| De cette façon, les acheteurs de lits deviendront eux-mêmes des sortes de fournisseurs en franchise du culte de João de Deus et pourront apparemment en tirer un profit financier. | | De cette façon, les acheteurs de lits deviendront eux-mêmes des sortes de fournisseurs en franchise du culte de João de Deus et pourront apparemment en tirer un profit financier. |
− | Les revenus proviennent également des dites "donations". Dans une publication en anglais destinée aux visiteurs, on apprend : AS A GUEST IN BRAZIL COMING FROM AN AFFLUENT COUNTRY, A DONATION IS A MORAL OBLIGATION ("en tant qu'invité venant d'un pays riche, un don est une obligation morale"). Pour certains des voyages organisés en Allemagne pour se rendre chez João de Deus, des "dons généreux" sont déjà inclus. D'un autre côté, les organisateurs de voyages attirent l'attention sur le fait qu'il ne faut pas donner de pourboire au personnel de chambre ou aux chauffeurs de taxi, car les prix à Abadiânia ont déjà augmenté en raison du grand nombre de touristes.<br> Dans l'entourage de Jean de Dieu s'est développé à Abadiânia un business pour l'hébergement et les transports. Par la rumeur, on a apprit que Jean de Dieu lui-même posséde trois auberges (pousadas) et qu'ainsi, il profite en plus du battage médiatique entourant ses allégations de guérisons. | + | Les revenus proviennent également des dites "donations". Dans une publication en anglais destinée aux visiteurs, on apprend : AS A GUEST IN BRAZIL COMING FROM AN AFFLUENT COUNTRY, A DONATION IS A MORAL OBLIGATION ("en tant qu'invité venant d'un pays riche, un don est une obligation morale"). Pour certains des voyages organisés en Allemagne pour se rendre chez João de Deus, des "dons généreux" sont déjà inclus. D'un autre côté, les organisateurs de voyages attirent l'attention sur le fait qu'il ne faut pas donner de pourboire au personnel de chambre ou aux chauffeurs de taxi, car les prix à Abadiânia ont déjà augmenté en raison du grand nombre de touristes.<br> Dans l'entourage de Jean de Dieu s'est développé à Abadiânia un business pour l'hébergement et les transports. Par la rumeur, on a apprit que Jean de Dieu lui-même posséde trois auberges (pousadas) et qu'ainsi, il profite en plus du battage médiatique entourant ses allégations de guérisons. Des initiés rapportent également que les chauffeurs de taxi refusent de conduire les touristes vers d'autres "curanderos" (guérisseurs) dans les environs. La police locale ferait également pression sur les touristes ou les organisateurs de voyages qui contactent d'autres guérisseurs de la région. |