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Le documentaire a été publié sur France 5 fin décembre 2008 et est sorti en salle pour la première fois en janvier 2009 au Québec.
 
Le documentaire a été publié sur France 5 fin décembre 2008 et est sorti en salle pour la première fois en janvier 2009 au Québec.
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== Liens externes ==
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== Analyse du Film par Brigitte Axelrad de l'AFIS<ref>http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1285 « Silence, on vaccine… » Analyse de Brigitte Axelrad - SPS n° 289, janvier 2010.</ref> ==
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1285 « Silence, on vaccine… » Analyse de Brigitte Axelrad - SPS n° 289, janvier 2010.<br>''"[...] L’annonce du film montre un enfant suspendu aux aiguilles de six seringues, qui représentent les six vaccins qu’il va recevoir le même jour, dira une mère canadienne. Le thème de l’enfance-victime-innocente ainsi introduit a des chances d’atteindre de plein fouet les parents qui se demandent s’ils ne sont pas responsables de la maladie de leur enfant en les ayant fait vacciner et ceux qui se préparent à le faire. Le doute sur l’innocuité des vaccins est semé dès le départ [...]<br>Deux chercheurs, [[Mark Geier|Mark Geïer]] et son fils, sont filmés dans leur laboratoire en plein travail de recherche. Ils sont les seuls chercheurs à avoir produit une étude qui montrerait le lien entre le thimérosal et l’autisme, mais leur compétence scientifique est contestée dans la revue Pediatrics par le Dr Éric Fombonne. [[Mark Geier|Mark Geïer]] se dit spécialiste de la vaccination depuis trente cinq ans et confirme les effets pervers du thimérosal, dont il déclare à notre grand étonnement qu’il en ignorait jusque là la présence dans les vaccins. Il montre une boîte hermétique en métal dans laquelle il conserve le flacon de thimérosal parce que, dit-il, jouant sur la peur : « c’est une poudre extrêmement toxique et très fine qui risque de s’échapper », tels les maux de l’Humanité libérés par Pandore de la fameuse boite, dans la légende grecque !"''
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''"[...] L’annonce du film montre un enfant suspendu aux aiguilles de six seringues, qui représentent les six vaccins qu’il va recevoir le même jour, dira une mère canadienne. Le thème de l’enfance-victime-innocente ainsi introduit a des chances d’atteindre de plein fouet les parents qui se demandent s’ils ne sont pas responsables de la maladie de leur enfant en les ayant fait vacciner et ceux qui se préparent à le faire. Le doute sur l’innocuité des vaccins est semé dès le départ [...]<br>Deux chercheurs, [[Mark Geier|Mark Geïer]] et son fils, sont filmés dans leur laboratoire en plein travail de recherche. Ils sont les seuls chercheurs à avoir produit une étude qui montrerait le lien entre le thimérosal et l’autisme, mais leur compétence scientifique est contestée dans la revue Pediatrics par le Dr Éric Fombonne. [[Mark Geier|Mark Geïer]] se dit spécialiste de la vaccination depuis trente cinq ans et confirme les effets pervers du thimérosal, dont il déclare à notre grand étonnement qu’il en ignorait jusque là la présence dans les vaccins. Il montre une boîte hermétique en métal dans laquelle il conserve le flacon de thimérosal parce que, dit-il, jouant sur la peur : « c’est une poudre extrêmement toxique et très fine qui risque de s’échapper », tels les maux de l’Humanité libérés par Pandore de la fameuse boite, dans la légende grecque !"''
    
Conclusion de l'article :<br>'''« Silence, on vaccine » est bien un parti pris manifeste et dangereux contre la vaccination. Il accumule les biais de raisonnements : biais de confirmation d’hypothèse, en préférant les éléments qui confirment plutôt que ceux qui infirment l’hypothèse d’une causalité vaccins-maladies ; dissonance cognitive, en éliminant les contradictions que pourraient apporter les spécialistes ; généralisations, en disant que si les vaccins ne sont pas sûrs à 100%, alors, conclut-on, la science est incertaine, et l’on doit s’en méfier, etc. Il fait appel à la compassion bien naturelle à l’égard de malades gravement atteints qui, mal informés, attribuent leur maladie aux vaccins, et, ce faisant, il joue sur l’identification potentielle des parents, victimes de la désinformation, anxieux devant leurs responsabilités et démunis pour la plupart face à cette propagande anti-vaccins.'''
 
Conclusion de l'article :<br>'''« Silence, on vaccine » est bien un parti pris manifeste et dangereux contre la vaccination. Il accumule les biais de raisonnements : biais de confirmation d’hypothèse, en préférant les éléments qui confirment plutôt que ceux qui infirment l’hypothèse d’une causalité vaccins-maladies ; dissonance cognitive, en éliminant les contradictions que pourraient apporter les spécialistes ; généralisations, en disant que si les vaccins ne sont pas sûrs à 100%, alors, conclut-on, la science est incertaine, et l’on doit s’en méfier, etc. Il fait appel à la compassion bien naturelle à l’égard de malades gravement atteints qui, mal informés, attribuent leur maladie aux vaccins, et, ce faisant, il joue sur l’identification potentielle des parents, victimes de la désinformation, anxieux devant leurs responsabilités et démunis pour la plupart face à cette propagande anti-vaccins.'''
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