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| Une femme médecin a déclaré que, déjà en 2007, les parents avaient refusé les examens de routine [le suivi médical] ainsi que l'administration d'insuline, c'est pourquoi elle aurait informé l'office de protection de la jeunesse<ref>http://www.haz.de/Hannover/Aus-der-Stadt/Uebersicht/Tochter-stirbt-an-Insulinmangel-Eltern-weisen-Schuld-vor-Gericht-von-sich</ref>. Selon le journal Allgemeinen d'Hanovre, les parents auraient été contre un traitement médicamenteux de leur fille, parce que, à leur avis, une vie ne valait pas la peine d'être vécue si l'être humain n'était pas capable de surmonter par ses propres moyens une maladie comme le diabète. C'est ce qui ressort d'une lettre de la mère qu'un frère du père de l'enfant aurait trouvée. En conséquence, les parents voulaient améliorer l'état de santé de leur fille diabétique en allant nager avec elle. La fillette aurait eu un système immunitaire faible en raison d'un soi-disant "conflit d'eau" hamérien que les parents voulaient combattre au moyen d'une pratique régulière de la natation. Selon le frère de l'accusée, celle-ci serait allée régulièrement à des réunions de partisans de la [[MNG]] et aurait été "une adepte quasiment sectaire des théories d'[[Ryke Geerd Hamer|Hamer]]". L'enfant n'a manifestement pas été présentée à un médecin durant les deux années entre le diagnostic et le décès; de plus, aucun des enfants de la famille ne seraient vacciné<ref>http://www.publikative.org/2015/02/12/tod-eines-siedlerkindes/</ref>. | | Une femme médecin a déclaré que, déjà en 2007, les parents avaient refusé les examens de routine [le suivi médical] ainsi que l'administration d'insuline, c'est pourquoi elle aurait informé l'office de protection de la jeunesse<ref>http://www.haz.de/Hannover/Aus-der-Stadt/Uebersicht/Tochter-stirbt-an-Insulinmangel-Eltern-weisen-Schuld-vor-Gericht-von-sich</ref>. Selon le journal Allgemeinen d'Hanovre, les parents auraient été contre un traitement médicamenteux de leur fille, parce que, à leur avis, une vie ne valait pas la peine d'être vécue si l'être humain n'était pas capable de surmonter par ses propres moyens une maladie comme le diabète. C'est ce qui ressort d'une lettre de la mère qu'un frère du père de l'enfant aurait trouvée. En conséquence, les parents voulaient améliorer l'état de santé de leur fille diabétique en allant nager avec elle. La fillette aurait eu un système immunitaire faible en raison d'un soi-disant "conflit d'eau" hamérien que les parents voulaient combattre au moyen d'une pratique régulière de la natation. Selon le frère de l'accusée, celle-ci serait allée régulièrement à des réunions de partisans de la [[MNG]] et aurait été "une adepte quasiment sectaire des théories d'[[Ryke Geerd Hamer|Hamer]]". L'enfant n'a manifestement pas été présentée à un médecin durant les deux années entre le diagnostic et le décès; de plus, aucun des enfants de la famille ne seraient vacciné<ref>http://www.publikative.org/2015/02/12/tod-eines-siedlerkindes/</ref>. |
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| + | == 2009/2010 La famille Seebald (Autriche) == |
| + | La famille Seebald a quatre enfants. Les parents sont tous les deux HIV séro-positifs, et refusent cependant une thérapie conventionnelle. Tous deux nient l’existence du SIDA, sont disciples de la [[MNG]] de [[Ryke Geerd Hamer|Hamer]] et adversaires de la vaccination. En dépit des conseils médicaux défavorables, la mère Barbara met au monde, à la maison, une fille (Muriel), malgré l’infection HIV de la mère et le risque d’infection qui en découle pour l’enfant. La sage-femme chargée de l’accouchement n’a pas été non plus informée de l’infection HIV de la mère. De plus, la petite est allaitée par sa mère, ceci également en contradiction avec les conseils des médecins. Muriel est infectée par le virus (infection verticale). La dernière année, Muriel étant malade est amenée à l’hôpital pour enfant Uni de Graz, une infection par le virus du SIDA étant détectée, on l’y traite, contre la volonté des parents. De plus, les parents refusent de faire vacciner leurs enfants. Entre-temps, le tribunal pour enfants enlève aux parents leurs droits de garde, les quatre enfants sont confiés à des parents nourriciers et mis sous la responsabilité de ceux-ci. Muriel reçoit un traitement anti rétro-viral. Les parents essaient d’attaquer la décision des services publics. Avec cela, ils recevaient le soutien d’Helmut Pilhar et de [[Ryke Geerd Hamer]], qui rédigeaient diverses lettres adressées aux services publics. |
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| + | Une procédure fut engagée contre la mère pour blessures corporelles avec des conséquences durables, mise en danger délibérée d’autrui par des maladies transmissibles, et aussi diffamation.<ref>http://derstandard.at/1271378386227/Gericht-Mutter-von-HIV-infiziertem-Kind-in-Graz-angeklagt</ref> Le procès a débuté le 8 juin 2010 à Graz. La mère, infectée par le HIV, a été condamnée le 6 juillet 2010 par le tribunal pénal du district de Graz à 10 mois de détention avec sursis (en Autriche : « détention conditionnelle ») pour blessures et autres délits, la mère Barbara a toutefois un droit de visites régulières, elle a fait appel.<ref>http://diepresse.com/home/panorama/oesterreich/579159/index.do?_vl_backlink=/home/panorama/index.do</ref> |
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| + | Le père est décédé le 11 mai 2010, très probablement à cause du Sida non traité. |
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| [[image : Victime_Hamer_en_2013.png|Lettre ouverte de l’amie d’une victime d’Hamer|300px|thumb]] | | [[image : Victime_Hamer_en_2013.png|Lettre ouverte de l’amie d’une victime d’Hamer|300px|thumb]] |
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| == 2013 : une femme inconnue (Allemagne) == | | == 2013 : une femme inconnue (Allemagne) == |
| D’une lettre ouverte de l’amie d'une victime de la [[MNG]] adressée à Hamer le 10 Mai 2013, il ressort qu’une femme de 72 ans, qui était une adepte de la [[MNG]] depuis 25 ans, est décédée. En 2009, elle avait été atteinte d’un cancer et s’était fait traiter par un médecin, ainsi que par un [[heilpraktiker]] et une autre personne par la [[MNG]]. Le médecin l’avait convaincue de ne pas prendre d’analgésiques malgré de fortes douleurs. Ce n'est que vers la fin de la maladie, qu’elle a pris des comprimés d’analgésiques. Deux mois et demi avant sa mort, la femme très émaciée est allée dans un hospice, où elle a reçu de la morphine. Elle est décédée en 2013. | | D’une lettre ouverte de l’amie d'une victime de la [[MNG]] adressée à Hamer le 10 Mai 2013, il ressort qu’une femme de 72 ans, qui était une adepte de la [[MNG]] depuis 25 ans, est décédée. En 2009, elle avait été atteinte d’un cancer et s’était fait traiter par un médecin, ainsi que par un [[heilpraktiker]] et une autre personne par la [[MNG]]. Le médecin l’avait convaincue de ne pas prendre d’analgésiques malgré de fortes douleurs. Ce n'est que vers la fin de la maladie, qu’elle a pris des comprimés d’analgésiques. Deux mois et demi avant sa mort, la femme très émaciée est allée dans un hospice, où elle a reçu de la morphine. Elle est décédée en 2013. |
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− | == 2009/2010 La famille Seebald (Autriche) ==
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− | La famille Seebald a quatre enfants. Les parents sont tous les deux HIV séro-positifs, et refusent cependant une thérapie conventionnelle. Tous deux nient l’existence du SIDA, sont disciples de la [[MNG]] de [[Ryke Geerd Hamer|Hamer]] et adversaires de la vaccination. En dépit des conseils médicaux défavorables, la mère Barbara met au monde, à la maison, une fille (Muriel), malgré l’infection HIV de la mère et le risque d’infection qui en découle pour l’enfant. La sage-femme chargée de l’accouchement n’a pas été non plus informée de l’infection HIV de la mère. De plus, la petite est allaitée par sa mère, ceci également en contradiction avec les conseils des médecins. Muriel est infectée par le virus (infection verticale). La dernière année, Muriel étant malade est amenée à l’hôpital pour enfant Uni de Graz, une infection par le virus du SIDA étant détectée, on l’y traite, contre la volonté des parents. De plus, les parents refusent de faire vacciner leurs enfants. Entre-temps, le tribunal pour enfants enlève aux parents leurs droits de garde, les quatre enfants sont confiés à des parents nourriciers et mis sous la responsabilité de ceux-ci. Muriel reçoit un traitement anti rétro-viral. Les parents essaient d’attaquer la décision des services publics. Avec cela, ils recevaient le soutien d’Helmut Pilhar et de [[Ryke Geerd Hamer]], qui rédigeaient diverses lettres adressées aux services publics.
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− | Une procédure fut engagée contre la mère pour blessures corporelles avec des conséquences durables, mise en danger délibérée d’autrui par des maladies transmissibles, et aussi diffamation.<ref>http://derstandard.at/1271378386227/Gericht-Mutter-von-HIV-infiziertem-Kind-in-Graz-angeklagt</ref> Le procès a débuté le 8 juin 2010 à Graz. La mère, infectée par le HIV, a été condamnée le 6 juillet 2010 par le tribunal pénal du district de Graz à 10 mois de détention avec sursis (en Autriche : « détention conditionnelle ») pour blessures et autres délits, la mère Barbara a toutefois un droit de visites régulières, elle a fait appel.<ref>http://diepresse.com/home/panorama/oesterreich/579159/index.do?_vl_backlink=/home/panorama/index.do</ref>
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− | Le père est décédé le 11 mai 2010, très probablement à cause du Sida non traité.
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| == 2014 : Zoélie <ref>Faire part de décès publié le 27 septembre 2014 par ses amies et collègues charlatologues, Julie, Louise et Sushi</ref>== | | == 2014 : Zoélie <ref>Faire part de décès publié le 27 septembre 2014 par ses amies et collègues charlatologues, Julie, Louise et Sushi</ref>== |