| "[...] 3) M. [[Jacques Dubreuil]], est le co-fondateur de l'Ordre monastique d'Avallon créé en Bretagne en 1970. Il est membre du clergé orthodoxe celtique dont l'enseignement s'inspire à la fois de l'enseignement du Christ et des traditions spirituelles Celtes. Ce mouvement regroupe également des associations de la loi 1901 dites ”centres Arc-en-Ciel” qui gèrent essentiellement des activités de Yoga, et des sociétés à responsabilité limitée qui ont pour objet ”''la diffusion et l'enseignement de méthodes de gestion de la santé et de la personnalité''” (Institut Rennais de Gestion de la Santé et Institut Européen de Gestion de la Santé, ci-après "les Instituts").<br>Le 27 octobre 1994, le magazine ''Paris Match'', a diffusé un article intitulé "secte de la mort: la filière bretonne", qui laissait entendre que les Instituts servaient de "''courroie de transmission''" à l'influence de l'ordre du temple solaire (OTS) ou encore qu'ils seraient ”''sous la coupe de la secte''”(l'OTS). Les Instituts ont poursuivi ''Paris Match'' en diffamation. En première instance, le Tribunal de Grande Instance de Rennes a lourdement condamné le journal (1 million de francs de dommages-intérêts). A l'occasion de l'appel contre ce jugement, l'UNADFI s'est mêlée à cette affaire en fournissant son entier concours au magazine. C'est dans ces conditions que, nourri des thèses de l'UNADFI, M. Pillet a rédigé une attestation produite par ''Paris Match'', selon laquelle M. ”''Dubreuil était un condisciple de Luc Jouret, lors de sa formation de naturopathe''”.<ref>http://www.coordiap.com/Document/adfi/adfi_assignation.rtf</ref> | | "[...] 3) M. [[Jacques Dubreuil]], est le co-fondateur de l'Ordre monastique d'Avallon créé en Bretagne en 1970. Il est membre du clergé orthodoxe celtique dont l'enseignement s'inspire à la fois de l'enseignement du Christ et des traditions spirituelles Celtes. Ce mouvement regroupe également des associations de la loi 1901 dites ”centres Arc-en-Ciel” qui gèrent essentiellement des activités de Yoga, et des sociétés à responsabilité limitée qui ont pour objet ”''la diffusion et l'enseignement de méthodes de gestion de la santé et de la personnalité''” (Institut Rennais de Gestion de la Santé et Institut Européen de Gestion de la Santé, ci-après "les Instituts").<br>Le 27 octobre 1994, le magazine ''Paris Match'', a diffusé un article intitulé "secte de la mort: la filière bretonne", qui laissait entendre que les Instituts servaient de "''courroie de transmission''" à l'influence de l'ordre du temple solaire (OTS) ou encore qu'ils seraient ”''sous la coupe de la secte''”(l'OTS). Les Instituts ont poursuivi ''Paris Match'' en diffamation. En première instance, le Tribunal de Grande Instance de Rennes a lourdement condamné le journal (1 million de francs de dommages-intérêts). A l'occasion de l'appel contre ce jugement, l'UNADFI s'est mêlée à cette affaire en fournissant son entier concours au magazine. C'est dans ces conditions que, nourri des thèses de l'UNADFI, M. Pillet a rédigé une attestation produite par ''Paris Match'', selon laquelle M. ”''Dubreuil était un condisciple de Luc Jouret, lors de sa formation de naturopathe''”.<ref>http://www.coordiap.com/Document/adfi/adfi_assignation.rtf</ref> |
| + | Document signé par Jacques Dubreuil au nom de l'Omnium des libertés<ref>http://www.omnium-des-libertes.com/la-comparution-de-cap-liberte-de-conscience-devant-la-commission-parlementaire/</ref>:<br>''"[...] Un début d’année 2013 riche en évènements pour nous tous et nos collègues de [[CAP LC|CAP Liberté de Conscience]] en particulier. Une occasion manquée par les sénateurs de changer leur regard obtus sur les [[médecine alternative|médecines alternatives]], sur la liberté de choix thérapeutique et d’éviter la forme calamiteuse que prennent les événements pour les chantres de la médecine officielle « infaillible », c’est bien connu, comme l’Eglise et le pape autrefois. [...]"''<br>[note de Psiram: évocation de l'inquisition en filigrane au sujet de la commission sénatoriale "Dérives thérapeutiques et dérives sectaires : la santé en danger"]<br>''"Mais avant de plonger dans le sujet rocambolesque de la commission parlementaire sur « l’influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé », je dois tout d'abord [...] vous rappelez que je me suis permis d’interpeller le chef de l’Etat concernant l’article 134 qui aurait protégé les membres de la Miviludes contre toute poursuite pénale pour diffamation visant les propos ou les accusations publiés dans ses rapports annuels. Je m’inquiétais de la portée de cette immunité entre les mains d’individus aussi peu scrupuleux et compromis que l’ancien président de la Miviludes, Georges Fenech [...] Je l’informais de ma propre expérience de la dénonciation calomnieuse avec l’UNADFI, des procès gagnés en diffamation mais n’aboutissant jamais au pénal. [...] Je lui faisait part également de mes doutes quant à la conclusion de la justice dans l’affaire de l’OTS qui tend à ressembler de plus en plus à un crime organisé plutôt qu’à un suicide collectif avec le recul et les informations qui s’accumulent au fil du temps. [...] Si cette immunité devait voir le jour, nous aurions ainsi la preuve que la démocratie est en péril dans notre pays, que l’Etat est en voie de permettre à ses représentants d’échapper à la justice [...]<br>Voyons maintenant l’affaire de l’audition des associations au sénat devant une commission présidé par le sénateur Milon dont les « relations » avec les milieux pharmaceutiques est bien connue (Alain Milon est membre du conseil d’administration de la « Fondation Fondamental » (tournée vers la recherche scientifique sur les maladies mentales) présidée par David de Rothschild et financée par le Groupe Dassault et les laboratoires pharmaceutiques Astra-Zeneca, Bristol-Myers-Squibb, Janssen-Cilag, Lilly, Lundbeck et Servier.''<br>[Note de Psiram: Le Sénat contrôlé par Big-pharma en filigrane]<br>''Curieusement l’Omnium n’a pas été convoqué à ce qui ressemblait fort à une comparution devant un tribunal d’antisectes bien décidés à en finir avec [[CAP LC]]. [...] [[Thierry Bécourt]], président de [[CAP LC]], a donc hérité de la lourde charge de s’y rendre pour nous tous. J’avoue la contribution de l’Omnium à la préparation du dossier qu’il a présenté aux sénateurs en ce qui concerne la partie santé du moins. Pour le reste Thierry était bien représentatif et il s’est fort bien tiré de ce traquenard tendu par des politiciens qui n’en avaient que faire de son discours tant leur conviction était faite d’avance et leurs idées figées dans la posture du courroux maniacorépressif. [...]"''<br>Suit le texte de défense préparé en commun par [[CAP LC]] et Omnium des libertés. |
| Deux jours dans le groupe sectaire qui abrite Les Brigandes. Depuis près d’un an, un groupe de musique composé de jeunes femmes fait vibrer l’extrême droite. Derrière elles vit un petit clan antimondialiste mené par un gourou de 68 ans. Nous les avons rencontrés chez eux, dans la montagne noire près de Béziers. Par Nolwenn Le Blevennec Journaliste. Publié le 20/09/2016:<br>Mai 2015, sept nanas masquées marchent dans la neige en robes bordeaux. L’une joue du violon, une autre tape sur un tambour. Quatre autres font les chœurs et agitent les bras derrière la chef de bande qui chante d’une voix aiguë de jeune fille de salon. La chanson folk se moque des antifas : « Si je bronche, si je résiste, je me retrouve sur la liste, j’suis un fasciste » – avec un salut nazi sur ce dernier mot.<br>C’est avec cette chanson, vue 100 000 fois sur YouTube, que Les Brigandes ont décollé dans la fachosphère. L’extrême droite s’est mise à cliquer compulsivement sur toutes les vidéos du groupe. Son cœur a explosé de joie en voyant des jeunes filles si présentables, des nymphes des Pyrénées, des probables mères de familles, aborder leurs thèmes de prédilection (grand remplacement, perte d’identité, bien-pensance, pourriture du système). [...]<ref>http://rue89.nouvelobs.com/2016/09/20/deux-jours-groupe-sectaire-abrite-les-brigandes-265148</ref> | | Deux jours dans le groupe sectaire qui abrite Les Brigandes. Depuis près d’un an, un groupe de musique composé de jeunes femmes fait vibrer l’extrême droite. Derrière elles vit un petit clan antimondialiste mené par un gourou de 68 ans. Nous les avons rencontrés chez eux, dans la montagne noire près de Béziers. Par Nolwenn Le Blevennec Journaliste. Publié le 20/09/2016:<br>Mai 2015, sept nanas masquées marchent dans la neige en robes bordeaux. L’une joue du violon, une autre tape sur un tambour. Quatre autres font les chœurs et agitent les bras derrière la chef de bande qui chante d’une voix aiguë de jeune fille de salon. La chanson folk se moque des antifas : « Si je bronche, si je résiste, je me retrouve sur la liste, j’suis un fasciste » – avec un salut nazi sur ce dernier mot.<br>C’est avec cette chanson, vue 100 000 fois sur YouTube, que Les Brigandes ont décollé dans la fachosphère. L’extrême droite s’est mise à cliquer compulsivement sur toutes les vidéos du groupe. Son cœur a explosé de joie en voyant des jeunes filles si présentables, des nymphes des Pyrénées, des probables mères de familles, aborder leurs thèmes de prédilection (grand remplacement, perte d’identité, bien-pensance, pourriture du système). [...]<ref>http://rue89.nouvelobs.com/2016/09/20/deux-jours-groupe-sectaire-abrite-les-brigandes-265148</ref> |