| * http://www.nytimes.com/2001/06/17/magazine/stalking-dr-steere.html Stalking Dr. Steere By DAVID GRANNJUNE 17, 2001. Article "Harcèlement du Dr. Steere" dans le New-York Time.<br>L'an dernier, le Dr Allen Steere, l'un des plus renommés chercheurs médicaux et rhumatologues du monde [Sterre est le chercheur qui a découvert et donné son nom à la maladie de Lyme puis a commencé à la traiter avec des antibiotiques]<ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Allen_Steere</ref>, a commencé à craindre les patients. Ce n'était pas tant ceux qu'il avait traités, bien qu'il a parfois eu à se soucier d'eux également, mais ceux qui avaient commencé à appeler son bureau, le menaçant en prétendant qu'il était responsable de leurs souffrances. Ils insistaient [arguant] qu'il leur refusait un traitement pour une forme aiguë de la maladie de Lyme chronique, une forme de l'infection d'ordinaire plus modérée, qu'ils croyaient s'être glissée dans le sang sans y être détectée et qui y reste pendant des années ce qui provoque douleurs articulaires, fatigue chronique, dépression suicidaire, paralysie et même la mort. Affirmant leurs diagnostics, il y avait un nombre croissant de patients, de groupes de défense/plaidoyer, de praticiens et de psychiatres qui ont fait valoir que la maladie était devenue une épidémie à grande échelle, un fléau des temps modernes invalidant des milliers d'Américains.<br> En tant que l'un des experts les plus éminents du monde sur la maladie, Steere ne croyait pas que beaucoup d'entre eux aient la maladie de Lyme, mais quelque chose d'autre - fatigue chronique ou maladie mentale ou fibromyalgie - et il avait refusé de les traiter avec des antibiotiques. De nombreux médecins et compagnies d'assurance avaient suivi son exemple et, par conséquent, des hordes de patients ont commencé à le harceler. Ils se sont présentés à ses engagements publics [conférences:exposés], tenant des panneaux qui disaient "Combien de personnes de plus tuerez-vous ?" Et "Évitez Steere!" Ils l'ont dépeint dans les médias comme un démon, pire que les spirochètes, la bactérie des tiques, dont ils prétendaient qu'elle habitait dans leurs corps et que, à cause de son diagnostic restrictif, ils ne pouvaient pas éliminer. [...]<br>En août 1993, le Comité sénatorial Travail et ressources humaines a demandé à Steere de discuter de ses résultats avec d'autres experts en ce domaine. L'enjeu était la direction de millions de dollars fédéraux dans la recherche, les lignes directrices juridiques pour le traitement des patients et, aux yeux d'un nombre croissant de patients, leur survie même.<br>Quand Steere arriva, la galerie était déjà remplie de spectateurs, dont beaucoup portaient des rubans verts pour indiquer leur solidarité avec les patients de Lyme. Leur attention semblait centrée sur un pratiquant peu connu de Long Island nommé Joseph Burrascano Jr. Contrairement à Steere, il n'avait jamais fait de recherche scientifique, mais il a informé le Comité qu'il avait vu plus de 1000 patients de Lyme et que son protocole avait été traduit en trois langues.<br>Comme Steere le regardait, le jeune médecin commença une tirade contre l'établissement médical. Il avertit que de nombreux chercheurs ont joué délibérément sur la gravité de la maladie de Lyme chronique. [...] | | * http://www.nytimes.com/2001/06/17/magazine/stalking-dr-steere.html Stalking Dr. Steere By DAVID GRANNJUNE 17, 2001. Article "Harcèlement du Dr. Steere" dans le New-York Time.<br>L'an dernier, le Dr Allen Steere, l'un des plus renommés chercheurs médicaux et rhumatologues du monde [Sterre est le chercheur qui a découvert et donné son nom à la maladie de Lyme puis a commencé à la traiter avec des antibiotiques]<ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Allen_Steere</ref>, a commencé à craindre les patients. Ce n'était pas tant ceux qu'il avait traités, bien qu'il a parfois eu à se soucier d'eux également, mais ceux qui avaient commencé à appeler son bureau, le menaçant en prétendant qu'il était responsable de leurs souffrances. Ils insistaient [arguant] qu'il leur refusait un traitement pour une forme aiguë de la maladie de Lyme chronique, une forme de l'infection d'ordinaire plus modérée, qu'ils croyaient s'être glissée dans le sang sans y être détectée et qui y reste pendant des années ce qui provoque douleurs articulaires, fatigue chronique, dépression suicidaire, paralysie et même la mort. Affirmant leurs diagnostics, il y avait un nombre croissant de patients, de groupes de défense/plaidoyer, de praticiens et de psychiatres qui ont fait valoir que la maladie était devenue une épidémie à grande échelle, un fléau des temps modernes invalidant des milliers d'Américains.<br> En tant que l'un des experts les plus éminents du monde sur la maladie, Steere ne croyait pas que beaucoup d'entre eux aient la maladie de Lyme, mais quelque chose d'autre - fatigue chronique ou maladie mentale ou fibromyalgie - et il avait refusé de les traiter avec des antibiotiques. De nombreux médecins et compagnies d'assurance avaient suivi son exemple et, par conséquent, des hordes de patients ont commencé à le harceler. Ils se sont présentés à ses engagements publics [conférences:exposés], tenant des panneaux qui disaient "Combien de personnes de plus tuerez-vous ?" Et "Évitez Steere!" Ils l'ont dépeint dans les médias comme un démon, pire que les spirochètes, la bactérie des tiques, dont ils prétendaient qu'elle habitait dans leurs corps et que, à cause de son diagnostic restrictif, ils ne pouvaient pas éliminer. [...]<br>En août 1993, le Comité sénatorial Travail et ressources humaines a demandé à Steere de discuter de ses résultats avec d'autres experts en ce domaine. L'enjeu était la direction de millions de dollars fédéraux dans la recherche, les lignes directrices juridiques pour le traitement des patients et, aux yeux d'un nombre croissant de patients, leur survie même.<br>Quand Steere arriva, la galerie était déjà remplie de spectateurs, dont beaucoup portaient des rubans verts pour indiquer leur solidarité avec les patients de Lyme. Leur attention semblait centrée sur un pratiquant peu connu de Long Island nommé Joseph Burrascano Jr. Contrairement à Steere, il n'avait jamais fait de recherche scientifique, mais il a informé le Comité qu'il avait vu plus de 1000 patients de Lyme et que son protocole avait été traduit en trois langues.<br>Comme Steere le regardait, le jeune médecin commença une tirade contre l'établissement médical. Il avertit que de nombreux chercheurs ont joué délibérément sur la gravité de la maladie de Lyme chronique. [...] |
| * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4489928/ Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease. Paul G Auwaerter, MD, Johan S Bakken, MD, PhD, Prof Raymond J Dattwyler, MD, Prof J Stephen Dumler, MD, Prof John J Halperin, MD, Edward McSweegan, MD, Prof Robert B Nadelman, MD, Susan O’Connell, MD, Prof Eugene D Shapiro, MD, Prof Sunil K Sood, MD, Prof Allen C Steere, MD, Prof Arthur Weinstein, MD, and Prof Gary P Wormser, MD Published: September 2011 | | * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4489928/ Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease. Paul G Auwaerter, MD, Johan S Bakken, MD, PhD, Prof Raymond J Dattwyler, MD, Prof J Stephen Dumler, MD, Prof John J Halperin, MD, Edward McSweegan, MD, Prof Robert B Nadelman, MD, Susan O’Connell, MD, Prof Eugene D Shapiro, MD, Prof Sunil K Sood, MD, Prof Allen C Steere, MD, Prof Arthur Weinstein, MD, and Prof Gary P Wormser, MD Published: September 2011 |
| * http://sci.tech-archive.net/Archive/sci.med.diseases.lyme/2008-01/msg00210.html Updating the Rogues Gallery of LLMDs. 26 Jan 2008. [...]<br>April 23, 2002. Dr. Joseph Burrascano, following hearing before the New York State OPMC on his medical treatments of Lyme patients, was placed on probation with a practice monitor.<br>2001. Dr. Richard Horowitz, who had been in hearings with the NYS OPMC since the spring of 2001, was offered a settlement consisting of three months suspension. | | * http://sci.tech-archive.net/Archive/sci.med.diseases.lyme/2008-01/msg00210.html Updating the Rogues Gallery of LLMDs. 26 Jan 2008. [...]<br>April 23, 2002. Dr. Joseph Burrascano, following hearing before the New York State OPMC on his medical treatments of Lyme patients, was placed on probation with a practice monitor.<br>2001. Dr. Richard Horowitz, who had been in hearings with the NYS OPMC since the spring of 2001, was offered a settlement consisting of three months suspension. |