| A la place des électrodes, on trouve souvent aussi des gants, des chaussettes, des capuches, des coussins, des couvertures, des matelas en textile avec des fils éléctriques. Les électrodes sont parfois qualifiées de "détecteurs". | | A la place des électrodes, on trouve souvent aussi des gants, des chaussettes, des capuches, des coussins, des couvertures, des matelas en textile avec des fils éléctriques. Les électrodes sont parfois qualifiées de "détecteurs". |
− | D'autres appareils utilisent des fonctions supplémentaires pour "énérgetiser" ou "tester" de substances. Il serait possible, via un gobelet métallique, de transferer des "informations" d'une substance (salive, sang, urine, antibiotique, aspirine, etc.) vers une autre substance, par exemple une bouteille d'eau. Des ''"vibrations"'' contenues dans certaines substances pourront ainsi être utilisées pour guérir des maladies. Une philosophie très proche de l'homéopathie ou de la médecine d'information. Les constructeurs ne livrent à ce sujet que des données floues et contradictoires par rapport à ces vibrations de substances. Un producteur affirme qu'il s'agirait ''"des vibrations dans le domaine des bioénérgies", qui ne sont pas mesurables au stade actuel de la recherche de la physique, tout comme les ondes de la géobiologie qu'on ne rend que visibles par une baguette de sourcier."'' Cependant, même si la science ne trouve aucune explication, car elle est à ce jour incapable de mesurer ces ''"vibrations quantiques",'' les producteurs des appareils de biorésonance, eux, arriveraient à utiliser et à diriger ces signaux par une simple technologie éléctronique. Leur publicité se vante que ces appareils emmagasineraient les "fréquences modèles" des médicaments ou des modèles de thérapies pour l'ensemble des maladies humaines. Sans doute par allusion au gen-code de l'être humain, les producteurs auraient fait des recherches pour déterminer des millions de fréquences du corps humain. Ils arriveraient à influencer pratiquement chaque cellule du corps par une fréquence précise. | + | D'autres appareils utilisent des fonctions supplémentaires pour "énérgetiser" ou "tester" des substances. Il serait possible, via un gobelet métallique, de transferer des "informations" d'une substance (salive, sang, urine, antibiotique, aspirine, etc.) vers une autre substance, par exemple une bouteille d'eau. Des ''"vibrations"'' contenues dans certaines substances pourront ainsi être utilisées pour guérir des maladies. Une philosophie très proche de l'[[homéopathie]] ou de la médecine d'information. Les constructeurs ne livrent à ce sujet que des données floues et contradictoires par rapport à ces vibrations des substances. Un fabricant affirme qu'il s'agirait ''"de vibrations dans le domaine des bioénérgies", qui, cependant, se laissent objectivement aussi peu percevoir et mesurer dans l'état actuel de la physique, que, par exemple, les dits rayonnements terrestres perceptibles avec une baguette de sourcier."'' Cependant, même si la science ne trouve aucune explication, car elle est à ce jour incapable de mesurer ces ''"vibrations quantiques",'' les producteurs des appareils de biorésonance, eux, arriveraient à utiliser et à diriger ces signaux par une simple technologie éléctronique. Leur publicité se vante que ces appareils emmagasineraient les "fréquences modèles" des médicaments ou des modèles de thérapies pour l'ensemble des maladies humaines. Sans doute par allusion au gen-code de l'être humain, les producteurs auraient fait des recherches pour déterminer des millions de fréquences du corps humain. Ils arriveraient à influencer pratiquement chaque cellule du corps par une fréquence précise. |