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Revenons au commentaire de Christian Perronne à propos del'article "Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease". Il faut signaler ici qu'il y avait en fait trois commentaires de l'article, outre celui de Perronne, un de Stella Huyshe-Shires et un de Carl Tuttle, car les auteurs de l'article ont répondu globalement à leurs trois détracteurs.<br><br>
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Revenons au commentaire de Christian Perronne à propos del'article "''Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease''". Il faut signaler ici qu'il y avait en fait trois commentaires de l'article, outre celui de Perronne, un de Stella Huyshe-Shires et un de Carl Tuttle, car les auteurs de l'article ont répondu globalement à leurs trois détracteurs.<br><br>
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Commentaire de Perronne (traduction DeepL) :<br><br>Paul Auwaerter et ses collègues1 comparent certains activistes de la maladie de Lyme qui utilisent des arguments non fondés sur des preuves à des extrémistes anti-VIH ou antivaccination. Leur point de vue personnel montre que la pensée non scientifique et les mauvaises pratiques existent dans de nombreuses spécialités. Cette approche a malheureusement entraîné la suppression d'un débat scientifique légitime et nécessaire sur la prise en charge des syndromes d'étiologie incertaine, qui surviennent parfois après un épisode avéré de maladie de Lyme ou de piqûres de tiques. Les recommandations de santé publique doivent s'appuyer sur des données factuelles solides et non sur des avis d'experts, comme le montre l'examen2 des lignes directrices de l'Infectious Disease Society of America par Lee et Vielmeyer dans le cas de la maladie de Lyme.<br>Les tests sérologiques recommandés pour la maladie de Lyme présentent une sensibilité très variable. Comme il n'existe pas de norme de référence fiable, telle qu'un score clinique spécifique, une culture ou une PCR, les seuils de ces tests sont décidés avec des donneurs sains et calculés de manière arbitraire. Plusieurs études ont montré que les cas de maladie de Lyme séronégatifs peuvent être prouvés par culture ou PCR. Des patients séronégatifs ont été inclus comme cas de maladie de Lyme dans un essai clinique majeur.3<br>Une autre difficulté réside dans le fait que, bien que de nombreuses variantes et de nouvelles espèces de Borrelia soient régulièrement découvertes, la plupart des tests commerciaux reposent sur l'isolat original B31 de Borrelia burgdorferi du Massachusetts, utilisé depuis 1982. Des experts écossais ont toutefois réussi à améliorer la sensibilité de leurs tests avec des souches locales de Borrelia spp.4 Au Brésil, on a également décrit un syndrome de type Lyme dû à un spirochète non cultivable - et non à une espèce de Borrelia - et qui n'est donc pas détecté par les tests sérologiques actuels.5<br>En outre, des études évaluées par des pairs montrent que d'autres infections bactériennes, virales ou parasitaires peuvent contribuer aux syndromes associés à la maladie de Lyme ou à ses imitations. L'implication microbienne est activement étudiée dans d'autres pathologies bien connues mais mal comprises. Par exemple, le rôle possible des spirochètes, dont B burgdorferi, fait l'objet de recherches sur la physiopathologie de la maladie d'Alzheimer6.<br>Les syndromes sans cause claire ni preuve objective ne devraient plus être appelés maladie de Lyme chronique. Ces syndromes sont probablement causés par plusieurs facteurs; par conséquent, les étiologies infectieuses et non infectieuses doivent être prises en compte. Limiter le débat à la seule maladie de Lyme est très improductif, car il est peu probable que cette maladie soit l'explication universelle des maux persistants de nos patients. Ces syndromes avec une possible implication microbienne doivent être étudiés avec les meilleurs tests disponibles et avec un esprit scientifique neuf et ouvert.
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Commentaire de Perronne (traduction DeepL) :<br><br>Paul Auwaerter et ses collègues1 comparent certains activistes de la maladie de Lyme qui utilisent des arguments non fondés sur des preuves à des extrémistes anti-VIH ou antivaccination. Leur point de vue personnel montre que la pensée non scientifique et les mauvaises pratiques existent dans de nombreuses spécialités. Cette approche a malheureusement entraîné la suppression d'un débat scientifique légitime et nécessaire sur la prise en charge des syndromes d'étiologie incertaine, qui surviennent parfois après un épisode avéré de maladie de Lyme ou de piqûres de tiques. Les recommandations de santé publique doivent s'appuyer sur des données factuelles solides et non sur des avis d'experts, comme le montre l'examen 2 des lignes directrices de l'Infectious Disease Society of America par Lee et Vielmeyer dans le cas de la maladie de Lyme.<br>Les tests sérologiques recommandés pour la maladie de Lyme présentent une sensibilité très variable. Comme il n'existe pas de norme de référence fiable, telle qu'un score clinique spécifique, une culture ou une PCR, les seuils de ces tests sont décidés avec des donneurs sains et calculés de manière arbitraire. Plusieurs études ont montré que les cas de maladie de Lyme séronégatifs peuvent être prouvés par culture ou PCR. Des patients séronégatifs ont été inclus comme cas de maladie de Lyme dans un essai clinique majeur. 3<br>Une autre difficulté réside dans le fait que, bien que de nombreuses variantes et de nouvelles espèces de Borrelia soient régulièrement découvertes, la plupart des tests commerciaux reposent sur l'isolat original B31 de Borrelia burgdorferi du Massachusetts, utilisé depuis 1982. Des experts écossais ont toutefois réussi à améliorer la sensibilité de leurs tests avec des souches locales de Borrelia spp.4 Au Brésil, on a également décrit un syndrome de type Lyme dû à un spirochète non cultivable - et non à une espèce de Borrelia - et qui n'est donc pas détecté par les tests sérologiques actuels. 5<br>En outre, des études évaluées par des pairs montrent que d'autres infections bactériennes, virales ou parasitaires peuvent contribuer aux syndromes associés à la maladie de Lyme ou à ses imitations. L'implication microbienne est activement étudiée dans d'autres pathologies bien connues mais mal comprises. Par exemple, le rôle possible des spirochètes, dont B burgdorferi, fait l'objet de recherches sur la physiopathologie de la maladie d'Alzheimer 6.<br>Les syndromes sans cause claire ni preuve objective ne devraient plus être appelés maladie de Lyme chronique. Ces syndromes sont probablement causés par plusieurs facteurs; par conséquent, les étiologies infectieuses et non infectieuses doivent être prises en compte. Limiter le débat à la seule maladie de Lyme est très improductif, car il est peu probable que cette maladie soit l'explication universelle des maux persistants de nos patients. Ces syndromes avec une possible implication microbienne doivent être étudiés avec les meilleurs tests disponibles et avec un esprit scientifique neuf et ouvert.
    
Je déclare n'avoir aucun conflit d'intérêt.
 
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Assistance Publique-Hôpitaux de Paris, Université de Versailles-St Quentin de Versailles-St Quentin, 92380 Garches, France<br>
 
Assistance Publique-Hôpitaux de Paris, Université de Versailles-St Quentin de Versailles-St Quentin, 92380 Garches, France<br>
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Les références citées par Perronne à l'appui de son commentaire:<br>
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Les références citées par Perronne à l'appui de son commentaire:<br><br>
 
1 Auwaerter PG, Bakken JS, Dattwyler RJ, et al.<br>
 
1 Auwaerter PG, Bakken JS, Dattwyler RJ, et al.<br>
 
Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease.<br>Lancet Infect Dis 2011 ; 11 : 713-19.<br>
 
Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease.<br>Lancet Infect Dis 2011 ; 11 : 713-19.<br>
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Réponse des anteurs:
 
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Bien que nous soutenions les efforts visant à éduquer les cliniciens et le public avec des informations de haute qualité fondées sur des preuves sur l'infection par Borrelia burgdorferi , les commentaires de Stella Huyshe-Shires concernant notre point de vue personnel suggèrent de manière trompeuse que le Royaume-Uni n'est pas entaché de préoccupations antiscientifiques. Un rapport de Cottle et ses collègues1ont montré que la plupart des patients référés à une unité de maladies infectieuses à Liverpool, au Royaume-Uni, pour la maladie de Lyme (n = 115) ne souffraient pas de cette maladie. Sur 38 patients atteints du syndrome de fatigue chronique, 45 % ont été incorrectement étiquetés comme souffrant de la [[maladie de Lyme chronique]] par les praticiens alternatifs. Ces patients avaient reçu des antibiotiques inutiles au lieu d'autres stratégies de prise en charge ciblées, ce qui conforte l'idée selon laquelle un surdiagnostic et une prise en charge inappropriée de la maladie de Lyme se produisent également au Royaume-Uni et renforce les inquiétudes citées par la British Infection Association.
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Bien que nous soutenions les efforts visant à éduquer les cliniciens et le public avec des informations de haute qualité fondées sur des preuves sur l'infection par Borrelia burgdorferi, les commentaires de Stella Huyshe-Shires concernant notre point de vue personnel suggèrent de manière trompeuse que le Royaume-Uni n'est pas entaché de préoccupations antiscientifiques. Un rapport de Cottle et ses collègues 1 ont montré que la plupart des patients référés à une unité de maladies infectieuses à Liverpool, au Royaume-Uni, pour la maladie de Lyme (n = 115) ne souffraient pas de cette maladie. Sur 38 patients atteints du syndrome de fatigue chronique, 45 % ont été incorrectement étiquetés comme souffrant de la [[maladie de Lyme chronique]] par les praticiens alternatifs. Ces patients avaient reçu des antibiotiques inutiles au lieu d'autres stratégies de prise en charge ciblées, ce qui conforte l'idée selon laquelle un surdiagnostic et une prise en charge inappropriée de la maladie de Lyme se produisent également au Royaume-Uni et renforce les inquiétudes citées par la British Infection Association.
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Christian Perronne et Carl Tuttle estiment que les tests sérologiques actuels pour B burgdorferi sont inexacts. Bien que le système immunitaire humain puisse mettre 2 à 3 semaines pour produire des concentrations détectables d’anticorps dans les premières phases de la maladie de Lyme, ce retard est également signalé dans de nombreuses autres infections bactériennes. Ce délai ne nie en rien l’utilité de la sérologie à deux niveaux, qui donne des résultats fiables dans les symptômes ultérieurs de la maladie de Lyme, notamment l’arthrite et les manifestations neurologiques. Plutôt que de demander aux gens de défendre cette approche bien validée et utilisée depuis plus de 15 ans, les critiques devraient être obligés de fournir des preuves de qualité qui soutiennent soit leur diagnostic, soit leur traitement de la [[maladie de Lyme chronique]].2 De plus, les recommandations pour la maladie de Lyme dans les lignes directrices de l'Infectious Diseases Society of America (IDSA) ne sont pas basées sur l'opinion d'experts mais plutôt sur des preuves de niveau I provenant d'essais contrôlés randomisés pour des questions cliniques importantes, telles que le traitement défini pour la maladie de Lyme précoce ou tardive et mauvaise efficacité des antibiotiques dans le syndrome post-maladie de Lyme.
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Christian Perronne et Carl Tuttle estiment que les tests sérologiques actuels pour B burgdorferi sont inexacts. Bien que le système immunitaire humain puisse mettre 2 à 3 semaines pour produire des concentrations détectables d’anticorps dans les premières phases de la maladie de Lyme, ce retard est également signalé dans de nombreuses autres infections bactériennes. Ce délai ne nie en rien l’utilité de la sérologie à deux niveaux, qui donne des résultats fiables dans les symptômes ultérieurs de la maladie de Lyme, notamment l’arthrite et les manifestations neurologiques. Plutôt que de demander aux gens de défendre cette approche bien validée et utilisée depuis plus de 15 ans, les critiques devraient être obligés de fournir des preuves de qualité qui soutiennent soit leur diagnostic, soit leur traitement de la [[maladie de Lyme chronique]]. 2 De plus, les recommandations pour la maladie de Lyme dans les lignes directrices de l'Infectious Diseases Society of America (IDSA) ne sont pas basées sur l'opinion d'experts mais plutôt sur des preuves de niveau I provenant d'essais contrôlés randomisés pour des questions cliniques importantes, telles que le traitement défini pour la maladie de Lyme précoce ou tardive et mauvaise efficacité des antibiotiques dans le syndrome post-maladie de Lyme.
Après que les lignes directrices de l'IDSA 2006 pour le diagnostic et la prise en charge de la maladie de Lyme aient été contestées, un comité d'examen scientifique indépendant a décidé que les recommandations devaient rester inchangées.3 Il existe peu de soutien clinique ou scientifique à la notion de [[maladie de Lyme chronique]], qui, à juste titre, n’a pas gagné du terrain auprès de la plupart des médecins praticiens. Par exemple, dans le Connecticut, seulement 2 % des prestataires de soins primaires utilisent ce diagnostic, bien que la maladie de Lyme soit endémique dans l'État.4 Par conséquent, les médecins reconnaissent la valeur des preuves scientifiques par rapport aux efforts législatifs et aux postures politiques des États. Nous encourageons un débat scientifique approfondi sur les questions liées à la maladie de Lyme, mais nous sommes convaincus que les pratiques non scientifiques qui mettent les patients en danger avec peu de bénéfices ne devraient être ni encouragées ni tolérées. Les symptômes vagues tels que la douleur chronique, la fatigue et les troubles neurocognitifs sont mal compris par la médecine moderne mais sont au centre de ce débat. L’attrait d’un diagnostic inexact de la [[maladie de Lyme chronique]] qui peut être guérie par un traitement antibiotique empêche les approches rationnelles du diagnostic et du traitement, même lorsque cela implique principalement des thérapies de soutien plutôt que définitives. Comme le soutient Perronne, les énergies devraient être dirigées vers la compréhension de ces conditions persistantes, probablement hétérogènes, et vers le développement de traitements efficaces prouvés par des essais bien conçus.<br><br>PGA a participé à des témoignages d'experts dans deux poursuites médico-légales concernant une éventuelle maladie de Lyme. RJD est copropriétaire et détient des actions dans Biopeptides Corporation, a reçu une subvention des National Institutes of Health pour le développement de nouveaux tests sérologiques pour le diagnostic de la maladie de Lyme et détient un brevet et un brevet en instance pour un agent de diagnostic peptidique de la maladie de Lyme. maladie. JJH a servi de témoin expert dans plusieurs affaires médicolégales concernant la maladie de Lyme et détient des participations dans Abbott, Bristol-Myers Squibb, Johnson and Johnson et Merck ; aucun produit de ces sociétés n’est mentionné dans cette lettre. RBN a servi de témoin expert dans un litige pour faute professionnelle impliquant la maladie de Lyme et a agi en tant que consultant pour Guidepoint Global, fournissant des conseils sur la maladie de Lyme. SO a fourni un témoignage d’expert non rémunéré lors d’une audience sur l’aptitude à exercer pour le Conseil médical général. EDS et GPW ont été des témoins experts dans des cas de faute professionnelle impliquant la maladie de Lyme et sont membres non rémunérés du conseil d'administration de l'America Lyme Disease Foundation. GPW a reçu des subventions de recherche des Centers for Disease Control and Protection, des National Institutes of Health, Immunetics, BioRad, DiaSorin et Biomerieux ; détient des actions dans Abbott (qui ne possède aucun produit approuvé pour la maladie de Lyme) ; et a été témoin expert dans une action disciplinaire pour le Missouri Board of Registration for the Healing Arts. Les autres auteurs déclarent n’avoir aucun conflit d’intérêts.
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Après que les lignes directrices de l'IDSA 2006 pour le diagnostic et la prise en charge de la maladie de Lyme aient été contestées, un comité d'examen scientifique indépendant a décidé que les recommandations devaient rester inchangées. 3 Il existe peu de soutien clinique ou scientifique à la notion de [[maladie de Lyme chronique]], qui, à juste titre, n’a pas gagné du terrain auprès de la plupart des médecins praticiens. Par exemple, dans le Connecticut, seulement 2 % des prestataires de soins primaires utilisent ce diagnostic, bien que la maladie de Lyme soit endémique dans l'État. 4 Par conséquent, les médecins reconnaissent la valeur des preuves scientifiques par rapport aux efforts législatifs et aux postures politiques des États. Nous encourageons un débat scientifique approfondi sur les questions liées à la maladie de Lyme, mais nous sommes convaincus que les pratiques non scientifiques qui mettent les patients en danger avec peu de bénéfices ne devraient être ni encouragées ni tolérées. Les symptômes vagues tels que la douleur chronique, la fatigue et les troubles neurocognitifs sont mal compris par la médecine moderne mais sont au centre de ce débat. L’attrait d’un diagnostic inexact de la [[maladie de Lyme chronique]] qui peut être guérie par un traitement antibiotique empêche les approches rationnelles du diagnostic et du traitement, même lorsque cela implique principalement des thérapies de soutien plutôt que définitives. Comme le soutient Perronne, les énergies devraient être dirigées vers la compréhension de ces conditions persistantes, probablement hétérogènes, et vers le développement de traitements efficaces prouvés par des essais bien conçus.<br><br>PGA a participé à des témoignages d'experts dans deux poursuites médico-légales concernant une éventuelle maladie de Lyme. RJD est copropriétaire et détient des actions dans Biopeptides Corporation, a reçu une subvention des National Institutes of Health pour le développement de nouveaux tests sérologiques pour le diagnostic de la maladie de Lyme et détient un brevet et un brevet en instance pour un agent de diagnostic peptidique de la maladie de Lyme. maladie. JJH a servi de témoin expert dans plusieurs affaires médicolégales concernant la maladie de Lyme et détient des participations dans Abbott, Bristol-Myers Squibb, Johnson and Johnson et Merck ; aucun produit de ces sociétés n’est mentionné dans cette lettre. RBN a servi de témoin expert dans un litige pour faute professionnelle impliquant la maladie de Lyme et a agi en tant que consultant pour Guidepoint Global, fournissant des conseils sur la maladie de Lyme. SO a fourni un témoignage d’expert non rémunéré lors d’une audience sur l’aptitude à exercer pour le Conseil médical général. EDS et GPW ont été des témoins experts dans des cas de faute professionnelle impliquant la maladie de Lyme et sont membres non rémunérés du conseil d'administration de l'America Lyme Disease Foundation. GPW a reçu des subventions de recherche des Centers for Disease Control and Protection, des National Institutes of Health, Immunetics, BioRad, DiaSorin et Biomerieux ; détient des actions dans Abbott (qui ne possède aucun produit approuvé pour la maladie de Lyme) ; et a été témoin expert dans une action disciplinaire pour le Missouri Board of Registration for the Healing Arts. Les autres auteurs déclarent n’avoir aucun conflit d’intérêts.
Les références
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1.Cottle LEMekonnen E.Beadworth MBMiller ARHêtre NJ
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Les références<br>
Maladie de Lyme dans une clinique de référence britannique.
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1.Cottle LEMekonnen E.Beadworth MBMiller ARHêtre NJ<br>
QJM. 2012 ;( publié en ligne le 1er février.)
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Maladie de Lyme dans une clinique de référence britannique.<br>
https://doi.org/10.1093/qjmed/hcs003
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QJM. 2012 ;( publié en ligne le 1er février.)<br>
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https://doi.org/10.1093/qjmed/hcs003<br>
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2.Feder Jr, HMJohnson B.J.O'Connell Set coll.
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2.Feder Jr, HMJohnson B.J.O'Connell Set coll.<br>
Une évaluation critique de la « maladie de Lyme chronique ».
+
Une évaluation critique de la « maladie de Lyme chronique ».<br>
Nouvel Anglais J Med. 2007 ; 357 : 1422-1430
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Nouvel Anglais J Med. 2007 ; 357 : 1422-1430<br>
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Référence croisée<br>
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3.Lantos PMCharini WAMedoff G.et coll.
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3.Lantos PMCharini WAMedoff G.et coll.<br>
Rapport final du comité d'examen de la maladie de Lyme de l'Infectious Diseases Society of America.
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Rapport final du comité d'examen de la maladie de Lyme de l'Infectious Diseases Society of America.<br>
Clin Infect Dis. 2010 ; 51 : 1-5
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Clin Infect Dis. 2010 ; 51 : 1-5<br>
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4.Johnson M.Feder Jr, HM
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4.Johnson M.Feder Jr, HM<br>
Maladie de Lyme chronique : une enquête auprès des médecins de soins primaires du Connecticut.
+
Maladie de Lyme chronique : une enquête auprès des médecins de soins primaires du Connecticut.<br>
J Pédiatre. 2010 ; 157 : 1025-1029
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J Pédiatre. 2010 ; 157 : 1025-1029<br>
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Publié : mai 2012
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Publié : mai 2012<br>
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DOOI : https://doi.org/10.1016/S1473-3099(12)70056-7
 
DOOI : https://doi.org/10.1016/S1473-3099(12)70056-7
  
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