− | Une patiente française Liliane, qui supposait être intoxiquée, se faisait faire des chélations en Belgique. Elle était suivie en France par Le Dr Marie-Christine Boutrais. Estimant que le résultat des chélations était prometteur, "''le Dr Boutrais décide d'aller se former aux Pays-Bas. En mars 2014, l'hôpital d'Orléans peut commencer les chélations. Une vingtaine de patients sont suivis dans le serviec. [...]''"<ref>http://telescoop.tv/browse/841385/11/alerte-au-mercure.html</ref>. | + | Une patiente française Liliane, qui supposait être intoxiquée, se faisait faire des chélations en Belgique. Elle était suivie en France par Le Dr Marie-Christine Boutrais. Estimant que le résultat des chélations était prometteur, "''le Dr Boutrais décide d'aller se former aux Pays-Bas. En mars 2014, l'hôpital d'Orléans peut commencer les chélations. Une vingtaine de patients sont suivis dans le service. [...]''"<ref>http://telescoop.tv/browse/841385/11/alerte-au-mercure.html</ref>. |
| Le 1er février 2015, dans le documentaire Alerte au Mercure diffusé sur la chaîne France5, le Dr Marie-Christine Boutrais expliquait comment elle diagnostique et soigne, au Centre Hospitalier Régional (CHR) d’Orléans, des intoxications chroniques aux métaux lourds grâce à des ‘chélations’ : on injecte chez le patient des ‘chélateurs’, c’est-à-dire des molécules qui se lient fortement aux métaux (mercure, plomb, aluminium,cadmium, arsenic, etc.) stockés dans les organes, afin de les ‘neutraliser’ et de permettre aux malades de les éliminer par les selles et les urines. [...]<ref>http://fibroetmetaux.canalblog.com/archives/2016/05/11/33796257.html</ref>. | | Le 1er février 2015, dans le documentaire Alerte au Mercure diffusé sur la chaîne France5, le Dr Marie-Christine Boutrais expliquait comment elle diagnostique et soigne, au Centre Hospitalier Régional (CHR) d’Orléans, des intoxications chroniques aux métaux lourds grâce à des ‘chélations’ : on injecte chez le patient des ‘chélateurs’, c’est-à-dire des molécules qui se lient fortement aux métaux (mercure, plomb, aluminium,cadmium, arsenic, etc.) stockés dans les organes, afin de les ‘neutraliser’ et de permettre aux malades de les éliminer par les selles et les urines. [...]<ref>http://fibroetmetaux.canalblog.com/archives/2016/05/11/33796257.html</ref>. |