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| Me dufoix a eu des sympathies pour la secte pseudo-catholique guérisseuse Invitation à la Vie [[IVI]] crée par Yvonne Trubert.<ref>http://www.lexpress.fr/informations/ceux-qui-harmonisent-la-mort_611979.html Marie de Hennezel aurait prodigué des soins à l'ancien président de la République (note de Psiram: François Miterrand): imposition des mains et lumière divine, selon un rituel mis au point dans la secte IVI. [...] Marie de Hennezel exerce la fonction de psychologue au centre de soins palliatifs de l'hôpital universitaire de Paris. Sa rencontre avec l'ancien président demeurait un mystère. Elle-même la situe en 1992, date à laquelle il l'aurait fait appeler à son chevet. Comment, à elle, l'obscure, "ne fréquentant pas les cercles politiques ni ceux des intimes", put-il faire tant d'honneur? s'étonne-t-elle. Pieuse omission: Marie de Hennezel appartient en fait à un cercle plus secret: celui des sectes.<br>Adepte de la première heure d'IVI, Invitation à la vie, secte pseudo-chrétienne qui figure au catalogue récent établi par les renseignements généraux, Marie de Hennezel a, en compagnie de l'une de ses collègues, prodigué des soins très spéciaux au président. Elle l'a "harmonisé", selon un rituel mis au point par la "gourelle" Yvonne Trubert.<br>[...] Marie de Hennezel a rencontré François Mitterrand ('''par l'entremise, dit-on, de Georgina Dufoix, autre célèbre adepte d'IVI'''), bien avant 1992. En 1987, c'est lui qui l'imposa à l'hôpital universitaire. [...]</ref><ref>http://www.voltairenet.org/article3174.html Commission d’enquête parlementaire belge sur les pratiques illégales des sectes - Audition de M. Ch. Berliner, docteur en médecine et représentant de l’Association des victimes des pratiques illégales de la médecine. 28 mars 1997. Parlant d'IVI, Mr Charles Berliner dit : ''"Yvonne Trubert, qui dirige la secte IVI (Invitation à la vie intense), prétend guérir les maladies les plus graves en ayant uniquement recours à des théories énergétiques, à la spiritualité hindoue et aux médecines douces : pour IVI, il n’y a pas de maladie inguérissable. Il s’agit de rétablir l’harmonisation entre le corps physique, le corps énergétique et le corps astral en ouvrant le chakra bloqué par la maladie, permettant ainsi de faire circuler l’énergie et d’obtenir toutes les guérisons. '''Georgina Dufoix, ancien ministre français de la Santé, a marqué de l’intérêt pour cette secte.'''"''</ref> Cet apparté permet d'éclairer les relations entre Georgina et François Mitterand sous un autre jour et mieux comprendre la position de Miterrand à propos des médecines non-conventionnelles. | | Me dufoix a eu des sympathies pour la secte pseudo-catholique guérisseuse Invitation à la Vie [[IVI]] crée par Yvonne Trubert.<ref>http://www.lexpress.fr/informations/ceux-qui-harmonisent-la-mort_611979.html Marie de Hennezel aurait prodigué des soins à l'ancien président de la République (note de Psiram: François Miterrand): imposition des mains et lumière divine, selon un rituel mis au point dans la secte IVI. [...] Marie de Hennezel exerce la fonction de psychologue au centre de soins palliatifs de l'hôpital universitaire de Paris. Sa rencontre avec l'ancien président demeurait un mystère. Elle-même la situe en 1992, date à laquelle il l'aurait fait appeler à son chevet. Comment, à elle, l'obscure, "ne fréquentant pas les cercles politiques ni ceux des intimes", put-il faire tant d'honneur? s'étonne-t-elle. Pieuse omission: Marie de Hennezel appartient en fait à un cercle plus secret: celui des sectes.<br>Adepte de la première heure d'IVI, Invitation à la vie, secte pseudo-chrétienne qui figure au catalogue récent établi par les renseignements généraux, Marie de Hennezel a, en compagnie de l'une de ses collègues, prodigué des soins très spéciaux au président. Elle l'a "harmonisé", selon un rituel mis au point par la "gourelle" Yvonne Trubert.<br>[...] Marie de Hennezel a rencontré François Mitterrand ('''par l'entremise, dit-on, de Georgina Dufoix, autre célèbre adepte d'IVI'''), bien avant 1992. En 1987, c'est lui qui l'imposa à l'hôpital universitaire. [...]</ref><ref>http://www.voltairenet.org/article3174.html Commission d’enquête parlementaire belge sur les pratiques illégales des sectes - Audition de M. Ch. Berliner, docteur en médecine et représentant de l’Association des victimes des pratiques illégales de la médecine. 28 mars 1997. Parlant d'IVI, Mr Charles Berliner dit : ''"Yvonne Trubert, qui dirige la secte IVI (Invitation à la vie intense), prétend guérir les maladies les plus graves en ayant uniquement recours à des théories énergétiques, à la spiritualité hindoue et aux médecines douces : pour IVI, il n’y a pas de maladie inguérissable. Il s’agit de rétablir l’harmonisation entre le corps physique, le corps énergétique et le corps astral en ouvrant le chakra bloqué par la maladie, permettant ainsi de faire circuler l’énergie et d’obtenir toutes les guérisons. '''Georgina Dufoix, ancien ministre français de la Santé, a marqué de l’intérêt pour cette secte.'''"''</ref> Cet apparté permet d'éclairer les relations entre Georgina et François Mitterand sous un autre jour et mieux comprendre la position de Miterrand à propos des médecines non-conventionnelles. |
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− | == Contexte de la légalisation de médecines non basées sur les preuves == | + | == Contexte de la légalisation des médecines non basées sur des preuves == |
| C'est sous la gauche Mitterrandienne que la volonté de reconnaître les médecines non-conventionnelles est la plus manifeste. Le président de la République, F. Miterrand était lui-même en faveur d'une ouverture: ''"je me suis clairement prononcé pour l'ouverture d'un débat sur l'opportunité d'élargir la formation médicale à d'autres techniques dans lesquelles les médecines naturelles peuvent prendre leur place"''.<ref>F. Steudler, "Médecines parallèles: la valse hésitation. Vers la reconnaissance ou l'assimilation?", ''Prospective et santé'', 1988, n° 47-48, p. 172.</ref> | | C'est sous la gauche Mitterrandienne que la volonté de reconnaître les médecines non-conventionnelles est la plus manifeste. Le président de la République, F. Miterrand était lui-même en faveur d'une ouverture: ''"je me suis clairement prononcé pour l'ouverture d'un débat sur l'opportunité d'élargir la formation médicale à d'autres techniques dans lesquelles les médecines naturelles peuvent prendre leur place"''.<ref>F. Steudler, "Médecines parallèles: la valse hésitation. Vers la reconnaissance ou l'assimilation?", ''Prospective et santé'', 1988, n° 47-48, p. 172.</ref> |
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| Dès 1982, le ministre communiste de la Santé Jack Ralite charge le docteur Niboyer, par ailleurs [[acupuncture|acupuncteur]], de réaliser un étude sur les "techniques de soins ne faisant pas l'objet d'un enseignement au niveau national". Ce travail va déboucher, en 1984, sur un rapport qui conclut "à la nécessité d'organiser un enseignement de l'[[acupuncture]], de l'[[homéopathie]] et de la médecine manuelle dans les facultés, donnant lieu à une qualification reconnue par la Sécurité Sociale".<ref>P. Elzière, "Des médecines dites naturelles", ''Sciences sociale et Santé'', 1986, vol. IV, n° 2, p. 69.</ref> | | Dès 1982, le ministre communiste de la Santé Jack Ralite charge le docteur Niboyer, par ailleurs [[acupuncture|acupuncteur]], de réaliser un étude sur les "techniques de soins ne faisant pas l'objet d'un enseignement au niveau national". Ce travail va déboucher, en 1984, sur un rapport qui conclut "à la nécessité d'organiser un enseignement de l'[[acupuncture]], de l'[[homéopathie]] et de la médecine manuelle dans les facultés, donnant lieu à une qualification reconnue par la Sécurité Sociale".<ref>P. Elzière, "Des médecines dites naturelles", ''Sciences sociale et Santé'', 1986, vol. IV, n° 2, p. 69.</ref> |
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− | Avant même la conclusion de ce rapport, un diplôme de médecines naturelles, le [[DUMENAT]] (Diplôme universitaire des médecines complémentaires), va voir le jour, en 1982, à la faculté de Bobigny. Dans le cadre de ce diplôme sont dispensées des formations en [[acupuncture]], [[homéopathie]], mésothérapie, [[naturopathie]], [[ostéopathie]], phytothérapie et [[aromathérapie]]. Elles sont ouvertes aux médecins, pharmaciens, chirurgiens-dentistes, vétérinaires et sages-femmes (Remarque de Psiram: et quelque fois d'autres personnes intéressées y sont admises ...). Par ailleurs, en 1984, cent onze produits [[Homéopathie|homéopathiques]] sont intégrés à la liste des médicaments remboursés par l'assurance maladie. | + | Avant même la conclusion de ce rapport, un diplôme de médecines naturelles, le [[DUMENAT]] (Diplôme universitaire des médecines complémentaires), va voir le jour, en 1982, à la faculté de Bobigny. Dans le cadre de ce diplôme sont dispensées des formations en [[acupuncture]], [[homéopathie]], mésothérapie, [[naturopathie]], [[ostéopathie]], [[phytothérapie]] et [[aromathérapie]]. Elles sont ouvertes aux médecins, pharmaciens, chirurgiens-dentistes, vétérinaires et sages-femmes (Remarque de Psiram: et quelque fois d'autres personnes intéressées y sont admises ...). Par ailleurs, en 1984, cent onze produits [[Homéopathie|homéopathiques]] sont intégrés à la liste des médicaments remboursés par l'assurance maladie. |
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| L'année suivante, en 1985, Georgina Dufoix<ref>http://fr.wikipedia.org/wiki/Georgina_Dufoix</ref>, ministre des Affaires Sociales et de la Solidarité, met en place un groupe de travail ministériel car elle souhaite créer une Fondation de la recherche qui réunirait chercheurs, scientifiques, représentants d'associations, de consommateurs, d'usagers de santé, et ce en vue d'une meilleure diffusion des résultats, des études et des recherches sur les médecines parallèles. Ce projet ne verra pas le jour car, en 1986, intervient une alternance politique. | | L'année suivante, en 1985, Georgina Dufoix<ref>http://fr.wikipedia.org/wiki/Georgina_Dufoix</ref>, ministre des Affaires Sociales et de la Solidarité, met en place un groupe de travail ministériel car elle souhaite créer une Fondation de la recherche qui réunirait chercheurs, scientifiques, représentants d'associations, de consommateurs, d'usagers de santé, et ce en vue d'une meilleure diffusion des résultats, des études et des recherches sur les médecines parallèles. Ce projet ne verra pas le jour car, en 1986, intervient une alternance politique. |
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− | Cette bienveillance d'une partie de la classe politique à l'égard de certaines médecines parallèles n'est pas du goût de l'Académie de médecine qui rappelle qu'il s'agit de médecines "non éprouvées" (n'ayant pas apporté la preuve de leur efficacité). Au cours des années 1980, elle va néanmoins faire quelques concessions en reconnaissant certaines de ces médecines (diététique, phytothérapie et mésothérapie), tandis que d'autres vont être tolérées ([[homéopathie]], [[acupuncture]]), et d'autres enfin rejetées ([[auriculothérapie]], [[iridologie]]). La question qui se pose pour les académiciens est bien le caractère éprouvé de ces médecines.<ref>Médecines parallèles et cancer: Une étude sociologique. Par Anne-Cécile Begot. Pages 40-42</ref> | + | Cette bienveillance d'une partie de la classe politique à l'égard de certaines médecines parallèles n'est pas du goût de l'Académie de médecine qui rappelle qu'il s'agit de médecines "non éprouvées" (n'ayant pas apporté la preuve de leur efficacité). Au cours des années 1980, elle va néanmoins faire quelques concessions en reconnaissant certaines de ces médecines (diététique, [[phytothérapie]] et mésothérapie), tandis que d'autres vont être tolérées ([[homéopathie]], [[acupuncture]]), et d'autres enfin rejetées ([[auriculothérapie]], [[iridologie]]). La question qui se pose pour les académiciens est bien le caractère éprouvé de ces médecines.<ref>Médecines parallèles et cancer: Une étude sociologique. Par Anne-Cécile Begot. Pages 40-42</ref> |
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| == Georgina Dufoix soutient les médecines "douces", les médecines parallèles == | | == Georgina Dufoix soutient les médecines "douces", les médecines parallèles == |
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| === [[Homéopathie]] === | | === [[Homéopathie]] === |
− | Georgina Dufoix s'est également illustrée par son soutien aux médecines douces : le 12 septembre 1984, elle publiait un arrêté autorisant le remboursement des préparations [[homéopathie|homéopathiques]] par la Sécurité Sociale, et le 13 décembre 1985, elle déclarait dans une conférence de presse vouloir organiser une étude randomisée en double aveugle sur deux produits homéopathiques, ce que tout le monde approuvait, mais également d'enseigner l'homéopathie et l'acupuncture et de leur consacrer une fondation. De nombreux commentateurs ont relevé l'incohérence entre la démarche de test, qui prouve que les méthodes ne sont pas validées, et la mise au programme universitaire, qui ne saurait contenir que des méthodes prouvées. Ces deux dernières mesures ne furent jamais mises en place en raison de la victoire du RPR aux élections législatives de mars 1986. | + | Georgina Dufoix s'est également illustrée par son soutien aux médecines douces : le 12 septembre 1984, elle publiait un arrêté autorisant le remboursement des préparations [[homéopathie|homéopathiques]] par la Sécurité Sociale, et le 13 décembre 1985, elle déclarait dans une conférence de presse vouloir organiser une étude randomisée en double aveugle sur deux produits homéopathiques, ce que tout le monde approuvait, mais également d'enseigner l'[[homéopathie]] et l'[[acupuncture]] et de leur consacrer une fondation. De nombreux commentateurs ont relevé l'incohérence entre la démarche de test, qui prouve que les méthodes ne sont pas validées, et la mise au programme universitaire, qui ne saurait contenir que des méthodes prouvées. Ces deux dernières mesures ne furent jamais mises en place en raison de la victoire du RPR aux élections législatives de mars 1986. |
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| === [[Ostéopathie]] === | | === [[Ostéopathie]] === |
| 1984 Premiers travaux économiques et reconnaissance: | | 1984 Premiers travaux économiques et reconnaissance: |
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− | Lors des entretiens de Bobigny à Paris, le 11 mars 1984, le doyen de la Faculté de médecine Paris-Nord, [[Pierre Cornillot|Pierre CORNILLOT]], posait les conditions préalables indispensables à un processus de reconnaissance : | + | Lors des entretiens de Bobigny à Paris, le 11 mars 1984, le doyen de la Faculté de médecine Paris-Nord, [[Pierre Cornillot|Pierre CORNILLOT]], posait les conditions préalables indispensables à un processus de reconnaissance :<br>"La protection du consommateur passe nécessairement par une action des pouvoirs publics, visant à réglementer l'exercice de ces professions (telle celle d'ostéopathe) et non de faire comme si elles n'existaient pas. Je crois que les pouvoirs publics pourraient accepter de prendre en considération les prises de position collectives qui porteraient sur un certain nombre de points : |
− | "La protection du consommateur passe nécessairement par une action des pouvoirs publics, visant à réglementer l'exercice de ces professions (telle celle d'ostéopathe) et non de faire comme si elles n'existaient pas. Je crois que les pouvoirs publics pourraient accepter de prendre en considération les prises de position collectives qui porteraient sur un certain nombre de points : | |
| 1 - La garantie professionnelle en matière d'innocuité, | | 1 - La garantie professionnelle en matière d'innocuité, |
| 2 - La reproductibilité des techniques, | | 2 - La reproductibilité des techniques, |
| 3 - Les preuves d'efficacité... ". | | 3 - Les preuves d'efficacité... ". |
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− | En 1984, à la première commission officielle est constituée sous le ministère de Mme Dufoix à laquelle ont été invités comme représentants des ostéopathes : Régis Godefroy Fernand-Paul Berthenet et Marc Bozzeto dans le but de mettre en place une réglementation. Cette année marquait aussi le début des travaux socio-économiques réalisés par Guy ROULIER qui devaient démontrer l'efficacité et l'efficience de l'[[ostéopathie]] ("Ostéopathie et coût de la santé" mémoire pour l'obtention du D.O. et "Rapport sur le rôle socio-économique des [[ostéopathie|ostéopathes]] en France"). Ces travaux socio-économiques serviront de références vis à vis des pouvoirs publics (rapport sur les « médecines différentes » sous le ministère de Mme Georgina DUFOIX) lors des négociations, tant au niveau national qu’européen (Commission santé et défense des consommateurs du Parlement européen) et dans la presse nationale spécialisée.<ref>http://www.cnosteo.com/historique/histoire1.html</ref> | + | En 1984, à la première commission officielle est constituée sous le ministère de Mme Dufoix à laquelle ont été invités comme représentants des ostéopathes : Régis Godefroy, Fernand-Paul Berthenet et Marc Bozzeto dans le but de mettre en place une réglementation. Cette année marquait aussi le début des travaux socio-économiques réalisés par Guy ROULIER qui devaient démontrer l'efficacité et l'efficience de l'[[ostéopathie]] ("Ostéopathie et coût de la santé" mémoire pour l'obtention du D.O. et "Rapport sur le rôle socio-économique des [[ostéopathie|ostéopathes]] en France"). Ces travaux socio-économiques serviront de références vis à vis des pouvoirs publics (rapport sur les « médecines différentes » sous le ministère de Mme Georgina DUFOIX) lors des négociations, tant au niveau national qu’européen (Commission santé et défense des consommateurs du Parlement européen) et dans la presse nationale spécialisée.<ref>http://www.cnosteo.com/historique/histoire1.html</ref> |
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| == Georgina Dufoix et la ciclosporine == | | == Georgina Dufoix et la ciclosporine == |