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| [référence figurant dans le document '''<ref>https://www.mississauga.com/news-story/3142346-doctor-s-files-seized-by-college/</ref>''']<br>Les enquêteurs du Collège des médecins et chirurgiens ont demandé hier les dossiers des patients d'un médecin de Mississauga dont les méthodes de traitement controversées lui ont de nouveau attiré des ennuis [ou l'ont de nouveau mis sur la sellette, dans le pétrin]. Le docteur Jozef Krop, médecin généraliste et défenseur controversé de la "médecine environnementale", risque de perdre sa licence médicale après que le Collège ait ouvert une enquête sur son traitement de la maladie de Lyme chronique. | | [référence figurant dans le document '''<ref>https://www.mississauga.com/news-story/3142346-doctor-s-files-seized-by-college/</ref>''']<br>Les enquêteurs du Collège des médecins et chirurgiens ont demandé hier les dossiers des patients d'un médecin de Mississauga dont les méthodes de traitement controversées lui ont de nouveau attiré des ennuis [ou l'ont de nouveau mis sur la sellette, dans le pétrin]. Le docteur Jozef Krop, médecin généraliste et défenseur controversé de la "médecine environnementale", risque de perdre sa licence médicale après que le Collège ait ouvert une enquête sur son traitement de la maladie de Lyme chronique. |
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− | Comme ils quittaient le bureau [le cabinet] avec 20 dossiers, plus de 50 des patients de Krop - la plupart de ce qui sont traités pour la maladie de Lyme chronique - regardaient en silence. Ils étaient venus apporter leur soutien au docteur formé en Pologne qui fait maintenant face à sa deuxième enquête majeure pour des méthodes de traitement alternatives. En 1999, le Collège a trouvé Krop coupable d'inconduite professionnelle. Il s'ensuivit en 1994 des accusations de manquement au respect des normes d'exercice de la profession et de conduite honteuse, déshonorante ou non professionnelle, faisant de lui en quelque sorte un nom très connu dans la profession médicale pendant les années 1990. | + | Comme ils quittaient le bureau [le cabinet] avec 20 dossiers, plus de 50 des patients de Krop - la plupart de ce qui sont traités pour la [[maladie de Lyme chronique]] - regardaient en silence. Ils étaient venus apporter leur soutien au docteur formé en Pologne qui fait maintenant face à sa deuxième enquête majeure pour des méthodes de traitement alternatives. En 1999, le Collège a trouvé Krop coupable d'inconduite professionnelle. Il s'ensuivit en 1994 des accusations de manquement au respect des normes d'exercice de la profession et de conduite honteuse, déshonorante ou non professionnelle, faisant de lui en quelque sorte un nom très connu dans la profession médicale pendant les années 1990. |
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| '''20 septembre 2008'''. [[Joseph Burrascano]] (Voir à 23 avril 2002). (Profil du médecin du NYS [de l'Ètat de New York]- Domaine de médecine: Ne pratique pas activement [en clair: n'exerce pas]; Emplacements de bureau: Aucun d'indiqué)<br>Ci-dessous, quelques perles de sagesse médicale tirée de sa présentation sans données, sans références : "Lyme plus les co-infections ont commencé la cascade qui est allée si loin, [qu']elle ne pouvait pas être arrêtée seulement en tuant la bactérie", "Lyme et certaines co-infections produisent des toxines", "Tout d'abord, une évaluation médicale minutieuse pour enlever "œillères de Lyme" !!!", " Attendez-vous à [être avec] des traitements pour Lyme pendant des mois à des années", "Traiter la bartonella avant le babesia", "Le Mycoplasma est la source des pires cas de Lyme", " [Et] toujours, [il y a] des problèmes politiques épouvantables".<br>Espèrons que personne n'a payé pour entendre tout ce galimatias.<br>[référence figurant dans le document<ref>http://lymepa.org/html/ldasepa_slide_presentations.html</ref><br>[Remarque de Psiram: dans la première diapositive du document (de septembre 2008) "PDF of slides for printing -7 pages" à charger pour impression , il est précisé que [[Joseph Burrascano|Joseph J. Burrascano Jr.]] M.D. est ''Director, International Lyme and Associated Diseases'' et ''Director, Advanced Diseases Corp''.<ref>http://lymepa.org/What-s_new-_Slides_Sept_2008.pdf</ref>] | | '''20 septembre 2008'''. [[Joseph Burrascano]] (Voir à 23 avril 2002). (Profil du médecin du NYS [de l'Ètat de New York]- Domaine de médecine: Ne pratique pas activement [en clair: n'exerce pas]; Emplacements de bureau: Aucun d'indiqué)<br>Ci-dessous, quelques perles de sagesse médicale tirée de sa présentation sans données, sans références : "Lyme plus les co-infections ont commencé la cascade qui est allée si loin, [qu']elle ne pouvait pas être arrêtée seulement en tuant la bactérie", "Lyme et certaines co-infections produisent des toxines", "Tout d'abord, une évaluation médicale minutieuse pour enlever "œillères de Lyme" !!!", " Attendez-vous à [être avec] des traitements pour Lyme pendant des mois à des années", "Traiter la bartonella avant le babesia", "Le Mycoplasma est la source des pires cas de Lyme", " [Et] toujours, [il y a] des problèmes politiques épouvantables".<br>Espèrons que personne n'a payé pour entendre tout ce galimatias.<br>[référence figurant dans le document<ref>http://lymepa.org/html/ldasepa_slide_presentations.html</ref><br>[Remarque de Psiram: dans la première diapositive du document (de septembre 2008) "PDF of slides for printing -7 pages" à charger pour impression , il est précisé que [[Joseph Burrascano|Joseph J. Burrascano Jr.]] M.D. est ''Director, International Lyme and Associated Diseases'' et ''Director, Advanced Diseases Corp''.<ref>http://lymepa.org/What-s_new-_Slides_Sept_2008.pdf</ref>] |
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| '''5 septembre 2008'''. Partie d'une lettre de 9 pages de [[Charles Ray Jones]] (Ct.) à ses généreux fans, "Je voudrais vous mettre au courant de l'état des fonds [qui ont été levés] pour ma défense juridique ainsi que des accusations actuelles devant le conseil des médecins auxquelles je suis confronté au Connecticut. Il est important que les gens comprennent combien ce cas est important, non seulement pour mon cabinet [médical], mais pour la communauté Lyme en général et les diverses démarches légales en cours de la part de mon équipe de défense juridique". "En dernier lieu, j'aborderai les questions spécifiques qui se sont présentées, par exemple, ma couverture d'assurance pour faute professionnelle".<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.publichealthalert.org/Articles/miscellaneous/A%20Letter%20from%20Dr. | | '''5 septembre 2008'''. Partie d'une lettre de 9 pages de [[Charles Ray Jones]] (Ct.) à ses généreux fans, "Je voudrais vous mettre au courant de l'état des fonds [qui ont été levés] pour ma défense juridique ainsi que des accusations actuelles devant le conseil des médecins auxquelles je suis confronté au Connecticut. Il est important que les gens comprennent combien ce cas est important, non seulement pour mon cabinet [médical], mais pour la communauté Lyme en général et les diverses démarches légales en cours de la part de mon équipe de défense juridique". "En dernier lieu, j'aborderai les questions spécifiques qui se sont présentées, par exemple, ma couverture d'assurance pour faute professionnelle".<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.publichealthalert.org/Articles/miscellaneous/A%20Letter%20from%20Dr. |
− | %20Charles%20Ray%20Jones.html</ref>, cependant la lettre a été supprimée. Mais Charles Ray Jones continue à solliciter des dons, en novembre 2013, il sollicite 23 000 $ <ref>https://www.lymedisease.org/news-dr-charles-ray-jones-still-in-precarious-financial-position-2/</ref>, puis de nouveau "''En fait, 50 000 $ sont nécessaires d'ici le 1/8/2014!''" <ref>http://www.mdjunction.com/forums/lyme-disease-support-forums/llmd-info/11196355-50000-needed-immediately-to-keep-dr-charles-ray-jones-connkid</ref>] | + | %20Charles%20Ray%20Jones.html</ref>, cependant la lettre a été supprimée. Mais [[Charles Ray Jones]] continue à solliciter des dons, en novembre 2013, il sollicite 23 000 $ <ref>https://www.lymedisease.org/news-dr-charles-ray-jones-still-in-precarious-financial-position-2/</ref>, puis de nouveau "''En fait, 50 000 $ sont nécessaires d'ici le 1/8/2014!''" <ref>http://www.mdjunction.com/forums/lyme-disease-support-forums/llmd-info/11196355-50000-needed-immediately-to-keep-dr-charles-ray-jones-connkid</ref>] |
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− | '''7 juillet 2008'''. Partie d'une lettre d'appel de Jones: "Urgent! Je dois lever 90 000 $ d'ici le 14 juillet 2008 et 110 000 $ supplémentaires d'ici le 10 août afin de conserver l'équipe juridique qui m'a représenté. Si ces sommes ne sont pas réunies, je ne pourrai pas continuer à me défendre des accusations portées contre moi par le Département de la santé publique du Connecticut pour le traitement d'enfants atteints de la maladie de Lyme et je crains que je ne sois forcé par le Conseil d'examen médical du Connecticut de renoncer à ma licence à pratiquer la médecine et à prendre ma retraite. Cela ne doit pas se produire!" | + | '''7 juillet 2008'''. Partie d'une lettre d'appel de [[Charles Ray Jones|Jones]]: "Urgent! Je dois lever 90 000 $ d'ici le 14 juillet 2008 et 110 000 $ supplémentaires d'ici le 10 août afin de conserver l'équipe juridique qui m'a représenté. Si ces sommes ne sont pas réunies, je ne pourrai pas continuer à me défendre des accusations portées contre moi par le Département de la santé publique du Connecticut pour le traitement d'enfants atteints de la [[maladie de Lyme]] et je crains que je ne sois forcé par le Conseil d'examen médical du Connecticut de renoncer à ma licence à pratiquer la médecine et à prendre ma retraite. Cela ne doit pas se produire!" |
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| '''2 mai 2008'''. Audience signalée au sujet d'une "nouvelle série d'accusations intentées contre lui [Charles Ray Jones] par le CT DPH ... "<br>[Remarque de Psiram: le CT DPH est le Connecticut Department of Public Health, c.a.d. le Département de Santé Publique du Connecticut. Voir la décision du 10 juin 2011 publiée par le Superior Court of Connecticut (Tribunal Supérieur du Connecticut) dans l'affaire "[[Charles Ray Jones]] v. Connecticut Medical Examining Board" <ref>http://caselaw.findlaw.com/ct-superior-court/1574453.html</ref>] | | '''2 mai 2008'''. Audience signalée au sujet d'une "nouvelle série d'accusations intentées contre lui [Charles Ray Jones] par le CT DPH ... "<br>[Remarque de Psiram: le CT DPH est le Connecticut Department of Public Health, c.a.d. le Département de Santé Publique du Connecticut. Voir la décision du 10 juin 2011 publiée par le Superior Court of Connecticut (Tribunal Supérieur du Connecticut) dans l'affaire "[[Charles Ray Jones]] v. Connecticut Medical Examining Board" <ref>http://caselaw.findlaw.com/ct-superior-court/1574453.html</ref>] |
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− | '''24 janvier 2008'''. Atlanta Journal-Constitution. Un médecin de Stone Mountain, initialement accusé d'avoir injecté à ses patients du désherbant de qualité commerciale, a été condamné jeudi à cinq ans de probation pour fraude en matière de soins de santé. Totada R. Shanthaveerappa, 73 ans, qui a été suspendu par la Conseil des licences médicales de l'État après son inculpation en 2005, a traité des patients en phase terminale dans sa clinique à Stockbridge. Il a plaidé coupable en octobre d'avoir fraudé les compagnies d'assurance pour un montant de 650 000 $ en présentant des demandes fausses et trompeuses. Parmi les accusations initiales de Shanthaveerappa, il y avait d'avoir illégalement administré aux patients du Dinitrophénol (DNP), un herbicide et insecticide. Mais Shanthaveerappa n'a pas plaidé à cette accusation. Samuel [l'avocat de Shanthaveerappa] a décaré que le médecin avait donné du DNP à cinq patients qui avaient été diagnostiqués atteints de maladie de Lyme.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.casewatch.org/doj/shantha/indictment.shtml</ref>] | + | '''24 janvier 2008'''. Atlanta Journal-Constitution. Un médecin de Stone Mountain, initialement accusé d'avoir injecté à ses patients du désherbant de qualité commerciale, a été condamné jeudi à cinq ans de probation pour fraude en matière de soins de santé. Totada R. Shanthaveerappa, 73 ans, qui a été suspendu par la Conseil des licences médicales de l'État après son inculpation en 2005, a traité des patients en phase terminale dans sa clinique à Stockbridge. Il a plaidé coupable en octobre d'avoir fraudé les compagnies d'assurance pour un montant de 650 000 $ en présentant des demandes fausses et trompeuses. Parmi les accusations initiales de Shanthaveerappa, il y avait d'avoir illégalement administré aux patients du Dinitrophénol (DNP), un herbicide et insecticide. Mais Shanthaveerappa n'a pas plaidé à cette accusation. Samuel [l'avocat de Shanthaveerappa] a décaré que le médecin avait donné du DNP à cinq patients qui avaient été diagnostiqués atteints de [[maladie de Lyme]].<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.casewatch.org/doj/shantha/indictment.shtml</ref>] |
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− | '''19 décembre 2007'''. Newsweek. Un docteur puni pour le traitement de la maladie de Lyme. Les régulateurs du Connecticut réprimandent et infligent une amende à un pédiatre pour son traitement de la maladie de Lyme. Un pédiatre de New Haven — [[Charles Ray Jones]] — qui a été loué par les patients mais critiqué par l'établissement médical pour la façon dont il traite la maladie de Lyme a été réprimandé, condamné à une amende 10 000 $ et placé pendant deux ans sous probation par les régulateurs de l'État. | + | '''19 décembre 2007'''. Newsweek. Un docteur puni pour le traitement de la [[maladie de Lyme]]. Les régulateurs du Connecticut réprimandent et infligent une amende à un pédiatre pour son traitement de la [[maladie de Lyme]]. Un pédiatre de New Haven — [[Charles Ray Jones]] — qui a été loué par les patients mais critiqué par l'établissement médical pour la façon dont il traite la [[maladie de Lyme]] a été réprimandé, condamné à une amende 10 000 $ et placé pendant deux ans sous probation par les régulateurs de l'État. |
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− | '''23 novembre 2007'''. Topeka, KS (AP) - Un médecin de Topeka ne conteste pas l'accusation d'homicide involontaire par imprudence au sujet de la mort d'une femme qu'il soignait la maladie de Lyme en utilisant une méthode non autorisée. Toth a traité [des patients de lyme] avec une perfusion intraveineuse d'un « métal lourd » connu sous le nom de bismuth qui n'avait pas été approuvé pour une telle utilisation.<br>[lien mis dans le document sur le mot bismuth <ref>http://www.webmd.com/a-to-z-guides/news/20060721/fda-lyme-disease-compound-risky</ref>] | + | '''23 novembre 2007'''. Topeka, KS (AP) - Un médecin de Topeka ne conteste pas l'accusation d'homicide involontaire par imprudence au sujet de la mort d'une femme dont il soignait la [[maladie de Lyme]] en utilisant une méthode non autorisée. Toth a traité [des patients de lyme] avec une perfusion intraveineuse d'un « métal lourd » connu sous le nom de bismuth qui n'avait pas été approuvé pour une telle utilisation.<br>[lien mis dans le document sur le mot bismuth <ref>http://www.webmd.com/a-to-z-guides/news/20060721/fda-lyme-disease-compound-risky</ref>] |
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| '''13 mai 2007'''. Three Lakes, WI. Gregory Hoffmann, M.D. du Wisconsin, fait l'objet d'une enquête menée par le service de régulation et et d'octroi des licences [autorisation d'exercer] du Wisconsin et du Comité d'enquête médicale du Wisconsin pour son traitement de la maladie de Lyme.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.publichealthalert.org/Articles/pjlanghoff/wisconsin%20lyme%20doctor.html</ref>] | | '''13 mai 2007'''. Three Lakes, WI. Gregory Hoffmann, M.D. du Wisconsin, fait l'objet d'une enquête menée par le service de régulation et et d'octroi des licences [autorisation d'exercer] du Wisconsin et du Comité d'enquête médicale du Wisconsin pour son traitement de la maladie de Lyme.<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.publichealthalert.org/Articles/pjlanghoff/wisconsin%20lyme%20doctor.html</ref>] |
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| '''8 décembre 2006'''. Associated Press. Un médecin du New Jersey et son assistante ont été reconnus coupables vendredi de prendre des milliers de dollars de patients, promettant de les guérir de la maladie de Lou Gehrig avec une thérapie de cellules souches qu'ils n'ont pas faite ou n'ont pas été en mesure de faire. Un jury fédéral a trouvé Charlene DeMarco et son aide, Elizabeth Lerner, tous deux d'Egg Harbor City, coupables de tous les 11 chefs d'accusation dont ils étaient accusés, notamment de complot, fraude postale, fraude et blanchiment d'argent. [Note: DeMarco est connu pour son travail sur la maladie de Lyme et, en 2003, a été nommé au Conseil consultatif sur la maladie de Lyme du gouverneur].<br>[références figurant dans le document <ref>http://blog.nj.com/ledgerupdates/2007/09/nj_doctor_draws_prison_term_in.html N.J. doctor draws prison term in ALS patient fraud By The Associated Press on September 05, 2007</ref> <ref>https://www.justice.gov/sites/default/files/usao-nj/legacy/2013/11/29/FinalWebpage1114.pdf Voir la page 62 les 11 chefs d'accusation: un chef d'accusation de fraude par mail et [fraude par] informatique/électronique, trois chefs d'accusation de fraude par mail, six chefs d'accusation de fraude informatique/électronique et un chef d'accusation de blanchiment d'argent. [...] </ref>] | | '''8 décembre 2006'''. Associated Press. Un médecin du New Jersey et son assistante ont été reconnus coupables vendredi de prendre des milliers de dollars de patients, promettant de les guérir de la maladie de Lou Gehrig avec une thérapie de cellules souches qu'ils n'ont pas faite ou n'ont pas été en mesure de faire. Un jury fédéral a trouvé Charlene DeMarco et son aide, Elizabeth Lerner, tous deux d'Egg Harbor City, coupables de tous les 11 chefs d'accusation dont ils étaient accusés, notamment de complot, fraude postale, fraude et blanchiment d'argent. [Note: DeMarco est connu pour son travail sur la maladie de Lyme et, en 2003, a été nommé au Conseil consultatif sur la maladie de Lyme du gouverneur].<br>[références figurant dans le document <ref>http://blog.nj.com/ledgerupdates/2007/09/nj_doctor_draws_prison_term_in.html N.J. doctor draws prison term in ALS patient fraud By The Associated Press on September 05, 2007</ref> <ref>https://www.justice.gov/sites/default/files/usao-nj/legacy/2013/11/29/FinalWebpage1114.pdf Voir la page 62 les 11 chefs d'accusation: un chef d'accusation de fraude par mail et [fraude par] informatique/électronique, trois chefs d'accusation de fraude par mail, six chefs d'accusation de fraude informatique/électronique et un chef d'accusation de blanchiment d'argent. [...] </ref>] |
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− | '''Décembre 2006'''. Faute de diagnostic de tumeur: un 'traitement continu' s'appliquait-t-il?<br>(Cas de jurisprudence en matière de droit hospitalier du mois).<br>[Référence figurant dans le document <ref>http://www.entrepreneur.com/tradejournals/article/print/151661602.html</ref>, la page n'est plus disponible en 2017, il n'en reste qu'un résumé <ref>https://www.highbeam.com/doc/1G1-151661602.html</ref>]<br>JURISPRUDENCE EN LA MATIÈRE: Zielinski v. Kotsoris, 961 A.2d 1207, 279 Conn. 312 -CT (2006)<br>FAITS SUR L'AFFAIRE: Le 3 avril 1996, Shelly Zielinski a vu le Dr Harriet Kotsoris, une interniste et neurologiste certifiée pour des symptômes incluant la fatigue, les maux de tête et les acouphènes. La Dr Kotsoris a provisoirement diagnostiqué la patiente atteinte de maladie de Lyme et l'a envoyée à l'hôpital de Stamford pour une IRM de son cerveau qui a été réalisée le 10 avril 1996. Les deux Drs. Kotsoris et Kristan Zimmerman, un radiologue qui était un partenaire à Associés qui constituaient le département de radiologie de l'hôpital, a passé en revue l'IRM. Les médecins n'ont pas réussi à détecter la présence d'une tumeur cérébrale à un stade précoce sur l'IRM. Le Dr Kotsoris a continué à traiter la patiente pour la maladie de Lyme, bien que que le dépistage de cette maladie soit négatif ou non concluant.<br>[référence rajoutée par Psiram <ref>http://caselaw.findlaw.com/ct-supreme-court/1133710.html Supreme Court of Connecticut. Shelley ZIELINSKI et al. v. Harriet KOTSORIS et al. No. 17441. Decided: August 08, 2006</ref> résumant à la fois les faits et les questions de jurisprudence] | + | '''Décembre 2006'''. Faute de diagnostic de tumeur: un 'traitement continu' s'appliquait-t-il?<br>(Cas de jurisprudence en matière de droit hospitalier du mois).<br>[Référence figurant dans le document <ref>http://www.entrepreneur.com/tradejournals/article/print/151661602.html</ref>, la page n'est plus disponible en 2017, il n'en reste qu'un résumé <ref>https://www.highbeam.com/doc/1G1-151661602.html</ref>]<br>JURISPRUDENCE EN LA MATIÈRE: Zielinski v. Kotsoris, 961 A.2d 1207, 279 Conn. 312 -CT (2006)<br>FAITS SUR L'AFFAIRE: Le 3 avril 1996, Shelly Zielinski a vu le Dr Harriet Kotsoris, une interniste et neurologiste certifiée pour des symptômes incluant la fatigue, les maux de tête et les acouphènes. La Dr Kotsoris a provisoirement diagnostiqué la patiente atteinte de maladie de Lyme et l'a envoyée à l'hôpital de Stamford pour une IRM de son cerveau qui a été réalisée le 10 avril 1996. Les deux Drs. Kotsoris et Kristan Zimmerman, un radiologue qui était un partenaire à Associés qui constituaient le département de radiologie de l'hôpital, a passé en revue l'IRM. Les médecins n'ont pas réussi à détecter la présence d'une tumeur cérébrale à un stade précoce sur l'IRM. Le Dr Kotsoris a continué à traiter la patiente pour la [[maladie de Lyme]], bien que que le dépistage de cette maladie soit négatif ou non concluant.<br>[référence rajoutée par Psiram <ref>http://caselaw.findlaw.com/ct-supreme-court/1133710.html Supreme Court of Connecticut. Shelley ZIELINSKI et al. v. Harriet KOTSORIS et al. No. 17441. Decided: August 08, 2006</ref> résumant à la fois les faits et les questions de jurisprudence] |
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− | '''17 septembre 2006'''. À la fin de 2005, le Département de la santé publique de l'État a accusé [Charles Ray] Jones d'avoir violé "la norme de soins applicable" pour son traitement de deux jeunes jumeaux qui vivent au Nevada. Après avoir enquêté sur la plainte, le département de la santé a porté plainte au conseil médical, allégeant qu'il a diagnostiqué la maladie de Lyme chez les enfants sans les examiner, qu'il n'a pas pris en considération d'autres causes de leurs symptômes, et qu'il a prescrit de façon inappropriée des antibiotiques. (Hartford Courant, Northeast Magazine section.)<br>[Article du Hartfort Courant du 19 décembre 2007 <ref>http://articles.courant.com/2007-12-19/news/0712180450_1_lyme-jones-supporters-disease Lyme Doctor Sanctioned | + | '''17 septembre 2006'''. À la fin de 2005, le Département de la santé publique de l'État a accusé [Charles Ray] Jones d'avoir violé "la norme de soins applicable" pour son traitement de deux jeunes jumeaux qui vivent au Nevada. Après avoir enquêté sur la plainte, le département de la santé a porté plainte au conseil médical, allégeant qu'il a diagnostiqué la [[maladie de Lyme]] chez les enfants sans les examiner, qu'il n'a pas pris en considération d'autres causes de leurs symptômes, et qu'il a prescrit de façon inappropriée des antibiotiques. (Hartford Courant, Northeast Magazine section.)<br>[Article du Hartfort Courant du 19 décembre 2007 <ref>http://articles.courant.com/2007-12-19/news/0712180450_1_lyme-jones-supporters-disease Lyme Doctor Sanctioned |
− | Board Punishes Him For Diagnosing Children, Prescribing Meds Without Examination</ref>. La récapitulation du cas a été faite le 10 juin 2011 suite à un appel de Jones, la procédure n'est donc pas terminée <ref>http://caselaw.findlaw.com/ct-superior-court/1574453.html Charles Ray Jones v. Connecticut Medical Examining Board. Superior Court of Connecticut. Decided: June 10, 2011</ref>.] | + | Board Punishes Him For Diagnosing Children, Prescribing Meds Without Examination</ref>. La récapitulation du cas a été faite le 10 juin 2011 suite à un appel de Jones, la procédure n'est donc pas terminée <ref>http://caselaw.findlaw.com/ct-superior-court/1574453.html [[Charles Ray Jones]] v. Connecticut Medical Examining Board. Superior Court of Connecticut. Decided: June 10, 2011</ref>.] |
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| '''22 Août 2006'''. Un médecin de Topeka, accusé de meurtre, a fait sa première comparution devant le tribunal. Lors de sa mise en accusation, le Dr John Toth a entendu les accusations de meurtre contre lui après que les procureurs ont fait soutenu qu'il a donné à l'un de ses patients des injections de Bismacine pour traiter la maladie de Lyme. La Bismacine contient de grandes quantités de bismuth, un produit chimique métallique qui peut être toxique et qui n'est pas approuvé par la FDA. Le Conseil des arts de guérison du Kansas a suspendu sa licence l'année dernière après que deux autres patients aient subi des complications potentiellement mortelles. (WIBW - Topeka, KS, 13 News)<br>[lien mis dans le document sur le nom de John Toth <ref>http://cjonline.com/stories/041108/opi_267327335.shtml#.WPyC89LyhPY</ref>] | | '''22 Août 2006'''. Un médecin de Topeka, accusé de meurtre, a fait sa première comparution devant le tribunal. Lors de sa mise en accusation, le Dr John Toth a entendu les accusations de meurtre contre lui après que les procureurs ont fait soutenu qu'il a donné à l'un de ses patients des injections de Bismacine pour traiter la maladie de Lyme. La Bismacine contient de grandes quantités de bismuth, un produit chimique métallique qui peut être toxique et qui n'est pas approuvé par la FDA. Le Conseil des arts de guérison du Kansas a suspendu sa licence l'année dernière après que deux autres patients aient subi des complications potentiellement mortelles. (WIBW - Topeka, KS, 13 News)<br>[lien mis dans le document sur le nom de John Toth <ref>http://cjonline.com/stories/041108/opi_267327335.shtml#.WPyC89LyhPY</ref>] |
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− | '''19 Juillet 2006'''. La veuve d'un homme qui est mort du cancer de la prostate en 2004, alors qu'il était suivi par le Dr James Shortt, est parvenu à un accord de principe avec lui dans des procès fédéraux distincts. Lundi, Shortt a été condamné dans une affaire criminelle fédérale distincte à un an et un jour de prison. Il a plaidé coupable en mars d'avoir conspiré pour distribuer des stéroïdes et des hormones de croissance humaine aux athlètes de la NFL, à des bodybuilders et à d'autres. La veuve de Bate, Janet Bate, du comté de Richland, soutient dans un procès que Shortt a fait preuve de négligence lors de la mort, le 21 juillet 2004, de son mari âgé de 66 ans. Shortt lui a donné des traitements de peroxyde d'hydrogène par voie intraveineuse et l'a faussement diagnostiqué comme ayant une maladie de Lyme, dit le procès. En juin 2004, Shortt a prescrit de la testostérone qui a provoqué une progression rapide de son cancer de la prostate et entraîné sa mort environ six semaines plus tard, dit le procès. (The State, S.C.)<br>[Lien mis dans le document sur le nom de James Shortt <ref>http://www.casewatch.org/doj/shortt/indictment.shtml Acte d'accusation de James Shortt, M.D.<br>En novembre 2005, James Michael Shortt, M.D., qui pratiquait la "médecine de la longévité" à Greenville, en Caroline du Sud, a été accusé de 43 chefs d'accusations de distribution de façon incorrecte d'hormones de croissance et d'autres médicaments médicaments stéroïdes. Certains déclarent qu'il distribuait des médicaments stéroïdes "pas pour une utilisation légitime" et "en dehors du cours habituel de la pratique professionnelle". D'autres chefs d'accusation déclaraient qu'il a dispensé l'hormone de croissance humaine "pour" une utilisation... autre que le traitement d'une maladie ou d'un autre état de santé reconnu". Les rapports de presse indiquent que certains des bénéficiaires étaient des joueurs de football professionnels. En mars 2006, Shortt a plaidé coupable à un chef d'accusation de conspiration pour distribuer des stéroïdes anabolisants et une hormone de croissance humaine. Sur la base de cet aveu, le Conseil de Caroline du Sud a révoqué sa licence et lui a infligé une amende de 10 000 $, l'amende la plus forte qu'il est permis d'imposer. Shortt est également poursuivi par les survivants de deux patients qu'il traitait avec du peroxyde d'hydrogène. Un avait une sclérose en plaques. L'autre avait un cancer de la prostate.<br>Page publiée le 9 juin 2006</ref>] | + | '''19 Juillet 2006'''. La veuve d'un homme qui est mort du cancer de la prostate en 2004, alors qu'il était suivi par le Dr James Shortt, est parvenu à un accord de principe avec lui dans des procès fédéraux distincts. Lundi, Shortt a été condamné dans une affaire criminelle fédérale distincte à un an et un jour de prison. Il a plaidé coupable en mars d'avoir conspiré pour distribuer des stéroïdes et des hormones de croissance humaine aux athlètes de la NFL, à des bodybuilders et à d'autres. La veuve de Bate, Janet Bate, du comté de Richland, soutient dans un procès que Shortt a fait preuve de négligence lors de la mort, le 21 juillet 2004, de son mari âgé de 66 ans. Shortt lui a donné des traitements de peroxyde d'hydrogène par voie intraveineuse et l'a faussement diagnostiqué comme ayant une [[maladie de Lyme]], dit le procès. En juin 2004, Shortt a prescrit de la testostérone qui a provoqué une progression rapide de son cancer de la prostate et entraîné sa mort environ six semaines plus tard, dit le procès. (The State, S.C.)<br>[Lien mis dans le document sur le nom de James Shortt <ref>http://www.casewatch.org/doj/shortt/indictment.shtml Acte d'accusation de James Shortt, M.D.<br>En novembre 2005, James Michael Shortt, M.D., qui pratiquait la "médecine de la longévité" à Greenville, en Caroline du Sud, a été accusé de 43 chefs d'accusations de distribution de façon incorrecte d'hormones de croissance et d'autres médicaments médicaments stéroïdes. Certains déclarent qu'il distribuait des médicaments stéroïdes "pas pour une utilisation légitime" et "en dehors du cours habituel de la pratique professionnelle". D'autres chefs d'accusation déclaraient qu'il a dispensé l'hormone de croissance humaine "pour" une utilisation... autre que le traitement d'une maladie ou d'un autre état de santé reconnu". Les rapports de presse indiquent que certains des bénéficiaires étaient des joueurs de football professionnels. En mars 2006, Shortt a plaidé coupable à un chef d'accusation de conspiration pour distribuer des stéroïdes anabolisants et une hormone de croissance humaine. Sur la base de cet aveu, le Conseil de Caroline du Sud a révoqué sa licence et lui a infligé une amende de 10 000 $, l'amende la plus forte qu'il est permis d'imposer. Shortt est également poursuivi par les survivants de deux patients qu'il traitait avec du peroxyde d'hydrogène. Un avait une sclérose en plaques. L'autre avait un cancer de la prostate.<br>Page publiée le 9 juin 2006</ref>] |
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− | '''16 Juin 2006'''. Un médecin Lyme jugé coupable. Le Conseil médical de Caroline du Nord a suspendu pour un an la licence d'un médecin du comté de Mecklenburg après avoir constaté qu'il s'écartait des méthodes de traitement en vigueur pour la maladie de Lyme. Le conseil de 12 membres a également conclu que le Dr [[Joseph Jemsek]] n'a pas informé adéquatement les patients que son approche, qui comporte de laisser les patients sous antibiotiques par voie intraveineuse pendant des mois ou des années, est non orthodoxe. [[Joseph Jemsek|Jemsek]], 57 ans, n'a pas rendu les choses difficile au conseil pour qu'il le déclare coupable. Il a témoigné à maintes reprises qu'il est le seul médecin de l'état qui diagnostique systématiquement les patients atteints de la maladie de Lyme chronique même s'ils ne sont pas testés positifs lorsqu'ils sont dépistés avec des tests de laboratoire standard. [[Joseph Jemsek|Jemsek]] a également dit qu'il est le seul à s'attaquer à la maladie transmise par les tiques avec une thérapie antibiotique de longue durée. La plupart des médecins exigent des résultats de test positifs et croient que Lyme doit être traitée avec des cures ne dépassant pas deux à quatre semaines. Cinq patients, y compris le veuf d'une femme qui est morte d'une intoxication à la morphine alors qu'elle était suivie par [[Joseph Jemsek|Jemsek]], ont témoigné en faveur de l'accusation.<br>(New Observer, N.C.)<br> | + | '''16 Juin 2006'''. Un médecin Lyme jugé coupable. Le Conseil médical de Caroline du Nord a suspendu pour un an la licence d'un médecin du comté de Mecklenburg après avoir constaté qu'il s'écartait des méthodes de traitement en vigueur pour la maladie de Lyme. Le conseil de 12 membres a également conclu que le Dr [[Joseph Jemsek]] n'a pas informé adéquatement les patients que son approche, qui comporte de laisser les patients sous antibiotiques par voie intraveineuse pendant des mois ou des années, est non orthodoxe. [[Joseph Jemsek|Jemsek]], 57 ans, n'a pas rendu les choses difficile au conseil pour qu'il le déclare coupable. Il a témoigné à maintes reprises qu'il est le seul médecin de l'état qui diagnostique systématiquement les patients atteints de la [[maladie de Lyme chronique]] même s'ils ne sont pas testés positifs lorsqu'ils sont dépistés avec des tests de laboratoire standard. [[Joseph Jemsek|Jemsek]] a également dit qu'il est le seul à s'attaquer à la maladie transmise par les tiques avec une thérapie antibiotique de longue durée. La plupart des médecins exigent des résultats de test positifs et croient que Lyme doit être traitée avec des cures ne dépassant pas deux à quatre semaines. Cinq patients, y compris le veuf d'une femme qui est morte d'une intoxication à la morphine alors qu'elle était suivie par [[Joseph Jemsek|Jemsek]], ont témoigné en faveur de l'accusation.<br>(New Observer, N.C.)<br> |
| [lien mis dans le document sur le nom de [[Joseph Jemsek]] <ref>http://www.casewatch.org/board/med/jemsek/charges.shtml</ref>] | | [lien mis dans le document sur le nom de [[Joseph Jemsek]] <ref>http://www.casewatch.org/board/med/jemsek/charges.shtml</ref>] |
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− | '''14 mai 2006'''. [[Ginger Savely|Virginia R. Savely]], RN, (surnommée Ginger Savely). Savely est une infirmière praticienne familiale. Elle a récemment déménagé du Texas à San Francisco, parce qu'elle ne pouvait plus trouver un médecin à Austin qui superviserait son cabinet. Le problème était qu'elle était en train de traiter des personnes qui avaient été diagnostiquées atteintes de Lyme chronique (une maladie discutable en soi), avec une thérapie antibiotique de longue durée, quelque chose qui n'est pas approuvé par le Conseil des médecins du Texas, et est généralement considérée avoir seulement un effet placebo ... à Austin, elle avait 400 patients atteints de Lyme, à qui elle prescrivait des traitements antibiotiques de longue durée. Tous ces patients constituent le gagne-pain de [[Ginger Savely|Savely]]. Elle avait également "plus de 50" patients [[Maladie des Morgellons|Morgellons]], à qui elle donnait à peu près le même traitement qu'à ses patients Lyme. [[Ginger Savely|Savely]] gagnait sa vie en prescrivant un traitement non approuvé par le Conseil des médecins du Texas. Ils l'ont chassée de la ville, et maintenant elle s'est installée avec un médecin partageant la même optique [en fait [[Raphael Stricker]]] à San Francisco.<br>(Morgellons Watch)<br>[référence figurant dans le document <ref name='savely'>http://morgellonswatch.com/2006/07/01/ginger-savely/</ref>] | + | '''14 mai 2006'''. [[Ginger Savely|Virginia R. Savely]], RN, (surnommée Ginger Savely). Savely est une infirmière praticienne familiale. Elle a récemment déménagé du Texas à San Francisco, parce qu'elle ne pouvait plus trouver un médecin à Austin qui superviserait son cabinet. Le problème était qu'elle était en train de traiter des personnes qui avaient été diagnostiquées atteintes de [[maladie de Lyme chronique|Lyme chronique]] (une maladie discutable en soi), avec une thérapie antibiotique de longue durée, quelque chose qui n'est pas approuvé par le Conseil des médecins du Texas, et est généralement considérée avoir seulement un effet placebo ... à Austin, elle avait 400 patients atteints de Lyme, à qui elle prescrivait des traitements antibiotiques de longue durée. Tous ces patients constituent le gagne-pain de [[Ginger Savely|Savely]]. Elle avait également "plus de 50" patients [[Maladie des Morgellons|Morgellons]], à qui elle donnait à peu près le même traitement qu'à ses patients Lyme. [[Ginger Savely|Savely]] gagnait sa vie en prescrivant un traitement non approuvé par le Conseil des médecins du Texas. Ils l'ont chassée de la ville, et maintenant elle s'est installée avec un médecin partageant la même optique [en fait [[Raphael Stricker]]] à San Francisco.<br>(Morgellons Watch)<br>[référence figurant dans le document <ref name='savely'>http://morgellonswatch.com/2006/07/01/ginger-savely/</ref>] |
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| '''30 mars 2006'''. [[Ginger Savely|Virginia R. Savely]], RN "a été disciplinée l'année dernière par le Conseil d'État des infirmiers(ères) des examinateurs pour n'avoir pas suivi certains protocoles et exigences de tenue de dossiers dans le traitement d'un patient de Lyme." [[Ginger Savely|Savely]] a dit qu'elle ne reproche pas son prochain déménagement à son médecin surveillant. Elle sait que de nombreux médecins traditionnels la considèrent comme une charlatane, a-t-elle dit. (Par Mary Ann Roser, le 30 mars 2006, Austin-American Statesman)<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.standupforlyme.org/getinformed/statesman_20060330.html</ref> qui n'est plus accessible en 2017] | | '''30 mars 2006'''. [[Ginger Savely|Virginia R. Savely]], RN "a été disciplinée l'année dernière par le Conseil d'État des infirmiers(ères) des examinateurs pour n'avoir pas suivi certains protocoles et exigences de tenue de dossiers dans le traitement d'un patient de Lyme." [[Ginger Savely|Savely]] a dit qu'elle ne reproche pas son prochain déménagement à son médecin surveillant. Elle sait que de nombreux médecins traditionnels la considèrent comme une charlatane, a-t-elle dit. (Par Mary Ann Roser, le 30 mars 2006, Austin-American Statesman)<br>[référence figurant dans le document <ref>http://www.standupforlyme.org/getinformed/statesman_20060330.html</ref> qui n'est plus accessible en 2017] |
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− | '''31 Mars 2006'''. Une doctoresse du sud du New Jersey a pris l'argent des patients [atteints] de la maladie de Lou Gehrig en leur faisant payer jusqu'à 35 000 $ pour un traitement par cellules souches qu'elle ne pouvait pas effectuer - et n'a pas effectué -, selon un acte d' accusation fédéral rendu public hier. Charlene DeMarco et son assistante et co-locataire, Elizabeth Copperman, ont été arrêtées hier et accusées de 11 chefs d'accusation, à savoir, de conspiration, de fraude postale, de fraude informatique et de blanchiment d'argent pour des actes qu'elles sont accusées d'avoir commis entre 2002 et 2004. DeMarco est connue pour son travail sur la maladie de Lyme et a été nommée en 2003 par le gouverneur James E. McGreevey au Conseil consultatif de la maladie de Lyme du gouverneur.<br>(Associated Press)<br>[remarque de Psiram: la maladie de Lou Gehring est le nom utilisé aux USA pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot]<br>[le lien mis dans le document sur le nom de Charlene DeMarco n'étant plus accessible en 2017, voici un document officiel au sujet de cette affaire <ref>https://www.casewatch.org/doj/demarco/indictment.shtml Acte d'accusation de Charlene DeMarco, DO [DO signifie docteur ostéopathe]<br>Par Stephen Barrett, MD<br>En 2006, Charlene C. DeMarco, DO et Elizabeth Lerner (alias "Elizabeth Copperman") d'Egg Harbor City, dans le New Jersey, ont été accusées d'escroquer des patients souffrant de sclérose latérale amyotrophique (ALS - "maladie de Lou Gehrig"). L'acte d'accusation, présenté ci-dessous, décrit comment les familles de deux patients atteints de SLA ont payé 35 000 $ chacun pour des traitements qui n'ont jamais été donnés. Les deux accusées sont accusés de conspiration pour commettre des fraudes par mail et par informatique; de fraude par mail et par informatique/électronique; et de blanchiment d'argent. DeMarco, "spécialisée" dans le traitement des patients atteints de maladie de Lyme, était membre du Conseil consultatif du gouverneur du New Jersey sur la maladie de Lyme. Lerner était présentée comme l'assistante de DeMarco bien qu'elle ne soit pas une professionnelle de la santé. Selon l'acte d'accusation, DeMarco a déclaré à un membre de la famille que le traitement était approuvé par la FDA bien que ce ne soit pas le cas. DeMarco a ensuite été reconnue coupable de tous les chefs d'accusation, condamnée à purger 57 mois de prison et condamnée à payer une amende de 7500 $ et 32 190 $ pour la restitution. Sa licence ostéopathique a été révoquée en 2009.</ref>] | + | '''31 Mars 2006'''. Une doctoresse du sud du New Jersey a pris l'argent des patients [atteints] de la maladie de Lou Gehrig en leur faisant payer jusqu'à 35 000 $ pour un traitement par cellules souches qu'elle ne pouvait pas effectuer - et n'a pas effectué -, selon un acte d'accusation fédéral rendu public hier. Charlene DeMarco et son assistante et co-locataire, Elizabeth Copperman, ont été arrêtées hier et accusées de 11 chefs d'accusation, à savoir, conspiration, fraude postale, fraude informatique et blanchiment d'argent pour des actes qu'elles sont accusées d'avoir commis entre 2002 et 2004. DeMarco est connue pour son travail sur la [[maladie de Lyme]] et a été nommée en 2003 par le gouverneur James E. McGreevey au Conseil consultatif de la [[maladie de Lyme)) du gouverneur.<br>(Associated Press)<br>[remarque de Psiram: la maladie de Lou Gehring est le nom utilisé aux USA pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot]<br>[le lien mis dans le document sur le nom de Charlene DeMarco n'étant plus accessible en 2017, voici un document officiel au sujet de cette affaire <ref>https://www.casewatch.org/doj/demarco/indictment.shtml Acte d'accusation de Charlene DeMarco, DO [DO signifie Docteur en Ostéopathie]<br>Par Stephen Barrett, MD<br>En 2006, Charlene C. DeMarco, DO et Elizabeth Lerner (alias "Elizabeth Copperman") d'Egg Harbor City, dans le New Jersey, ont été accusées d'escroquer des patients souffrant de sclérose latérale amyotrophique (ALS - "maladie de Lou Gehrig"). L'acte d'accusation, présenté ci-dessous, décrit comment les familles de deux patients atteints de SLA ont payé 35 000 $ chacun pour des traitements qui n'ont jamais été donnés. Les deux accusées sont accusés de conspiration pour commettre des fraudes par mail et par informatique; de fraude par mail et par informatique/électronique; et de blanchiment d'argent. DeMarco, "spécialisée" dans le traitement des patients atteints de [[maladie de Lyme]], était membre du Conseil consultatif du gouverneur du New Jersey sur la [[maladie de Lyme]]. Lerner était présentée comme l'assistante de DeMarco bien qu'elle ne soit pas une professionnelle de la santé. Selon l'acte d'accusation, DeMarco a déclaré à un membre de la famille que le traitement était approuvé par la FDA bien que ce ne soit pas le cas. DeMarco a ensuite été reconnue coupable de tous les chefs d'accusation, condamnée à purger 57 mois de prison et condamnée à payer une amende de 7500 $ et 32 190 $ pour la restitution. Sa licence ostéopathique a été révoquée en 2009.</ref>] |
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− | '''28 avril 2005'''. Un grand jury fédéral à Camden, dans le New Jersey, a prononcé un acte d'accusation avec 17 chefs d'accusation accusant deux hommes du New Jersey de conspiration pour frauder les États-Unis, d'évasion fiscale, et d'omission délibérée de déclarer et de payer les taxes sur l'emploi retenues sur les salaires de leurs employés à l'IRS [Internal Revenue Service, c.à.d. au fisc]. L'acte d' accusation allègue qu'Anthony Lionetti, qui résidait à Hammonton, New Jersey, était le propriétaire et président de deux centres de traitement de la maladie de Lyme, et que Donald DuBeck, qui résidait dans Shamong, New Jersey, était le vice-président et le directeur des services administratifs des entreprises. Il allègue qu'ils ont retenu les taxes sur le revenu, la protection sociale et l'assurance-maladie des salaires des employés du Lyme Disease Treatment Center [Centre de traitement de la maladie de Lyme] et du Tick Born Disease Group [les tiques du groupe Born maladie, et n'ont fait que des paiements partiels des taxes sur le revenu collectées en 1999 et 2001. (www.usdoj.gov)<br>[lien mis dans le document sur le nom d'Anthony Lionetti <ref>https://www.justice.gov/archive/opa/pr/2005/April/05_tax_220.htm Department of Justice. FOR IMMEDIATE RELEASE | + | '''28 avril 2005'''. Un grand jury fédéral à Camden, dans le New Jersey, a prononcé un acte d'accusation avec 17 chefs d'accusation accusant deux hommes du New Jersey de conspiration pour frauder les États-Unis, d'évasion fiscale, et d'omission délibérée de déclarer et de payer les taxes sur l'emploi retenues sur les salaires de leurs employés à l'IRS [Internal Revenue Service, c.à.d. au fisc]. L'acte d' accusation allègue qu'Anthony Lionetti, qui résidait à Hammonton, New Jersey, était le propriétaire et président de deux centres de traitement de la [[maladie de Lyme]], et que Donald DuBeck, qui résidait dans Shamong, New Jersey, était le vice-président et le directeur des services administratifs des entreprises. Il allègue qu'ils ont retenu les taxes sur le revenu, la protection sociale et l'assurance-maladie des salaires des employés du Lyme Disease Treatment Center [Centre de traitement de la maladie de Lyme] et du Tick Born Disease Group [les tiques du groupe Born maladie, et n'ont fait que des paiements partiels des taxes sur le revenu collectées en 1999 et 2001. (www.usdoj.gov)<br>[lien mis dans le document sur le nom d'Anthony Lionetti <ref>https://www.justice.gov/archive/opa/pr/2005/April/05_tax_220.htm Department of Justice. FOR IMMEDIATE RELEASE |
| TUESDAY, APRIL 26, 2005 WWW. USDOJ.GOV. NEW JERSEY DOCTOR, OFFICE MANAGER CHARGED | | TUESDAY, APRIL 26, 2005 WWW. USDOJ.GOV. NEW JERSEY DOCTOR, OFFICE MANAGER CHARGED |
| WITH CONSPIRACY AND TAX FRAUD. [...]</ref>] | | WITH CONSPIRACY AND TAX FRAUD. [...]</ref>] |
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| '''24 décembre 2002'''. [[Bernard Raxlen]], un psychiatre, a eu sa licence médicale suspendue dans l'État de New York pour "faute professionnelle". | | '''24 décembre 2002'''. [[Bernard Raxlen]], un psychiatre, a eu sa licence médicale suspendue dans l'État de New York pour "faute professionnelle". |
− | [Lien mis dans le document sur le nom [[Bernard Raxlen]] <ref>https://w3.health.ny.gov/opmc/factions.nsf/0522fed2dd2160ff852568c0004e894a/aaf98a0a1c130bf785256c6a00724f25/$FILE/lc170256.pdf</ref>, référence figurant dans le document <ref>http://www.casewatch.org/board/med/raxlen/decision.shtml Disciplinary Actions against Bernard Raxlen, M.D. Par Stephen Barrett, M.D.<br>[[Bernard Raxlen]], un psychiatre qui se commercialise lui-même en tant que spécialiste du traitement de la maladie de Lyme, pratique maintenant à New York. Le ministère de la Santé du Connecticut l'a discipliné deux fois. En 1999, [[Bernard Raxlen|Raxlen]] a été accusé de (a) refuser d'envoyer le dossier d'un patient lorsque le Département de la santé l'a demandé, (b) de prescrire de façon inappropriée plusieurs médicaments chez un patient et (c) de ne pas avoir une assurance contre la faute professionnelle comme l'exige la loi de l'État. Comme indiqué dans le mémorandum de décision ci-dessous, il a été réprimandé et condamné à payer une peine civile de 20 000 $. En 2004, [[Bernard Raxlen|Raxlen]] a été accusé de ne pas fournir les dossiers de 15 patients demandés par une compagnie d'assurance, même si chaque patient avait signé une version écrite. Lorsque le Département de la santé a répété la demande, Il a soumis 13 dossiers et a déclaré qu'il avait perdu les dossiers d'un patient. En 2005, en vertu d'un accord de consentement, il a été réprimandé, il lui a été ordonné de payer une peine civile de 15 000 $ et ordonné de présenter aux nouveaux patients un avis indiquant qu'il pourrait être obligé par la loi de fournir des dossiers aux assureurs et au ministère de la Santé. Les autorités de délivrance des permis de l'État de New York ont ensuite été condamnés à une amende de 2 500 $ chacun pour ces cas.<br>[[Bernard Raxlen|Raxlen]] fait partie d'un petit réseau de médecins qui, contrairement aux croyances médicales dominantes, affirment que la maladie de Lyme devient souvent chronique et devrait être traitée avec un antibiotique sur de longues durées. Son site Web de la clinique de New York déclare qu'il a traité plus de 3 500 cas de maladies transmises par les tiques et qu'il est «le seul psychiatre dans la zone de trois états à lancer un programme complet de traitement utilisant une intervention de traitement antibiotique oral et IV [intra-veineux] en conjonction avec une neuropharmacologie et la gestion du stress pour la dépression, le trouble panique, le trouble de l'humeur bipolaire, l'activité épileptiforme, la perte de mémoire ADD, le trouble du sommeil et le syndrome du déficit lobe préfrontal ".</ref>] | + | [Lien mis dans le document sur le nom [[Bernard Raxlen]] <ref>https://w3.health.ny.gov/opmc/factions.nsf/0522fed2dd2160ff852568c0004e894a/aaf98a0a1c130bf785256c6a00724f25/$FILE/lc170256.pdf</ref>, référence figurant dans le document <ref>http://www.casewatch.org/board/med/raxlen/decision.shtml Disciplinary Actions against Bernard Raxlen, M.D. Par Stephen Barrett, M.D.<br>[[Bernard Raxlen]], un psychiatre qui se commercialise lui-même en tant que spécialiste du traitement de la [[maladie de Lyme]], pratique maintenant à New York. Le ministère de la Santé du Connecticut l'a discipliné deux fois. En 1999, [[Bernard Raxlen|Raxlen]] a été accusé de (a) refuser d'envoyer le dossier d'un patient lorsque le Département de la santé l'a demandé, (b) de prescrire de façon inappropriée plusieurs médicaments chez un patient et (c) de ne pas avoir une assurance contre la faute professionnelle comme l'exige la loi de l'État. Comme indiqué dans le mémorandum de décision ci-dessous, il a été réprimandé et condamné à payer une peine civile de 20 000 $. En 2004, [[Bernard Raxlen|Raxlen]] a été accusé de ne pas fournir les dossiers de 15 patients demandés par une compagnie d'assurance, même si chaque patient avait signé une version écrite. Lorsque le Département de la santé a répété la demande, il a soumis 13 dossiers et a déclaré qu'il avait perdu les dossiers d'un patient. En 2005, en vertu d'un accord de consentement, il a été réprimandé, il lui a été ordonné de payer une peine civile de 15 000 $ et ordonné de présenter aux nouveaux patients un avis indiquant qu'il pourrait être obligé par la loi de fournir des dossiers aux assureurs et au ministère de la Santé. Les autorités de délivrance des permis de l'État de New York ont ensuite été condamnés à une amende de 2 500 $ chacun pour ces cas.<br>[[Bernard Raxlen|Raxlen]] fait partie d'un petit réseau de médecins qui, contrairement aux croyances médicales dominantes, affirment que la [[maladie de Lyme]] devient souvent chronique et devrait être traitée avec un antibiotique sur de longues durées. Son site Web de la clinique de New York déclare qu'il a traité plus de 3 500 cas de maladies transmises par les tiques et qu'il est «le seul psychiatre dans la zone de trois états à lancer un programme complet de traitement utilisant une intervention de traitement antibiotique oral et IV [intra-veineux] en conjonction avec une neuropharmacologie et la gestion du stress pour la dépression, le trouble panique, le trouble de l'humeur bipolaire, l'activité épileptiforme, la perte de mémoire ADD, le trouble du sommeil et le syndrome du déficit lobe préfrontal ".</ref>] |
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| '''14 novembre 2002'''. Le Dr Perry Orens, dont la licence [d'exercer] avait été révoquée en novembre 1999 suite à ses audiences devant le New York State Office of Professional Medical Conduct (OPMC) [le Bureau de conduite professionnelle médicale (de déontologie médicale) de l'État de New York], a eu son permis rétabli par la cour d'appel de la Cour suprême de l'État de New York.<br>[la référence mise en lien sur le nom de Perry Orens n'est plus accessible en 2017, en remplacement voir ici <ref>https://w3.health.ny.gov/opmc/factions.nsf/cd901a6816701d94852568c0004e3fb7/dbc0cd92b656fe7585256a4a0047e555/$FILE/REG%20082198.pdf</ref>] | | '''14 novembre 2002'''. Le Dr Perry Orens, dont la licence [d'exercer] avait été révoquée en novembre 1999 suite à ses audiences devant le New York State Office of Professional Medical Conduct (OPMC) [le Bureau de conduite professionnelle médicale (de déontologie médicale) de l'État de New York], a eu son permis rétabli par la cour d'appel de la Cour suprême de l'État de New York.<br>[la référence mise en lien sur le nom de Perry Orens n'est plus accessible en 2017, en remplacement voir ici <ref>https://w3.health.ny.gov/opmc/factions.nsf/cd901a6816701d94852568c0004e3fb7/dbc0cd92b656fe7585256a4a0047e555/$FILE/REG%20082198.pdf</ref>] |
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− | '''23 avril 2002'''. Le Dr [[Joseph Burrascano]], après une audience devant l'OPMC [Office Professional Medical Conduct] de l'État de New York au sujet de ses traitements médicaux des patients atteints de Lyme a été placé en probation avec un contrôleur/surveillant de pratique. ''"Je serai placé en probation avec un contrôleur de pratique. La sanction était à l'origine d'une durée de 6 mois. Le conseil d'appel a confirmé cette sanction mais a allongé la durée de probation à deux ans afin de la maintenir conforme à d'autres cas. MAIS - ils N'ont PAS posé de restriction à ma pratique, PAS de restrictions sur la façon dont je m'occupe de mes cas, et, dans leur décision écrite, la Commission était plutôt élogieuse !"''<br><br>Au Dr [[Richard Horowitz]], qui avait été auditionné par l'OPMC de NYS depuis le printemps 2001, a été proposé un arrangement [une transaction] comprenant une suspension de trois mois.<br>[lien mis dans le document sous le nom de [[Joseph Burrascano]] <ref>http://www.casewatch.org/board/med/burrascano/order.shtml Action disciplinaire contre [[Joseph Burrascano|Joseph J. Burrascano]], MD<br>En 2002, la Commission de révision administrative de l'État de New York pour la conduite médicale professionnelle a conclu que [[Joseph Burrascano]], MD, avait commis une faute professionnelle en traitant négligemment deux patients. La commission d'examen a ordonné à [[Joseph Burrascano|Burrascano]] de suivre deux années de probation pendant lesquelles sa pratique serait surveillée par un autre médecin acceptable pour le Bureau de la conduite médicale professionnelle (OPMC). [[Joseph Burrascano|Burrascano]], qui pratique à East Hampton, à New York, se spécialise dans le traitement de la maladie de Lyme et d'autres maladies transmises par les tiques. Certaines de ses approches de diagnostic et de traitement (y compris l'administration d'antibiotiques à long terme pour traiter la maladie de Lyme) ne sont pas conformes aux directives médicales largement acceptées. Toutefois, les autorités de délivrance des licences ne lui ont pas ordonné de cesser de les utiliser. L'accusation et les résultats de l'OPMC sont publiés sur Casewatch. Le résultat de l'affaire a été influencé par des médecins partageant les mêmes idées et des centaines de patients qui se sont ralliés à son soutien. [...]</ref>. Références figurant dans le document <ref>http://www.healthgrades.com/directory_search/physician/profiles/dr-md-reports/DrRichard-Horowitz-MD-DA5BE9D0/background-check</ref> <ref>http://w3.health.state.ny.us/opmc/factions.nsf/cd901a6816701d94852568c0004e3fb7/e2f | + | '''23 avril 2002'''. Le Dr [[Joseph Burrascano]], après une audience devant l'OPMC [Office Professional Medical Conduct] de l'État de New York au sujet de ses traitements médicaux des patients atteints de Lyme a été placé en probation avec un contrôleur/surveillant de pratique. ''"Je serai placé en probation avec un contrôleur de pratique. La sanction était à l'origine d'une durée de 6 mois. Le conseil d'appel a confirmé cette sanction mais a allongé la durée de probation à deux ans afin de la maintenir conforme à d'autres cas. MAIS - ils N'ont PAS posé de restriction à ma pratique, PAS de restrictions sur la façon dont je m'occupe de mes cas, et, dans leur décision écrite, la Commission était plutôt élogieuse !"''<br><br>Au Dr [[Richard Horowitz]], qui avait été auditionné par l'OPMC de NYS depuis le printemps 2001, a été proposé un arrangement [une transaction] comprenant une suspension de trois mois.<br>[lien mis dans le document sous le nom de [[Joseph Burrascano]] <ref>http://www.casewatch.org/board/med/burrascano/order.shtml Action disciplinaire contre [[Joseph Burrascano|Joseph J. Burrascano]], MD<br>En 2002, la Commission de révision administrative de l'État de New York pour la conduite médicale professionnelle a conclu que [[Joseph Burrascano]], MD, avait commis une faute professionnelle en traitant négligemment deux patients. La commission d'examen a ordonné à [[Joseph Burrascano|Burrascano]] de suivre deux années de probation pendant lesquelles sa pratique serait surveillée par un autre médecin acceptable pour le Bureau de la conduite médicale professionnelle (OPMC). [[Joseph Burrascano|Burrascano]], qui pratique à East Hampton, à New York, se spécialise dans le traitement de la [[maladie de Lyme]] et d'autres maladies transmises par les tiques. Certaines de ses approches de diagnostic et de traitement (y compris l'administration d'antibiotiques à long terme pour traiter la maladie de Lyme) ne sont pas conformes aux directives médicales largement acceptées. Toutefois, les autorités de délivrance des licences ne lui ont pas ordonné de cesser de les utiliser. L'accusation et les résultats de l'OPMC sont publiés sur Casewatch. Le résultat de l'affaire a été influencé par des médecins partageant les mêmes idées et des centaines de patients qui se sont ralliés à son soutien. [...]</ref>. Références figurant dans le document <ref>http://www.healthgrades.com/directory_search/physician/profiles/dr-md-reports/DrRichard-Horowitz-MD-DA5BE9D0/background-check</ref> <ref>http://w3.health.state.ny.us/opmc/factions.nsf/cd901a6816701d94852568c0004e3fb7/e2f |
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− | '''29 janvier 2002'''. Texas State Board of Medical Examiners Disciplinary Action [Conseil de l'État du Texas des Mesures disciplinaires des examinateurs médicaux] contre '''[[William L. Cowden|William Cowden]]''', MD (2002). [[William L. Cowden]], MD, qui pratique à Fort Worth, au Texas, a été réprimandé à deux reprises par le Texas State Board of Medical Examiners [Conseil de l'État du Texas des examinateurs médicaux]. En 1996, il a été mis en probation pendant deux ans pour (a) l'injection à un patient atteint de la maladie de Hodgkin d'un produit [[homéopathie|homéopathique]] qui n'avait pas l'approbation de la FDA et (b) prescription de Cytomel (une hormone de la thyroïde) à un patient "sans indication ou documentation appropriée" que le patient ait une hypothyroïdie. En 2002, il lui a été imposé une amende de 2500 $ et il a été mis en probation pendant trois ans pour avoir omis de tenir des dossiers médicaux [de patients] adéquats ou d'obtenir un consentement adéquat ayant trait à sa prise en charge de trois patients. “[[Lee Cowden]], MD, de Fort Worth, au Texas, a établi un protocole qui est devenu l'un des principaux traitements de la [[maladie de Lyme]] chronique d'aujourd'hui. Connu sous le nom de '''Protocole Cowden''', cette série de traitements consiste principalement en extraits de diverses plantes, notamment de Cumanda et de Samento, ainsi que d'[[oxygénothérapie hyperbare]], d'ozonthérapie et d'autres interventions.” | + | '''29 janvier 2002'''. Texas State Board of Medical Examiners Disciplinary Action [Conseil de l'État du Texas des Mesures disciplinaires des examinateurs médicaux] contre '''[[William L. Cowden|William Cowden]]''', MD (2002). [[William L. Cowden]], MD, qui pratique à Fort Worth, au Texas, a été réprimandé à deux reprises par le Texas State Board of Medical Examiners [Conseil des examinateurs médicaux de l'État du Texas]. En 1996, il a été mis en probation pendant deux ans pour (a) l'injection à un patient atteint de la maladie de Hodgkin d'un produit [[homéopathie|homéopathique]] qui n'avait pas l'approbation de la FDA et (b) prescription de Cytomel (une hormone de la thyroïde) à un patient "sans indication ou documentation appropriée" que le patient ait une hypothyroïdie. En 2002, il lui a été imposé une amende de 2500 $ et il a été mis en probation pendant trois ans pour avoir omis de tenir des dossiers médicaux [de patients] adéquats ou d'obtenir un consentement adéquat ayant trait à sa prise en charge de trois patients. “[[Lee Cowden]], MD, de Fort Worth, au Texas, a établi un protocole qui est devenu l'un des principaux traitements de la [[maladie de Lyme chronique]] d'aujourd'hui. Connu sous le nom de '''Protocole Cowden''', cette série de traitements consiste principalement en extraits de diverses plantes, notamment de Cumanda et de Samento, ainsi que d'[[oxygénothérapie hyperbare]], d'ozonthérapie et autres interventions.” |
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| '''1998'''. Dr Joseph Natole (Michigan) a eu sa licence suspendue pendant 90 jours, mais a également été condamné à une amende 50 000 $. Il a ensuite été inculpé et a plaidé coupable à des accusations fédérales de surfacturation à des compagnies d'assurance.<br>[la référence figurant dans le document <ref> http://www.northernexpress.com/editorial/features.asp? id=3124</ref> n'est plus disponible en 2017, on retrouve cependant l'article ici <ref>https://www.northernexpress.com/news/feature/article-3636-living-with-lyme/ Article "Living with Lyme" du 11 mai 2008. (voir le paragraphe "LINDA’S STORY")</ref>] | | '''1998'''. Dr Joseph Natole (Michigan) a eu sa licence suspendue pendant 90 jours, mais a également été condamné à une amende 50 000 $. Il a ensuite été inculpé et a plaidé coupable à des accusations fédérales de surfacturation à des compagnies d'assurance.<br>[la référence figurant dans le document <ref> http://www.northernexpress.com/editorial/features.asp? id=3124</ref> n'est plus disponible en 2017, on retrouve cependant l'article ici <ref>https://www.northernexpress.com/news/feature/article-3636-living-with-lyme/ Article "Living with Lyme" du 11 mai 2008. (voir le paragraphe "LINDA’S STORY")</ref>] |
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− | '''2 février 1996'''. Brewer Donna du Département de la santé publique de l'État du Connecticut a déclaré qu'ils ont décidé qu'il n'y avait pas de "preuves suffisantes d'une violation de la norme de soins qui justifie une action" contre la licence du Dr Phil Watsky. Le ''Hartford Courant'' cite une partie de sa lettre: "Le ministère est néanmoins préoccupé par certaines questions concernant votre traitement de 'S.M.'". ''The Bristol Press'' continue la citation de la lettre de Brewer, "Le département est préoccupé au sujet de votre diagnostic continuel de la maladie de Lyme en dépit du fait que le patient n'ait pas été testé positif pendant une période de temps considérable, de votre sélection d'antibiotiques utilisés dans le traitement, de la fréquence et de la durée de l'antibiothérapie, et des effets possibles à long terme d'un tel traitement". | + | '''2 février 1996'''. Brewer Donna du Département de la santé publique de l'État du Connecticut a déclaré qu'ils ont décidé qu'il n'y avait pas de "preuves suffisantes d'une violation de la norme de soins qui justifie une action" contre la licence du Dr Phil Watsky. Le ''Hartford Courant'' cite une partie de sa lettre: "Le ministère est néanmoins préoccupé par certaines questions concernant votre traitement de 'S.M.'". ''The Bristol Press'' continue la citation de la lettre de Brewer, "Le département est préoccupé au sujet de votre diagnostic continuel de la [[maladie de Lyme]] en dépit du fait que le patient n'ait pas été testé positif pendant une période de temps considérable, de votre sélection d'antibiotiques utilisés dans le traitement, de la fréquence et de la durée de l'antibiothérapie, et des effets possibles à long terme d'un tel traitement". |
| <br>[référence figurant dans le document <ref>http://articles.courant.com/1996-01-30/news/9601300283_1_lyme-disease-connecticutchildren-s-medical-center-health-department</ref>] | | <br>[référence figurant dans le document <ref>http://articles.courant.com/1996-01-30/news/9601300283_1_lyme-disease-connecticutchildren-s-medical-center-health-department</ref>] |
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