− | Pour vérifier la qualité des journaux internationaux dans lesquels Antonucci et co. publient, c'est à dire, entre autres, Frontiers in Immunology, Journal of Neuroinflammation, World Journal of Stem Cells, International journal of environmental research, etc., on peut vérifier dans la liste des journaux scientifiques<ref>https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_scientific_journals</ref>. Mais somme-toute, on est jamais mieux servi que par soi-même (ou par son associé en recherche), c'est à dire, en l'occurence, quand l'Editor-in-Chief pour l'autisme du OMICS Publishing Group est [[Dario Siniscalco]] <ref>http://www.omicsgroup.org/editor-biography/Dario_Siniscalco/</ref> <ref>http://www.omicsgroup.org/journals/autism.php</ref>. Voir sur le wikipedia-anglais la réputation du OMICS Publishing Group <ref>https://en.wikipedia.org/wiki/OMICS_Publishing_Group OMICS Publishing Group est un éditeur prédateur de revues en libre accès dans un certain nombre de domaines académiques. Il fait partie du groupe OMICS, basée à Hyderabad, en Inde. Il a publié sa première publication en 2008. Selon un article de 2012 dans The Chronicle, environ 60 pour cent des 200 revues du groupe n'ont jamais rien publié.<br>Les universitaires et le gouvernement des États-Unis ont mis en doute la validité de l'examen par les pairs des revues OMICS, la pertinence des frais de l'auteur et du marketing, et la publicité apparente [avec] des noms de scientifiques en tant qu'éditors [membres du comité éditorial] de journaux ou en tant que conférenciers à leur insu ou sans leur permission.<br>En conséquence, les U.S. National Institutes of Health [les Instituts Nationaux de Santé US] n'acceptent pas que les publications d'OMICS soient inscrites dans le PubMed Central et ont envoyé une lettre de mise en demeure à OMICS en 2013, exigeant qu'OMICS cesse ses fausses déclarations d'affiliation avec des entités ou des employés du gouvernement américain. OMICS a répondu aux critiques en avouant un engagement d'ouvrir l'édition d'accès et menaçant un éminent critique avec un 1 milliard $ US procès [...] Les auteurs de certains des journaux du groupe Omics paient une taxe de publication allant jusqu'à $3,600. [...]</ref>. | + | Pour vérifier la qualité des journaux internationaux dans lesquels Antonucci et co. publient, c'est à dire, entre autres, Frontiers in Immunology, Journal of Neuroinflammation, World Journal of Stem Cells (faisant partie du Baishideng Publishing Group/BPG), International journal of environmental research (publié par la Graduate Faculty of Environment, University of Tehran, Iran), etc., on peut vérifier dans la liste des journaux scientifiques<ref>https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_scientific_journals</ref>. Mais somme-toute, on est jamais mieux servi que par soi-même (ou par son associé en recherche), en l'occurence, quand l'Editor-in-Chief pour l'autisme du OMICS Publishing Group est [[Dario Siniscalco]] <ref>http://www.omicsgroup.org/editor-biography/Dario_Siniscalco/</ref> <ref>http://www.omicsgroup.org/journals/autism.php</ref>. Voir sur le wikipedia-anglais la réputation du OMICS Publishing Group <ref>https://en.wikipedia.org/wiki/OMICS_Publishing_Group OMICS Publishing Group est un éditeur prédateur de revues en libre accès dans un certain nombre de domaines académiques. Il fait partie du groupe OMICS, basée à Hyderabad, en Inde. Il a publié sa première publication en 2008. Selon un article de 2012 dans The Chronicle, environ 60 pour cent des 200 revues du groupe n'ont jamais rien publié.<br>Les universitaires et le gouvernement des États-Unis ont mis en doute la validité de l'examen par les pairs des revues OMICS, la pertinence des frais de l'auteur et du marketing, et la publicité apparente [avec] des noms de scientifiques en tant qu'éditors [membres du comité éditorial] de journaux ou en tant que conférenciers à leur insu ou sans leur permission.<br>En conséquence, les U.S. National Institutes of Health [les Instituts Nationaux de Santé US] n'acceptent pas que les publications d'OMICS soient inscrites dans le PubMed Central et ont envoyé une lettre de mise en demeure à OMICS en 2013, exigeant qu'OMICS cesse ses fausses déclarations d'affiliation avec des entités ou des employés du gouvernement américain. OMICS a répondu aux critiques en avouant un engagement d'ouvrir l'édition d'accès et menaçant un éminent critique avec un 1 milliard $ US procès [...] Les auteurs de certains des journaux du groupe Omics paient une taxe de publication allant jusqu'à $3,600. [...]</ref>. |