| '''Loïc Le Ribault''', décédé en 2007, était un scientifique, Docteur en Sédimentologie - Docteur ès Sciences, ancien expert auprès des tribunaux français; il était le co-inventeur avec Nobert Duffaud du Silanol, d'un médicament miracle commercialisé sous le nom de G5. Il aurait découvert une molécule à base de silicium qui atténuerait notamment les douleurs dues aux rhumatismes. Et peut-être plus encore ... Il se murmure qu'elle peut avoir un effet bénéfique dans le traitement de pathologies lourdes (cancer, sida ...).. | | '''Loïc Le Ribault''', décédé en 2007, était un scientifique, Docteur en Sédimentologie - Docteur ès Sciences, ancien expert auprès des tribunaux français; il était le co-inventeur avec Nobert Duffaud du Silanol, d'un médicament miracle commercialisé sous le nom de G5. Il aurait découvert une molécule à base de silicium qui atténuerait notamment les douleurs dues aux rhumatismes. Et peut-être plus encore ... Il se murmure qu'elle peut avoir un effet bénéfique dans le traitement de pathologies lourdes (cancer, sida ...).. |
− | Loïc Le Ribault s'attire alors les foudres de l'Ordre des médecins et de l'Ordre des pharmaciens qui portent plainte, suit une série de procès, de cavale, d'arrestations, d'extraditions <ref>http://archives.tdg.ch/TG/TG/-/article-2004-02-579/loic-le-ribault-sera-sans-doute-extrade-vers-la-france-d-ici-a-mercredi</ref>: A partir de là, sa vie bascule, il fuit la France et, passant par Jersey, rejoint l’ Irlande où il crée la société qui produit le G5. D’autres ennuis démarrent avec l’ industrie pharmaceutique en raison de l’absence d’AMM (autorisation de mise sur le marché). Il est considéré alors comme l'un des gourous des thérapies alternatives au même titre que [[Hamer]] et Beljanski, eux aussi poursuivis et condamnés pour exercice illégal de la médecine. La France demande deux fois à l’Irlande l’extradition de Loïc Le Ribault puis l’obtient, peu après son arrivée en Suisse. Incarcéré et extradé sous un motif, motif modifié à l’arrivée en France, au grand dam de son avocat suisse, il bénéficie d’une médiatisation intensive durant ce séjour à la prison de Gradignan, près de Bordeaux. Il craignait de ne pas en sortir vivant. De retour en Suisse, les tentatives de dépôt d’AMM s’étant soldées par un échec, il rejoint le territoire d’Oman, pour créer une clinique où le G5 serait un des traitements de base. Il crée une société de commercialisation du silicium organique sur le territoire espagnol tandis qu’ il vend ses parts dans la société irlandaise.
| + | En janvier 1996, l’ordre des médecins et celui des pharmaciens portent plainte contre Loïc Le Ribault pour exercice illégal de la médecine et de la pharmacie, suit une série de procès, de cavale, d'arrestations, d'extraditions <ref>http://archives.tdg.ch/TG/TG/-/article-2004-02-579/loic-le-ribault-sera-sans-doute-extrade-vers-la-france-d-ici-a-mercredi</ref>: A partir de là, sa vie bascule, il fuit la France et, passant par Jersey, rejoint l’ Irlande où il crée la société qui produit le G5. D’autres ennuis démarrent avec l’ industrie pharmaceutique en raison de l’absence d’AMM (autorisation de mise sur le marché). Il est considéré alors comme l'un des gourous des thérapies alternatives au même titre que [[Hamer]] et Beljanski, eux aussi poursuivis et condamnés pour exercice illégal de la médecine. La France demande deux fois à l’Irlande l’extradition de Loïc Le Ribault puis l’obtient, peu après son arrivée en Suisse. Incarcéré et extradé sous un motif, motif modifié à l’arrivée en France, au grand dam de son avocat suisse, il bénéficie d’une médiatisation intensive durant ce séjour à la prison de Gradignan, près de Bordeaux. Il craignait de ne pas en sortir vivant. De retour en Suisse, les tentatives de dépôt d’AMM s’étant soldées par un échec, il rejoint le territoire d’Oman, pour créer une clinique où le G5 serait un des traitements de base. Il crée une société de commercialisation du silicium organique sur le territoire espagnol tandis qu’ il vend ses parts dans la société irlandaise. |