand-chose à proposer pour calmer les malaises existentiels. Sauf des anxiolytiques, dont les Français abusent, mais qui se contentent d'endormir les angoisses. Ceux que de tels remèdes ne satisfont pas en sont réduits à tâtonner. Ils cherchent, parfois du côté des suppléments nutritionnels, ces cocktails de vitamines et minéraux (les célèbres oligo-éléments), censés redonner l'énergie perdue.
Depuis quelques années, les fabricants de ces produits, également appelés compléments alimentaires, font du forcing pour convaincre les Français d'en consommer. «Actuellement, on dénombre en France plus de 2.000 suppléments ou compléments nutritionnels» contre 700 environ en 1990, dit Véronique Azais-Braesco, chargée de recherche à l'Institut national de la recherche agronomique (Inra). Si l'offre augmente, il n'est pas sûr que la demande suive. Alors que la consommation de suppléments nutritionnels a pris une rare ampleur aux Etats-Unis (près d'un Américain sur deux prend régulièrement des vitamines), les Français font la fine bouche. «Nous observons depuis 1980 une diminution de la consommation des vitamines qui ne sont plus remboursées, comme la B, la C (sauf une) et les polyvitamines, dit Thérèse Lecomte, directeur de recherches au Centre de recherche et d'économie de la santé (Credes), alors que la consommation des vitamines A et D qui sont toujours prises en charge augmente.» Peut-être les Français doutent-ils de l'efficacité de médicaments, privés de cette caution médicale que représente le remboursement. Rien de tel qu'une bonne alimentation En l'occurrence, ils pourraient bien avoir raison. Car l'utilité de ces produits est plus qu'aléatoire. Les fabricants ont beau affirmer que tout le monde souffre de carences en vitamines et minéraux, la chose est loin d'être prouvée. «Si les gens ne présentent pas de symptômes, il n'y a aucune raison de penser qu'ils souffrent de carences, dit encore Véronique Azais -Braesco. L'alimentation couvre les besoins de 97,5% de la population. Les 2,5% restants, qui souffrent d'une carence, doivent être traités sous surveillance médicale. En France, la vraie carence n'existe que chez ceux qui se nourrissent insuffisamment ou mal"» A contrario, une alimentation équilibrée, à base de bons produits, fournirait les vitamines et minéraux nécessaires. «Notre alimentation actuelle est trop riche en calories vides: sucres purifiés, farines blanches, dit Christian Rémésy, chargé de recherches à l'Inra. Mieux vaudrait faire correctement son marché que de prendre des suppléments nutritionnels.» D'autant qu'il y a loin d'une orange gorgée de soleil à un comprimé de vitamine C. «On ne sait pas reproduire la complexité d'un aliment dans une gélule», dit encore Christian Rémésy. Et Véronique Azais-Braesco d'ajouter: «Dans les aliments, il y a des tas de micro-constituants qu'on ne connaît pas, or ce sont peut-être ces composés-là qui sont bénéfiques pour la santé. Si l'on a pu établir une liaison statistique entre ce que mangent les gens et l'incidence des pathologies qu'ils développent, on ne sait pas ce qui, dans la nourriture, en est responsable. Ainsi, entre la survenue d'un cancer du poumon et la consommation de fruits et légumes qui contiennent des caroténoïdes.»
Non contents d'être d'une utilité douteuse, ces suppléments nutritionnels pourraient même se révéler dangereux. Surtout à fortes doses. Lorsque des laboratoires, comme Nutrasciences, préconisent l'absorption d'importantes quantités de vitamines et minéraux, ils jouent avec la santé des consommateurs. «Il est grand temps de faire connaître aux Français l'efficacité des nutriments pour la prévention des maladies et des manifestations dégénératives», dit Philippe Serra, représentant français de cette société américaine. Quelles doses prescrire?
Là où le ministère de la Santé recommande une quantité maximale de 2.500 unités internationales (UI) de vitamine A par jour, Nutrascience en préconise au moins 6.630, de même pour la vitamine E, la vitamine C, le zinc, le sélénium" «Les doses officielles sont trop faibles», dit Philippe Serra. Peut-être, mais elles ont le mérite d'être a priori sans danger.
«Prises en trop grandes quantités, les vitamines A et D, ainsi que certaines vitamines B peuvent être toxiques», dit Véronique Azais- Braesco. Les aliments ne recèlent jamais des quantités toxiques de vitamines, les suppléments, si.» Une enquête menée en Finlande sur les effets du bêta-carotène et de la vitamine E sur le cancer a donné des résultats contraires à ceux escomptés: «Non seulement les sujets n'ont pas fait moins de cancers du poumon, mais ils en ont fait significativement plus», dit Véronique Azais-Braesco.
Pour l'heure, le mystère reste entier. Peut-être les résultats de l'étude que Serge Hercberg, chercheur à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a lancée à l'automne, sous le nom de Suvimax, permettront-ils de lever un peu plus le voile. 15.000 personnes vont avaler pendant huit ans des doses de vitamines et minéraux représentant de une à deux fois les apports quotidiens recommandés par le ministère de la Santé. Beaucoup moins que ce que préconise Philippe Serra, mais un peu plus que ce que l'administration tolérait jusque-là. «On pense que des doses un peu supérieures à celles qui évitent les carences permettraient peut-être de prévenir le cancer et les maladies cardio-vasculaires», dit Serge Hercberg. Rendez-vous dans huit ans" Catherine COROLLER. Christian Rémésy est l'auteur d'un ouvrage intitulé Alimentation et santé, éditions Flammarion, collection Dominos, octobre 1994.
[ici les références citées dans l'article]
«Vivez plus longtemps et en pleine forme», promettent les vendeurs de cocktails de vitamines et minéraux, qui exploitent le filon du remède facile. Le premier coup de fatigue ou de cafard venu, il est tentant d'avaler des gélules ou de boire un grand verre de lait enrichi en fer. Pourtant, l'efficacité de ces produits n'est guère prouvée. Parfois, il suffit simplement d'avoir une bonne alimentation, variée et équilibrée, pour se sentir mieux. Afin d'y voir un peu plus clair, une vaste enquête scientifique a été lancée à l'automne. Mais il faudra attendre huit ans pour connaître la véritable action de ces suppléments nutritionnels.
Pourquoi. La Mutuelle lyonnaise et les produits miracles
Dans cet article publié dans le journal Libération du 22 février 1995 et signé Catherine Coroller [10], on lit :
"La Mutuelle lyonnaise et les produits miracles
- «D'accord, les gens de Nutrasciences marchent en dehors des clous, mais l'important pour nous, en tant que mutualistes, c'est que les gens ne soient pas malades.» Romain Migliorini, président de la Mutuelle de la région lyonnaise (MTRL), n'a pas d'états d'âme. Le fait que les responsables de Nutrasciences commercialisent des suppléments nutritionnels beaucoup plus fortement dosés en vitamines et minéraux que ce qu'autorise la réglementation ne le gêne pas. «Nutrasciences et la Mutuelle de la région lyonnaise (MTRL) ont décidé d'oeuvrer en commun pour informer et éduquer le public le plus large dans les domaines de la nutrition et de la santé préventive», annonçait le 17 février un communiqué conjoint.
D'un côté, on trouve donc une entreprise américaine qui organise, en France, sous le couvert d'une association loi de 1901, Nutrition et Prévention, des conférences destinées à promouvoir les produits Nutrasciences. Véritables pilules miracles, ces compléments alimentaires permettraient d'éradiquer les maladies cardio-vasculaires, d'améliorer ses performances physiques, mentales, sexuelles" Bref, de «vivre plus longtemps et en pleine forme». De l'autre, on trouve une coopérative mutualiste qui revendique plus de 200.000 adhérents et qui se définit comme «l'une des mutuelles les plus solides et les plus dynamiques de France».
Pour l'heure, Romain Migliorini reste très discret sur la forme que prendra l'«engagement actif» de la MTRL au sein de l'association Nutrition et Prévention. «Tout ce qui va dans le sens de la prévention comme la campagne sur le dépistage du cancer du col de l'utérus ou l'homéopathie et, plus largement, tout ce qui peut être fait pour améliorer la santé des gens nous intéresse, dit le président de la mutuelle. Pour l'instant, les choses ne sont pas bien déterminées. Peut-être mettrons-nous sur pied un centre de prévention à deux ou peut-être créerons-nous notre propre association de prévention. Moi, je ne fais pas de business, la vente des produits Nutrasciences ne m'intéresse pas.»
Sur le fond, à savoir l'efficacité et l'innocuité de ces suppléments nutritionnels, Romain Migliorini n'a pas d'arguments scientifiques à apporter: «J'ai eu d'énormes problèmes de santé, et comme je me tiens toujours à l'affût de ce qui sort, j'ai consulté un médecin qui m'a dit: ce sont de très bons produits, vous pouvez y aller. Depuis que j'ai pris des compléments alimentaires, je suis dans une forme magnifique"» Si Romain Migliorini est libre de se soigner comme il l'entend, sa déontologie devrait lui interdire d'inciter les 200.000 adhérents de la MTRL à jouer aux apprentis sorciers. D'autant que la lumière est loin d'être faite sur les risques qu'un tel surdosage peut faire courir à l'organisme. Légalement, rien n'interdit à Romain Migliorini de passer des accords avec qui bon lui semble. Ethiquement, en revanche, il pourrait se dispenser de s'allier à une association dont les pratiques sont plus que douteuses."
Note de Psiram.com : L'association qui servait de couverture à l'entreprise américaine en question qui oeuvrait en France pour promouvoir les produits Nutrasciences est bien l' "Association Nutrition et Prévention" de Philippe Serra. L'entreprise Nutrasciences (SIREN 392979845) ayant pour Activité principale : "Autres intermédiaires du commerce en denrées, boissons et tabac (4617B), ayant comme Forme juridique : S.A.R.L., ayant comme Capital : 7 622 €, ayant comme Etablissement : 1, avait été Immatriculée en 11/1993, Fin d'exploitation : 10/1995. Son adresse était lors : 2791 chemin de Saint Bernard Sophia Antipolis 6220 Vallauris, et son Gérant : Serra Philippe.
Les auteurs ou intervenants de Nutranews
Certains ont été interviewés (on ne sait par quel intervieweur), quoi qu'il en soit, ils n'ont pas protesté quand leur interview y a été publiée ... Tous les numéros de Nutranews sont en accès libre, on peut les télécharger sous forme de pdf, il suffit de consulter les archives et choisir l'année et le mois de publication désiré.
- Jean-Marc Robin Chef de rédaction de nutranews apparaît, cela va de soi, dans de nombreux numéros (par exemple, juillet 1999, mars-avril 2000, avril 2000 avec l'article Les Suppléments nutritionnels de la perte de poids, ses réponses dans "Courrier des lecteurs" et les annonces des événements auxquels il participe (en compagnie de Dominique Rueff, Thierry Hertoghe, Jean-Paul Curtay)
- Jean-Paul Curtay (numéro d'août 1999)
- Dominique Rueff (numéros d'août 1999, mai 2000, juillet 2003, novembre 2004, juin 2005, mai 2006, janvier 2007, juillet 2007)
- Thierry Souccar (numéros d'août 1999, février 2000, février 2001, décembre 2001, août 2004, avril 2006, mai 2006)
- Luc Montagnier (numéro de juin 2002)
- David Servan Schreiber (numéro de juin 2004)
- Dietrich Klinghardt[11] (numéro de janvier 2004)
- Corinne Skorupka (numéro de juillet 2004)
- Pierre Boutron (numéro de janvier 2007)
- Claude Dalle (numéros de mai 2007 et novembre 2008)
- Thierry Hertoghe (numéro de mars 2008)
- Jonathan Wright (numéros d d'août 2000, de février 2010 et de septembre 2010), pages de 9 à 14)
- Ward Dean
- Garry Gordon (Garry F. Gordon, spécialiste de la chélation, septembre 2005, mai 2014)
Article de février 2001 de Nutra News "Nutrition et supplémentation alimentaire - Notre Santé au futur"
"Un colloque organisé par l'Union des Professionnels de la Supplémentation Nutritionnelle et Botanique vient de se tenir sur ce sujet à l'Assemblée Nationale, sous la présidence du député Pascal Terrasse. [...]" où l'on retrouve "Docteur Dominique Rueff, président de la table ronde [...]", le Dr Christophe de Jaeger, gérontologue et fondateur de l'Institut Européen du Vieillissement, le dr Jean-Pierre Lablanchy [fondateur de l'Association Médicale Kousmine], et Me Isabelle Robard.
Références
- ↑ http://www.nutranews.org/a_propos.pl Rubrique A propos du site de Nutra News
- ↑ http://www.supersmart.com/home.pl?fromid=WNN
- ↑ http://www.super-nutrition.com/ Site de vente de super-nutrition
- ↑ http://www.supersmart.com/qui_sommes_nous.pl?lang=fr
- ↑ http://www.nutranews.org/data/pdf/numeros/fr/nutranews200007.pdf
- ↑ http://www.nutranews.org/sujet.pl?id=784
- ↑ http://www.nutranews.org/data/pdf/numeros/fr/nutranews200111.pdf
- ↑ http://www.liberation.fr/vous/1995/01/04/des-petites-pilules-sous-le-manteau_121206 Article signé Catherine Coroller, publié le 4 janvier 1995
- ↑ https://next.liberation.fr/vous/1995/01/04/la-mine-des-vitamines_121201 Article publié le 1 janvier 1995
- ↑ http://www.liberation.fr/vous/1995/02/22/pourquoi-la-mutuelle-lyonnaise-et-les-produits-miracles_122452 Article "Pourquoi. La Mutuelle lyonnaise et les produits miracles" signé Catherine Coroller, publié le 22 février 1995.
- ↑ http://www.casewatch.org/board/med/klinghardt/order.shtml