Différences entre les versions de « Andrée Sixt »
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Version du 26 janvier 2011 à 18:19
Andrée Sixt fut condamnée le 17 mars 2000 par le tribunal de Grande instance de Chambéry, pour exercice illégal de la médecine, à une peine d'un an d'emprisonnement avec sursis et une amende de 20 000[1]. Lors du procès furent évoqués les cas de:
Anne-Marie TRIGON rechute d'un cancer en 1993. Elle abandonnera tout traitement sur les conseils de Mme SIXT. En juin 1996 Mme SIXT lui conseille la cortisone toutes les 3 heures, et précise que c'est "la phase de guérison". Le 9 juillet 1996, un médecin diagnostique un "épanchement pleural" et lui prescrit un traitement. Réponse de Mme SIXT : "c'est un imbécile !", "ne l'écoutez pas!". Anne-Marie TRIGON décèdera 13 jours plus tard...
Brigitte JASSERAND, atteinte d'un cancer, opérée en 1993, reprend le travail en 1994. Elle entre en contact avec l'ASAC. Madame SIXT lui garantit une guérison complète. Sur sa demande, Brigitte JASSERAND arrête la chimiothérapie. Elle décédera de son cancer l'année suivante...
Yves HENRIET est atteint d'un cancer. En 1996, suite à une rencontre avec Madame SIXT, il décide d'arrêter tout traitement. Le 30 juin 1996 après-midi, à son domicile, il fait une crise de convulsions. Vers 16h, diagnostic de Mme SIXT par téléphone : "c'est normal", "il suffit d'attendre", "pas besoin d'appeler le SAMU". Vers 17 h, il ne respire plus : "appelez le SAMU !". Ah quand-même... Hélas ! vers 18 h 30 : constat de décès...
On apprend d'autres détails à son sujet, en particulier les mouvements d'argents entre l'ASAC et Hamer, dans le jugement en appel d'Hamer devant la cour d'Appel de Chambéry de 2002[2].