Différences entre les versions de « Médecine alternative »
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− | La '''Médecine alternative''' renvoie à des méthodes et des traitements qui ne sont pas fondés sur la science ou sur la médecine dite classique ou conventionnelle ou allopathique. | + | La '''Médecine alternative''' renvoie à des méthodes et des traitements qui ne sont pas fondés sur la science ou sur la médecine dite classique ou conventionnelle ou allopathique. |
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+ | L'expression que les autorités emploient est "PRATIQUES NON CONVENTIONNELLES A VISEES THERAPEUTIQUES (PNCAVT), qu'elles soient utilisées ou non dans un milieu sectaire. Voir les mises en garde de la MIVILUDE<ref>http://chronisante.inist.fr/?2010-La-Miviludes-met-en-garde</ref> pages 13-33 et 173-177, et celles de l'UNADFI dans son dossier documentaire sante publié en juin 2010<ref>http://www.unadfi.org/IMG/pdf/Dossier_documentaire_Sante.pdf</ref>. | ||
A la différence de ces médecines dites douces ou complémentaires ou traditionnelles (médecine traditionnelle chinoise, accupuncture, etc) qui proposent un accompagnement de confort ou de bien-être aux patients, physique ou psychique, en complément de la médecine conventionnelle, la médecine alternative propose d'autres méthodes '''en remplacement''' des traitements éprouvés et reconnus par la communauté scienfitique et médicale, et présente un danger pour les malades, en particulier en cas de maladies graves comme le cancer, le sida, etc. | A la différence de ces médecines dites douces ou complémentaires ou traditionnelles (médecine traditionnelle chinoise, accupuncture, etc) qui proposent un accompagnement de confort ou de bien-être aux patients, physique ou psychique, en complément de la médecine conventionnelle, la médecine alternative propose d'autres méthodes '''en remplacement''' des traitements éprouvés et reconnus par la communauté scienfitique et médicale, et présente un danger pour les malades, en particulier en cas de maladies graves comme le cancer, le sida, etc. |
Version du 25 novembre 2012 à 12:03
La Médecine alternative renvoie à des méthodes et des traitements qui ne sont pas fondés sur la science ou sur la médecine dite classique ou conventionnelle ou allopathique.
L'expression que les autorités emploient est "PRATIQUES NON CONVENTIONNELLES A VISEES THERAPEUTIQUES (PNCAVT), qu'elles soient utilisées ou non dans un milieu sectaire. Voir les mises en garde de la MIVILUDE[1] pages 13-33 et 173-177, et celles de l'UNADFI dans son dossier documentaire sante publié en juin 2010[2].
A la différence de ces médecines dites douces ou complémentaires ou traditionnelles (médecine traditionnelle chinoise, accupuncture, etc) qui proposent un accompagnement de confort ou de bien-être aux patients, physique ou psychique, en complément de la médecine conventionnelle, la médecine alternative propose d'autres méthodes en remplacement des traitements éprouvés et reconnus par la communauté scienfitique et médicale, et présente un danger pour les malades, en particulier en cas de maladies graves comme le cancer, le sida, etc.
La malades atteints des pathologies les plus lourdes, sont des proies faciles pour les "pseudo-thérapeutes" visants surtout leur porte-monnaie, qui leur promettent de les guérir par des méthodes miraculeuses.
Exemples de médecines alternatives dangereuses
- La Nouvelle Médecine Germanique
- La Biologie totale
- La méthode de Hulda Clark
- Les produits Jean Solomidès
- Les produits Mirko Beljanski
- Diverses cures diététiques quand on leur attribue des vertus curatives (par exemple l'alimentation sans laitages et sans gluten pronée par Jean Seignalet et Marion Kaplan
- La médecine énergétique ou Médecine quantique
Liens externes
références
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