Grâce aux réseaux sociaux, nous avons détecté le malaise de plusieurs enseignants de Tandil. Presque aucun d'entre eux - à une seule exception près - n'a voulu donner son nom pour donner un avis sur le thème de cette note. Les médias locaux n'ont pas semblé intéressés non plus. Parmi les personnes consultées, nous avons perçu un climat épais. Un mélange de peur, de désir de parler à voix basse par instinct de survie, et de lassitude face à la "débâcle culturelle" que connaît le centre de la province de Buenos Aires. | Grâce aux réseaux sociaux, nous avons détecté le malaise de plusieurs enseignants de Tandil. Presque aucun d'entre eux - à une seule exception près - n'a voulu donner son nom pour donner un avis sur le thème de cette note. Les médias locaux n'ont pas semblé intéressés non plus. Parmi les personnes consultées, nous avons perçu un climat épais. Un mélange de peur, de désir de parler à voix basse par instinct de survie, et de lassitude face à la "débâcle culturelle" que connaît le centre de la province de Buenos Aires. |