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=== Tullio Simoncini: "El cáncer lo provocan las cándidas y se cura con bicarbonato sódico" ===
 
=== Tullio Simoncini: "El cáncer lo provocan las cándidas y se cura con bicarbonato sódico" ===
Présentation de la vidéo sur DSalud TV: [traduction DeepL:]<br>L'oncologue italien [[Thérapie avec du bicarbonate de sodium selon Simoncini|Tullio Simoncini]] affirme que le cancer est une maladie infectieuse causée par des champignons - plus précisément par le Candida - et qu'il se soigne simplement en appliquant de manière appropriée du bicarbonate de sodium dilué dans de l'eau distillée, car il suffit d'alcaliniser la zone tumorale pour contrecarrer l'environnement acide dans lequel elle se développe et ainsi arrêter sa croissance. Cette dilution peut être avalée mais peut aussi être appliquée par voie intraveineuse et, dans les cas les plus compliqués, lorsque l'on veut s'approcher rapidement de la tumeur, en utilisant les mêmes méthodes cliniques que celles qui sont couramment utilisées pour l'exploration des cavités et des organes. Pour lui, les tumeurs ne sont en fait que des mécanismes de défense créés par l'organisme pour se défendre contre l'infection par ces champignons dans le but de les encapsuler puis de les détruire. La preuve en est qu'il est impossible d'observer une tumeur in vivo - que ce soit dans la plèvre, les ganglions lymphatiques, le côlon, l'utérus ou le foie - sans toujours trouver des colonies de Candida.<br>En bref, pour Simoncini, la meilleure façon de traiter le cancer est de mettre le bicarbonate de sodium en contact avec les tumeurs. Aussi près que possible. Par voie orale pour le tube digestif, par lavements pour le rectum, par douches vaginales pour le vagin et l'utérus, par injection intraveineuse pour le poumon et le cerveau, ou par inhalation pour les voies respiratoires supérieures. Les sinus, les ganglions lymphatiques et les nodules sous-cutanés doivent être traités par perfusion locale. Les organes internes peuvent être traités au bicarbonate de sodium à l'aide de cathéters appropriés placés dans des artères (du foie, du pancréas, de la prostate et des extrémités) ou des cavités (de la plèvre ou du péritoine). Il faut évidemment connaître les doses appropriées et observer les réactions car chaque patient est différent et il faut tenir compte du fait que la régression des colonies tumorales se produit entre le troisième et le quatrième jour et l'effondrement entre le quatrième et le cinquième jour, donc six jours d'administration sont généralement suffisants. Simoncini explique qu'un cycle complet et efficace consiste généralement en six jours de traitement et six jours de repos, répétés quatre fois.<br>Et pourquoi, si ce qu'il affirme est si facilement vérifiable, n'a-t-il même pas été vérifié par des oncologues ? Selon Simoncini lui-même, pour une raison très simple : les traitements anticancéreux au bicarbonate de sodium sont très bon marché. Selon lui, une tumeur de la vessie peut être traitée pour 100 euros et un cancer de la peau - y compris les mélanomes - pour 20 euros, avec un taux de réussite de 95 %. La présentation qu'il a faite, aussi bouleversante que choquante, a été donnée lors du IIIe Congrès international sur les traitements complémentaires et alternatifs du cancer, qui s'est tenu à Madrid (Espagne) sous le parrainage de l'ASSOCIATION MONDIALE POUR LA RECHERCHE SUR LE CANCER (WACR) et du magazine espagnol Discovery DSALUD.<ref>https://www.youtube.com/watch?v=p4XWXZ66Aaw&list=PLOsIRoPNXkeXlz8rs-Ux3IMtCjOILq6Cj&index=15 Mise en ligne le 15 juin 2011.<br>El oncólogo italiano Tullio Simoncini sostiene que el cáncer es una enfermedad infecciosa provocada por hongos -concretamente por cándidas- y se cura aplicando de la forma adecuada simple bicarbonato sódico diluido en agua destilada porque basta alcalinizar la zona del tumor para contrarrestar el entorno ácido en el que se desenvuelve y detener así su crecimiento. Dilución que puede ingerirse pero también aplicarse por vía intravenosa y, en los casos más complicados, cuando se quiere llegar rápidamente cerca del tumor, utilizando los mismos métodos clínicos que se usan habitualmente para la exploración de cavidades y órganos. Para él los tumores no son en realidad sino mecanismos de defensa creados por el organismo para defenderse de la infección por esos hongos en un intento de encapsularlos y luego destruirlos. Lo que según él demuestra el hecho de que sea imposible observar en vivo un tumor --sea en la pleura, en los ganglios, en el colon, en el útero o en el hígado- sin encontrar siempre colonias de cándidas.<br>En suma, para Simoncini la mejor manera de afrontar un cáncer es poner bicarbonato sódico en contacto con los tumores. Tan estrechamente como sea posible. Mediante la administración oral para el aparato digestivo, enemas para el recto, duchas vaginales para la vagina y el útero, una inyección intravenosa para el pulmón y el cerebro o la inhalación para las vías respiratorias superiores. Los senos, los ganglios linfáticos y los nódulos subcutáneos deben ser tratados con perfusión local. En cuanto a los órganos internos pueden ser tratados con bicarbonato sódico usando catéteres adecuados situados en las arterias (del hígado, páncreas, próstata y extremidades) o en las cavidades (de la pleura o el peritoneo). Obviamente conociendo las dosis adecuadas y observando las reacciones porque cada paciente es diferente y debe tenerse en cuenta que la regresión de las colonias del tumor se produce entre el tercer y cuarto día y el colapso entre el cuarto y quinto por lo que seis días de administración suele ser suficiente. Simoncini explica que por lo general un ciclo completo y eficaz se compone de seis días de tratamiento y seis días libres, repetido cuatro veces.<br>¿Y por qué si lo que afirma es tan fácilmente constatable no se ha comprobado siquiera por los oncólogos? Según el propio Simoncini por una razón muy simple: los tratamientos del cáncer con bicarbonato sódico son muy económicos. Según cuenta un tumor de vejiga se puede tratar por 100 euros y un cáncer de piel --melanomas incluidos- por 20. Y con un 95% de éxito. La ponencia que ofreció, tan arrolladora como impactante, se dictó durante el III Congreso Internacional sobre Tratamientos Complementarios y Alternativos en Cáncer que se celebró en su día en Madrid (España) bajo el patrocinio de la WORLD ASSOCIATION FOR CANCER RESEARCH (WACR) y la revista española Discovery DSALUD.<br>Vidéo mise en ligne le 15 juin 2011.</ref>
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Présentation de la vidéo sur DSalud TV: [traduction DeepL:]<br>Tullio Simoncini : "Le cancer est causé par le candida et peut être soigné avec du bicarbonate de sodium"<br>L'oncologue italien [[Thérapie avec du bicarbonate de sodium selon Simoncini|Tullio Simoncini]] affirme que le cancer est une maladie infectieuse causée par des champignons - plus précisément par le Candida - et qu'il se soigne simplement en appliquant de manière appropriée du bicarbonate de sodium dilué dans de l'eau distillée, car il suffit d'alcaliniser la zone tumorale pour contrecarrer l'environnement acide dans lequel elle se développe et ainsi arrêter sa croissance. Cette dilution peut être avalée mais peut aussi être appliquée par voie intraveineuse et, dans les cas les plus compliqués, lorsque l'on veut s'approcher rapidement de la tumeur, en utilisant les mêmes méthodes cliniques que celles qui sont couramment utilisées pour l'exploration des cavités et des organes. Pour lui, les tumeurs ne sont en fait que des mécanismes de défense créés par l'organisme pour se défendre contre l'infection par ces champignons dans le but de les encapsuler puis de les détruire. La preuve en est qu'il est impossible d'observer une tumeur in vivo - que ce soit dans la plèvre, les ganglions lymphatiques, le côlon, l'utérus ou le foie - sans toujours trouver des colonies de Candida.<br>En bref, pour Simoncini, la meilleure façon de traiter le cancer est de mettre le bicarbonate de sodium en contact avec les tumeurs. Aussi près que possible. Par voie orale pour le tube digestif, par lavements pour le rectum, par douches vaginales pour le vagin et l'utérus, par injection intraveineuse pour le poumon et le cerveau, ou par inhalation pour les voies respiratoires supérieures. Les sinus, les ganglions lymphatiques et les nodules sous-cutanés doivent être traités par perfusion locale. Les organes internes peuvent être traités au bicarbonate de sodium à l'aide de cathéters appropriés placés dans des artères (du foie, du pancréas, de la prostate et des extrémités) ou des cavités (de la plèvre ou du péritoine). Il faut évidemment connaître les doses appropriées et observer les réactions car chaque patient est différent et il faut tenir compte du fait que la régression des colonies tumorales se produit entre le troisième et le quatrième jour et l'effondrement entre le quatrième et le cinquième jour, donc six jours d'administration sont généralement suffisants. Simoncini explique qu'un cycle complet et efficace consiste généralement en six jours de traitement et six jours de repos, répétés quatre fois.<br>Et pourquoi, si ce qu'il affirme est si facilement vérifiable, n'a-t-il même pas été vérifié par des oncologues ? Selon Simoncini lui-même, pour une raison très simple : les traitements anticancéreux au bicarbonate de sodium sont très bon marché. Selon lui, une tumeur de la vessie peut être traitée pour 100 euros et un cancer de la peau - y compris les mélanomes - pour 20 euros, avec un taux de réussite de 95 %. La présentation qu'il a faite, aussi bouleversante que choquante, a été donnée lors du IIIe Congrès international sur les traitements complémentaires et alternatifs du cancer, qui s'est tenu à Madrid (Espagne) sous le parrainage de l'ASSOCIATION MONDIALE POUR LA RECHERCHE SUR LE CANCER (WACR) et du magazine espagnol Discovery DSALUD.<ref>https://www.youtube.com/watch?v=p4XWXZ66Aaw&list=PLOsIRoPNXkeXlz8rs-Ux3IMtCjOILq6Cj&index=15 Mise en ligne le 15 juin 2011.<br>El oncólogo italiano Tullio Simoncini sostiene que el cáncer es una enfermedad infecciosa provocada por hongos -concretamente por cándidas- y se cura aplicando de la forma adecuada simple bicarbonato sódico diluido en agua destilada porque basta alcalinizar la zona del tumor para contrarrestar el entorno ácido en el que se desenvuelve y detener así su crecimiento. Dilución que puede ingerirse pero también aplicarse por vía intravenosa y, en los casos más complicados, cuando se quiere llegar rápidamente cerca del tumor, utilizando los mismos métodos clínicos que se usan habitualmente para la exploración de cavidades y órganos. Para él los tumores no son en realidad sino mecanismos de defensa creados por el organismo para defenderse de la infección por esos hongos en un intento de encapsularlos y luego destruirlos. Lo que según él demuestra el hecho de que sea imposible observar en vivo un tumor --sea en la pleura, en los ganglios, en el colon, en el útero o en el hígado- sin encontrar siempre colonias de cándidas.<br>En suma, para Simoncini la mejor manera de afrontar un cáncer es poner bicarbonato sódico en contacto con los tumores. Tan estrechamente como sea posible. Mediante la administración oral para el aparato digestivo, enemas para el recto, duchas vaginales para la vagina y el útero, una inyección intravenosa para el pulmón y el cerebro o la inhalación para las vías respiratorias superiores. Los senos, los ganglios linfáticos y los nódulos subcutáneos deben ser tratados con perfusión local. En cuanto a los órganos internos pueden ser tratados con bicarbonato sódico usando catéteres adecuados situados en las arterias (del hígado, páncreas, próstata y extremidades) o en las cavidades (de la pleura o el peritoneo). Obviamente conociendo las dosis adecuadas y observando las reacciones porque cada paciente es diferente y debe tenerse en cuenta que la regresión de las colonias del tumor se produce entre el tercer y cuarto día y el colapso entre el cuarto y quinto por lo que seis días de administración suele ser suficiente. Simoncini explica que por lo general un ciclo completo y eficaz se compone de seis días de tratamiento y seis días libres, repetido cuatro veces.<br>¿Y por qué si lo que afirma es tan fácilmente constatable no se ha comprobado siquiera por los oncólogos? Según el propio Simoncini por una razón muy simple: los tratamientos del cáncer con bicarbonato sódico son muy económicos. Según cuenta un tumor de vejiga se puede tratar por 100 euros y un cáncer de piel --melanomas incluidos- por 20. Y con un 95% de éxito. La ponencia que ofreció, tan arrolladora como impactante, se dictó durante el III Congreso Internacional sobre Tratamientos Complementarios y Alternativos en Cáncer que se celebró en su día en Madrid (España) bajo el patrocinio de la WORLD ASSOCIATION FOR CANCER RESEARCH (WACR) y la revista española Discovery DSALUD.<br>Vidéo mise en ligne le 15 juin 2011.</ref>
  
 
== Liens externes ==
 
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Version actuelle datée du 12 janvier 2022 à 14:48

Discovery DSalud est une revue espagnole mensuelle polémique qui publie des articles critiquant le système de santé, les entreprises pharmaceutiques, décriant la méthode scientifique en général, répandant des théories du complot et des absurdités dangereuses. Son directeur est José Antonio Campoy Sanz-Orrio, un profane en médecine.

La chimio est inutile, le SIDA n'existe pas... C'est ainsi que Campoy s'enrichit en répandant de dangereuses absurdités.
Il réalise un chiffre d'affaires de 500 000 euros par an avec son magazine Discovery DSalud. Il y crache toutes sortes d'imprécations : "La chimiothérapie favorise le cancer", "Ebola, une autre fausse pandémie ?" ou "les vaccins ne sont ni efficaces ni sûrs".[1]

J'ai lu dans Magonia que l'Organización Médica Colegial (OMC) a dénoncé au ministère de la santé une publicité sur le cancer publiée par le magazine Discovery DSalud selon laquelle "des millions de personnes meurent chaque année du cancer parce que la chimiothérapie et la radiothérapie ne fonctionnent pas", entre autres affirmations non scientifiques.

Ce n'est pas la première fois que le magazine Discovery DSalud, dirigé par José Antonio Campoy, fait l'objet d'une controverse similaire. [...] (Traduction DeepL)[2]. Voir aussi l'article critique "Las cinco grandes mentiras de la pseudociencia - El Periódico" publié le 5 nov. 2018 dans le journal El Periodico.[3]

Les vidéos de DSalud TV

El Dr. Hamer y las causas psicoemocionales del cáncer

Présentation accompagnant la vidéo intitulée El Dr. Hamer y las causas psicoemocionales del cáncer[4]:
El médico alemán Ryke Geerd Hamer postula que lo que llamamos cáncer no es sino un proceso biológico natural que el organismo pone en marcha como respuesta a un shock traumático inesperado que se vive en soledad y pilla a contrapié. Y que según la naturaleza del conflicto -afectivo, laboral, sexual, etc.- impacta en una u otra área del cerebro provocando una ruptura del campo electrofisiológico o electromagnético de un área concreta del mismo que, como consecuencia, altera el órgano que esa parte del cerebro regula. Así que mientras dura el conflicto el cáncer se extiende. Sin embargo si el conflicto se resuelve el cáncer se detiene y el propio organismo lo hace desaparecer. Por lo que en muchos casos la mejor manera de curar un cáncer es actuar sobre el problema psíquico y emocional dejando a continuación que actúe la naturaleza. Es más, para [[Hamer]) tanto los microbios como los virus son indispensables en la fase de curación. Obviamente no es partidario pues de radiar o de dar quimioterapia. Y sólo en casos extremos, cuándo está en juego la vida del paciente, justifica la cirugía. El resumen de este singular y novedoso planteamiento de la salud y la enfermedad lo daría a conocer el radiólogo italiano y cercano colaborador de Hamer, Marco Pfister, en la ponencia que dictó durante el I Congreso Internacional sobre Tratamientos Complementarios y Alternativos en Cáncer que se celebró en su día en Madrid (España) bajo el patrocinio de la revista española Discovery DSALUD.
Traduction DeepL:
Le médecin allemand Ryke Geerd Hamer postule que ce que nous appelons cancer n'est rien d'autre qu'un processus biologique naturel que l'organisme déclenche en réponse à un choc traumatique inattendu, vécu dans la solitude et qui nous prend au dépourvu. Selon la nature du conflit - affectif, professionnel, sexuel, etc. - il a un impact sur une zone du cerveau ou une autre, provoquant une rupture du champ électrophysiologique ou électromagnétique d'une zone spécifique du cerveau qui, par conséquent, altère l'organe que cette partie du cerveau régule. Ainsi, tant que le conflit dure, le cancer se propage. Cependant, si le conflit est résolu, le cancer s'arrête et l'organisme lui-même le fait disparaître. Ainsi, dans de nombreux cas, la meilleure façon de guérir le cancer est d'agir sur le problème psychologique et émotionnel, puis de laisser la nature agir. De plus, pour Hamer, tant les microbes que les virus sont indispensables dans la phase de guérison. Il est évident qu'il n'est pas favorable aux radiations ou à la chimiothérapie. Et ce n'est que dans les cas extrêmes, lorsque la vie du patient est en jeu, qu'il justifie la chirurgie. Le résumé de cette approche singulière et nouvelle de la santé et de la maladie a été donné par le radiologue italien et proche collaborateur de Hamer, Marco Pfister, dans la conférence qu'il a donnée lors du 1er Congrès international sur les traitements complémentaires et alternatifs du cancer, qui s'est tenu à Madrid (Espagne) sous le parrainage, mais aussi sur la chaîne DSalud TV[5]

La enfermedad de Lyme crónica: una pathología infradiagnostica

On trouve une vidéo de Mariano Bueno intitulée "La enfermedad de Lyme crónica: una pathología infradiagnostica" mise en ligne sur youtube le 30 janv. 2017[6], cette même vidéo figure dans la chaîne DSalud TV[7]

Autre vidéo de Mariano Bueno sur le traitement du cancer avec la médecine intégrative[8][9]
Présentation de la vidéo sur DSalud TV: [traduction DeepL:] Plus de 104 000 personnes meurent du cancer chaque année en Espagne ! Ces chiffres officiels de l'Institut national des statistiques (INE) montrent que pratiquement aucun progrès n'a été réalisé dans la prévention et la guérison de cette maladie depuis des décennies, malgré les affirmations des autorités sanitaires, des laboratoires et des groupes d'oncologues. Les chiffres froids sont frappants et montrent que les décès dus à la maladie augmentent inexorablement d'année en année. Mais les grands médias gardent le silence sur cette dure réalité, dissimulant le fait qu'il n'existe pas un seul médicament utilisé en oncologie dont les essais cliniques ont démontré qu'il a permis de guérir un seul cas de cancer, alors que la chimiothérapie, la chirurgie et la radiothérapie sont les techniques de traitement officiellement promues. Probablement parce que la conception même de ce qu'est le cancer et de ce qu'il signifie est erronée. En effet, pour vaincre le cancer, il ne semble pas nécessaire d'ouvrir le corps pour enlever les masses tumorales, de les brûler avec des radiations ou d'essayer de tuer les cellules cancéreuses avec des poisons. Une telle stratégie a échoué lamentablement, mais elle est cachée afin de maintenir l'activité cancéreuse actuelle. En fait, la survie et la qualité de vie des personnes qui ne suivent pas les traitements officiels du cancer sont bien supérieures à celles des personnes qui les suivent. De plus, ceux qui affrontent le cancer de la bonne manière le surmontent souvent avec facilité. De nombreux médecins l'ont déjà confirmé, dont le Dr Mariano Bueno, qui n'a pas hésité à en rendre compte dans cette courte vidéo.

Tullio Simoncini: "El cáncer lo provocan las cándidas y se cura con bicarbonato sódico"

Présentation de la vidéo sur DSalud TV: [traduction DeepL:]
Tullio Simoncini : "Le cancer est causé par le candida et peut être soigné avec du bicarbonate de sodium"
L'oncologue italien Tullio Simoncini affirme que le cancer est une maladie infectieuse causée par des champignons - plus précisément par le Candida - et qu'il se soigne simplement en appliquant de manière appropriée du bicarbonate de sodium dilué dans de l'eau distillée, car il suffit d'alcaliniser la zone tumorale pour contrecarrer l'environnement acide dans lequel elle se développe et ainsi arrêter sa croissance. Cette dilution peut être avalée mais peut aussi être appliquée par voie intraveineuse et, dans les cas les plus compliqués, lorsque l'on veut s'approcher rapidement de la tumeur, en utilisant les mêmes méthodes cliniques que celles qui sont couramment utilisées pour l'exploration des cavités et des organes. Pour lui, les tumeurs ne sont en fait que des mécanismes de défense créés par l'organisme pour se défendre contre l'infection par ces champignons dans le but de les encapsuler puis de les détruire. La preuve en est qu'il est impossible d'observer une tumeur in vivo - que ce soit dans la plèvre, les ganglions lymphatiques, le côlon, l'utérus ou le foie - sans toujours trouver des colonies de Candida.
En bref, pour Simoncini, la meilleure façon de traiter le cancer est de mettre le bicarbonate de sodium en contact avec les tumeurs. Aussi près que possible. Par voie orale pour le tube digestif, par lavements pour le rectum, par douches vaginales pour le vagin et l'utérus, par injection intraveineuse pour le poumon et le cerveau, ou par inhalation pour les voies respiratoires supérieures. Les sinus, les ganglions lymphatiques et les nodules sous-cutanés doivent être traités par perfusion locale. Les organes internes peuvent être traités au bicarbonate de sodium à l'aide de cathéters appropriés placés dans des artères (du foie, du pancréas, de la prostate et des extrémités) ou des cavités (de la plèvre ou du péritoine). Il faut évidemment connaître les doses appropriées et observer les réactions car chaque patient est différent et il faut tenir compte du fait que la régression des colonies tumorales se produit entre le troisième et le quatrième jour et l'effondrement entre le quatrième et le cinquième jour, donc six jours d'administration sont généralement suffisants. Simoncini explique qu'un cycle complet et efficace consiste généralement en six jours de traitement et six jours de repos, répétés quatre fois.
Et pourquoi, si ce qu'il affirme est si facilement vérifiable, n'a-t-il même pas été vérifié par des oncologues ? Selon Simoncini lui-même, pour une raison très simple : les traitements anticancéreux au bicarbonate de sodium sont très bon marché. Selon lui, une tumeur de la vessie peut être traitée pour 100 euros et un cancer de la peau - y compris les mélanomes - pour 20 euros, avec un taux de réussite de 95 %. La présentation qu'il a faite, aussi bouleversante que choquante, a été donnée lors du IIIe Congrès international sur les traitements complémentaires et alternatifs du cancer, qui s'est tenu à Madrid (Espagne) sous le parrainage de l'ASSOCIATION MONDIALE POUR LA RECHERCHE SUR LE CANCER (WACR) et du magazine espagnol Discovery DSALUD.[10]

Liens externes

  • https://pseudociencia.miraheze.org/wiki/Discovery_Dsalud (espagnol)
    Traduction DeepL du début de l'article:
    Discovery Dsalud est un magazine qui se présente comme "pour beaucoup, le meilleur magazine de santé". Il s'agit d'une publication qui promeut toutes sortes de méthodes non scientifiques.

    Contexte

    Le magazine diffuse toutes sortes de canulars sur le cancer qui ont déjà été signalés à l'Association médicale espagnole (Organización Médica Colegial de España). L'une d'elles était une publicité pour le cancer, il y a quelques années, qui affirmait : "Des millions de personnes meurent chaque année du cancer parce que la chimiothérapie et la radiothérapie ne fonctionnent pas ! Il s'agit d'une pratique très courante dans cette publication.

    Discovery DShealth est devenu le grand diffuseur et défenseur de toute pratique qui prétend pouvoir guérir sans tenir compte de la démonstration de son efficacité. On y trouve de tout, depuis les techniques dont la base empirique est douteuse jusqu'aux techniques carrément superstitieuses, ou tout simplement fausses, comme l'affirmation selon laquelle le virus du sida n'existe pas.

    Les articles du magazine ne montrent pas un désir de soins de santé, malgré ses affirmations. Au contraire, elle favorise la désinformation. Il ne remet pas en cause l'efficacité des thérapies qui y sont décrites, elles semblent toutes également respectables. Ainsi, le lecteur trouvera des listes de thérapies et des définitions de celles-ci, mais il n'offre jamais à ses lecteurs des conseils vraiment utiles sur ce qui fonctionne et ce qui est totalement inutile. Pas un seul article ne propose un verdict sur l'efficacité basé sur des normes de contrôle à l'efficacité prouvée.

    Discovery DShealth offre beaucoup de preuves anecdotiques sous forme de témoignages qui ne sont pas fondés scientifiquement ou issus d'études cliniques indépendantes.

    Le magazine est devenu un lieu où l'on vend des espaces publicitaires aux charlatans, pseudo-thérapeutes, maguffins et canulars. Ils font sans vergogne la promotion (payante) d'un produit liquide appelé MMS, inventé par l'évêque et charlatan Jim Humble, qui a fait l'objet de plusieurs plaintes et mandats d'arrêt dans diverses régions d'Afrique.

    Un négationnisme dangereux

    Le magazine est célèbre pour avoir nié l'existence du virus du sida ou l'inutilité des chimiothérapies[1]. Pourtant, en avril 2020, ses rédacteurs ont publié, en ligne et sur papier, la nouvelle selon laquelle le virus responsable du Covid-19 n'existe pas non plus, ce qui implique que l'alarme et la contingence pandémiques sont injustifiées.
    [...]
cet article est une ébauche

Références

  1. https://www.elespanol.com/reportajes/20180930/no-existe-enriquece-campoy-propagando-peligrosos-disparates/341466824_0.html
  2. https://www.xatakaciencia.com/no-te-lo-creas/denuncia-contra-la-revista-discovery-dsalud-por-un-anuncio-sobre-el-cancer
  3. https://www.elperiodico.com/es/ciencia/20181104/cinco-grandes-mentiras-pseudociencia-7125672 Le sida n'existe pas, le cancer a des origines émotionnelles, le wifi nuit à la santé, les vaccins provoquent l'autisme et l'homéopathie fonctionne sont les principales aberrations scientifiques des "thérapies alternatives".
  4. https://www.dsalud.com/dsalud-tv/ryke-geerd-la-medicina-celular-tratamiento-del-cancer/ Mise en ligne le 21 mars 2012
  5. https://www.dsalud.com/dsalud-tv/la-enfermedad-de-lyme-cronica-una-patologia-infradiagnosticada+
  6. https://www.youtube.com/watch?v=2WFMyq37htA
  7. https://www.dsalud.com/dsalud-tv/la-enfermedad-de-lyme-cronica-una-patologia-infradiagnosticada+
  8. https://www.youtube.com/watch?v=zvA9Dr5kZ9A
  9. https://www.dsalud.com/dsalud-tv/el-tratamiento-del-cancer-con-medicina-integrativa/ Mise en ligne le 23 janv. 2017
  10. https://www.youtube.com/watch?v=p4XWXZ66Aaw&list=PLOsIRoPNXkeXlz8rs-Ux3IMtCjOILq6Cj&index=15 Mise en ligne le 15 juin 2011.
    El oncólogo italiano Tullio Simoncini sostiene que el cáncer es una enfermedad infecciosa provocada por hongos -concretamente por cándidas- y se cura aplicando de la forma adecuada simple bicarbonato sódico diluido en agua destilada porque basta alcalinizar la zona del tumor para contrarrestar el entorno ácido en el que se desenvuelve y detener así su crecimiento. Dilución que puede ingerirse pero también aplicarse por vía intravenosa y, en los casos más complicados, cuando se quiere llegar rápidamente cerca del tumor, utilizando los mismos métodos clínicos que se usan habitualmente para la exploración de cavidades y órganos. Para él los tumores no son en realidad sino mecanismos de defensa creados por el organismo para defenderse de la infección por esos hongos en un intento de encapsularlos y luego destruirlos. Lo que según él demuestra el hecho de que sea imposible observar en vivo un tumor --sea en la pleura, en los ganglios, en el colon, en el útero o en el hígado- sin encontrar siempre colonias de cándidas.
    En suma, para Simoncini la mejor manera de afrontar un cáncer es poner bicarbonato sódico en contacto con los tumores. Tan estrechamente como sea posible. Mediante la administración oral para el aparato digestivo, enemas para el recto, duchas vaginales para la vagina y el útero, una inyección intravenosa para el pulmón y el cerebro o la inhalación para las vías respiratorias superiores. Los senos, los ganglios linfáticos y los nódulos subcutáneos deben ser tratados con perfusión local. En cuanto a los órganos internos pueden ser tratados con bicarbonato sódico usando catéteres adecuados situados en las arterias (del hígado, páncreas, próstata y extremidades) o en las cavidades (de la pleura o el peritoneo). Obviamente conociendo las dosis adecuadas y observando las reacciones porque cada paciente es diferente y debe tenerse en cuenta que la regresión de las colonias del tumor se produce entre el tercer y cuarto día y el colapso entre el cuarto y quinto por lo que seis días de administración suele ser suficiente. Simoncini explica que por lo general un ciclo completo y eficaz se compone de seis días de tratamiento y seis días libres, repetido cuatro veces.
    ¿Y por qué si lo que afirma es tan fácilmente constatable no se ha comprobado siquiera por los oncólogos? Según el propio Simoncini por una razón muy simple: los tratamientos del cáncer con bicarbonato sódico son muy económicos. Según cuenta un tumor de vejiga se puede tratar por 100 euros y un cáncer de piel --melanomas incluidos- por 20. Y con un 95% de éxito. La ponencia que ofreció, tan arrolladora como impactante, se dictó durante el III Congreso Internacional sobre Tratamientos Complementarios y Alternativos en Cáncer que se celebró en su día en Madrid (España) bajo el patrocinio de la WORLD ASSOCIATION FOR CANCER RESEARCH (WACR) y la revista española Discovery DSALUD.
    Vidéo mise en ligne le 15 juin 2011.