Différences entre les versions de « Javier Herráez »
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=== Témoignage de la belle-sœur de Francisca Molina === | === Témoignage de la belle-sœur de Francisca Molina === | ||
− | Francisca Molina était une patiente de Herráez qui est décédée vers le début de 2016. Sa belle-sœur, Elena López Carballés, a envoyé un courrier à ce propos qui figure dans un document faisant une compilation de 50 témoignages se rapportant tous à la [[Enric Corbera Institute|Bioneuroemoción]] et autres mouvements basés sur "l'origine émotionnelle de la maladie" en raison du risque qu'ils présentent pour la santé. Le témoignage d' | + | Francisca Molina était une patiente de Herráez qui est décédée vers le début de 2016. Sa belle-sœur, Elena López Carballés, a envoyé un courrier à ce propos qui figure dans un document faisant une compilation de 50 témoignages se rapportant tous à la [[Enric Corbera Institute|Bioneuroemoción]] et autres mouvements basés sur "l'origine émotionnelle de la maladie" en raison du risque qu'ils présentent pour la santé. Le témoignage d'Elena Lopez est le témoignage 48 <ref>https://docs.google.com/document/d/1lFtD_1nhN1smKSdG6tXn5P4xO_iF3y6XXp-gm4frTTU/edit# Voir le témoignage 48 d'Elena López Carballés</ref>: |
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"''Ma belle-sœur avait 57 ans quand, par l'intermédiaire d'un groupe sectaire lié à des chirurgies spirituelles ou psychiques (secte Sai Baba), elle est tombée entre les mains de Javier Herráez, un supposé professionnel d'oncologie avec une «clinique» en pleine Via Augusta (rue Augusta) de Barcelone, qui disait avoir travaillé à l'hôpital Vall d'Hebron et qui, je l'ai appris plus tard, avait été chassé de son poste de chef de l'oncologie à Lanzarote pour avoir laissé ses patients mourir (pour un jeune garçon dont la mère se rendit compte qu'il ne lui donnait pas son traitement et qui mourut). Son amie dans la secte lui avait assuré qu'il avait guéri le cancer de son mari.'' | "''Ma belle-sœur avait 57 ans quand, par l'intermédiaire d'un groupe sectaire lié à des chirurgies spirituelles ou psychiques (secte Sai Baba), elle est tombée entre les mains de Javier Herráez, un supposé professionnel d'oncologie avec une «clinique» en pleine Via Augusta (rue Augusta) de Barcelone, qui disait avoir travaillé à l'hôpital Vall d'Hebron et qui, je l'ai appris plus tard, avait été chassé de son poste de chef de l'oncologie à Lanzarote pour avoir laissé ses patients mourir (pour un jeune garçon dont la mère se rendit compte qu'il ne lui donnait pas son traitement et qui mourut). Son amie dans la secte lui avait assuré qu'il avait guéri le cancer de son mari.'' | ||
− | ''Ils avaient détecté à ma belle-sœur quelques problèmes à la gorge qu'ils ont confondu au début avec une pneumonie et, voyant que c'était un cancer, ils lui annoncé à l'hôpital un pronostic assez sombre, entre un et trois ans de vie avec les traitements actuels. Il s'était développé des nodules qui l'étouffaient/étranglaient petit à petit, et pour lesquels Javier Herráez a proposé son traitement (basé sur la [[Médecine Nouvelle Germanique]]) avec de l'eau de mer et des [[Chromathérapie|ampoules/lampes infrarouges]]. "En quatre semaines, tu seras guérie," a-t-il dit, après lui avoir demandé si elle avait de l'argent. S'étant assuré qu'elle avait quelques 17 000 € à la banque, il lui a dit littéralement "ne t'inquiète pas, si l'argent finit par manquer, je te rends visite gratuitement."'' | + | ''Ils avaient détecté à ma belle-sœur quelques problèmes à la gorge qu'ils ont confondu au début avec une pneumonie et, voyant que c'était un cancer, ils lui annoncé à l'hôpital un pronostic assez sombre, entre un et trois ans de vie avec les traitements actuels. Il s'était développé des nodules qui l'étouffaient/étranglaient petit à petit, et pour lesquels Javier Herráez a proposé son traitement (basé sur la [[Médecine Nouvelle Germanique]]) avec de l'eau de mer et des [[Chromathérapie|ampoules/lampes infrarouges]]. "En quatre semaines, tu seras guérie," lui a-t-il dit, après lui avoir demandé si elle avait de l'argent. S'étant assuré qu'elle avait quelques 17 000 € à la banque, il lui a dit littéralement "ne t'inquiète pas, si l'argent finit par manquer, je te rends visite gratuitement."'' |
''En trois semaines, ma belle-sœur était morte, après lui avoir payé 40 € pour chaque séance hebdomadaire, 600 € pour 6 bouteilles d'eau de mer supposées provenant d'Inde, et s'être traitée avec cela et avec le rayonnement infrarouge de deux ampoules/lampes qu'il lui a fait acheter, une rouge et une jaune, et je soupçonne qu'il a accéléré le processus encore plus, finissant avec elle l'étouffement/étranglement par ses nodules.'' | ''En trois semaines, ma belle-sœur était morte, après lui avoir payé 40 € pour chaque séance hebdomadaire, 600 € pour 6 bouteilles d'eau de mer supposées provenant d'Inde, et s'être traitée avec cela et avec le rayonnement infrarouge de deux ampoules/lampes qu'il lui a fait acheter, une rouge et une jaune, et je soupçonne qu'il a accéléré le processus encore plus, finissant avec elle l'étouffement/étranglement par ses nodules.'' |
Version du 26 octobre 2016 à 13:00
Javier Herráez (Javier Herráez González) est un médecin catalan, disciple de Ryke Geerd Hamer et de sa Médecine Nouvelle Germanique.
CV de Javier Herráez publié par lui-même[2] et son livre "CÁNCER: ¿TIENE CURA?..." (Cancer: Y a-t-il un traitement ... ?) qu'il a mis en accès libre sur Internet [3].
Thérapies "alternatives et naturelles" proposées par Herráez contre le cancer
Une vidéo "EL CÁNCER ¿TIENE CURA...? Entrevista a Javier Herráez" ("Le cancer, y a-t-il une guérison ... ?") [4] mise en ligne en 2013</ref> décrit les thérapies alternatives que Javier Herráez propose à ses patients.
Le décès en 2016 de Francisca Molina, une patiente de Herraez
Javier Herràez a traité Francisca Molina décédée début 2016 d'un cancer du poumon au stade terminal (voir Victimes de la Médecine Nouvelle Germanique à l'année 2016). Elle a abandonné la chimio et pris de l'eau de mer sur ses conseils, après qu'il lui ait promis qu'elle serait guérie en quatre semaines. Il semble qu'elle soit décédée après seulement trois semaines de ce traitement. Ses proches reprochent des promesses mensongères, disant qu'avec un traitement elle aurait pu survivre jusqu'à trois années de plus, ou qu'elle serait tout au moins morte sans tant de souffrances[5].
Témoignage de la belle-sœur de Francisca Molina
Francisca Molina était une patiente de Herráez qui est décédée vers le début de 2016. Sa belle-sœur, Elena López Carballés, a envoyé un courrier à ce propos qui figure dans un document faisant une compilation de 50 témoignages se rapportant tous à la Bioneuroemoción et autres mouvements basés sur "l'origine émotionnelle de la maladie" en raison du risque qu'ils présentent pour la santé. Le témoignage d'Elena Lopez est le témoignage 48 [6]:
témoignage 48 (envoyé par courrier suite à un contact pris en raison d'un commentaire de la vidéo https:// www.youtube.com/ watch?v=PtXSuSPyIyI&lc=z121uv5rjxabufkk522firzhlyvxdbls4)
"Ma belle-sœur avait 57 ans quand, par l'intermédiaire d'un groupe sectaire lié à des chirurgies spirituelles ou psychiques (secte Sai Baba), elle est tombée entre les mains de Javier Herráez, un supposé professionnel d'oncologie avec une «clinique» en pleine Via Augusta (rue Augusta) de Barcelone, qui disait avoir travaillé à l'hôpital Vall d'Hebron et qui, je l'ai appris plus tard, avait été chassé de son poste de chef de l'oncologie à Lanzarote pour avoir laissé ses patients mourir (pour un jeune garçon dont la mère se rendit compte qu'il ne lui donnait pas son traitement et qui mourut). Son amie dans la secte lui avait assuré qu'il avait guéri le cancer de son mari.
Ils avaient détecté à ma belle-sœur quelques problèmes à la gorge qu'ils ont confondu au début avec une pneumonie et, voyant que c'était un cancer, ils lui annoncé à l'hôpital un pronostic assez sombre, entre un et trois ans de vie avec les traitements actuels. Il s'était développé des nodules qui l'étouffaient/étranglaient petit à petit, et pour lesquels Javier Herráez a proposé son traitement (basé sur la Médecine Nouvelle Germanique) avec de l'eau de mer et des ampoules/lampes infrarouges. "En quatre semaines, tu seras guérie," lui a-t-il dit, après lui avoir demandé si elle avait de l'argent. S'étant assuré qu'elle avait quelques 17 000 € à la banque, il lui a dit littéralement "ne t'inquiète pas, si l'argent finit par manquer, je te rends visite gratuitement."
En trois semaines, ma belle-sœur était morte, après lui avoir payé 40 € pour chaque séance hebdomadaire, 600 € pour 6 bouteilles d'eau de mer supposées provenant d'Inde, et s'être traitée avec cela et avec le rayonnement infrarouge de deux ampoules/lampes qu'il lui a fait acheter, une rouge et une jaune, et je soupçonne qu'il a accéléré le processus encore plus, finissant avec elle l'étouffement/étranglement par ses nodules.
Comme la moitié des parents de ma belle-sœur est dans la secte maudite, et l'autre moitié se contente d'un "elle est déjà morte, et bien voilà [c'est comme ça]" le cas restera sans dénonciation. Comme si cela ne suffisait pas, ils ont pourtant pensé à dénoncer la merveilleuse oncologue qui la soignait à l'hôpital de Calella, lui reprochant qui l'avoir mise sous sédation dans ses derniers moments quand elle était déjà en train de s'étouffer.
Entre-temps, ces gens continuent à faire ...
Elena Lopez, Barcelone"
Références
- ↑ https://www.youtube.com/watch?v=4A0jCO9nFEc
- ↑ https://javierherraez.wordpress.com/curriculum/
- ↑ https://alish25.files.wordpress.com/2013/09/cc3a1ncer-c2bftiene-cura.pdf
- ↑ https://www.youtube.com/watch?v=PtXSuSPyIyI
- ↑ http://www.ara.cat/societat/Familiars-impotents-malalt-abandona-quimioterapia_0_1639036096.htm Article "La impotència dels familiars quan un malalt abandona la quimioteràpia" (l'impuissance des proches lorsqu'un patient abandonne la chimiothérapie) Article publié en catalan de 26 août 2016 par l'Asociación para Proteger al Enfermo de Terapias Pseudocientíficas (APETP) (Association pour Protéger le malade des thérapies pseudoscientifiques)
- ↑ https://docs.google.com/document/d/1lFtD_1nhN1smKSdG6tXn5P4xO_iF3y6XXp-gm4frTTU/edit# Voir le témoignage 48 d'Elena López Carballés
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