| *''En science, le fardeau de la preuve revient à celui qui affirme et plus une affirmation est extraordinaire, plus grand est le fardeau de la preuve demandé. Le vrai sceptique a une attitude agnostique, c'est-à-dire qu'il considère une affirmation non-prouvée plutôt que démontrée fausse. Il prétend que l'affirmation n'a pas été prouvée et que la science doit continuer à construire ses cartes conceptuelles cognitives d'analyse de la réalité sans tenir compte de l'affirmation. Tant que le vrai sceptique ne fait pas d'affirmation, il n'a rien à prouver. Il ne fait que continuer à utiliser les théories scientifiques établies par les sciences conventionnelles. Cependant, si la critique affirme que l'affirmation a été démontrée fausse, qu'il a une hypothèse négative - disons, par exemple, qu'un résultat d'un test psi est dû à un artefact, il fait une affirmation et doit alors fournir la preuve de son assertion[...]''<ref>Marcello Truzzi, On Pseudo-Skepticism</ref> | | *''En science, le fardeau de la preuve revient à celui qui affirme et plus une affirmation est extraordinaire, plus grand est le fardeau de la preuve demandé. Le vrai sceptique a une attitude agnostique, c'est-à-dire qu'il considère une affirmation non-prouvée plutôt que démontrée fausse. Il prétend que l'affirmation n'a pas été prouvée et que la science doit continuer à construire ses cartes conceptuelles cognitives d'analyse de la réalité sans tenir compte de l'affirmation. Tant que le vrai sceptique ne fait pas d'affirmation, il n'a rien à prouver. Il ne fait que continuer à utiliser les théories scientifiques établies par les sciences conventionnelles. Cependant, si la critique affirme que l'affirmation a été démontrée fausse, qu'il a une hypothèse négative - disons, par exemple, qu'un résultat d'un test psi est dû à un artefact, il fait une affirmation et doit alors fournir la preuve de son assertion[...]''<ref>Marcello Truzzi, On Pseudo-Skepticism</ref> |